Sachant que Madame Garilhe quittait son poste, je suis allé lui faire un au revoir pensant ingénument à un pot d’adieu. Alors là, grosse surprise, personne pour fêter son départ. Dans la mairie étaient pourtant présents mesdames Pouget-Tirion, Carrier, Vaille-Labalme, Monnier, Demange, Theraube, monsieur Tourel. Seuls Laetitia Godiche, messieurs Levecque et Boissin étaient là pour l’accompagner.
L’embauche de madame Monnier n’a pas été mieux fêtée que le départ de Martine.
Je crains fort que sa prise de poste soit un beau fiasco et j’espère que cela ne lui sera pas préjudiciable.
Ça et là,j’entends dire que des élus s’en prennent à Madame Monnier, ils se trompent de cible et auraient du réagir plus tôt,au lieu de couvrir toutes les magouilles de cet exécutif.
Ce départ ainsi que l’embauche de la remplaçante n’a eu de la part du maire, aucune publicité auprès des élus, de la population.
Sur le parking, Monsieur le maire nous a salué et est parti à bord d’une voiture électrique.
Que de mépris des gens, des lois.
L’ambiance est là, trahisons, abus de pouvoir, lettre anonyme, lettre d’injures par un candidat, diffusion d’injures par une adjointe à la mairie, copinage en tout genre.
Cette commune je l’ai connue ( 1974) et aimée à un moment ou le cœur, la bonhomie était présents, malgré les différences, aujourd’hui, les Faous Temouens ont vraiment pris le dessus.
À gerber!
Jean-luc.
Cette Madame Monnier, si elle vous lit, va se demander où elle est tombée. Vous avez de la chance que votre arrivée dans un nouveau poste ou emploi soit fêtée. Autrement dit c’est la fête permanente à la mairie ?
Vous lui annoncez un fiasco ? beau souhait de bienvenue. A sa place je prendrais mes jambes à mon coup.
Bonjour,
Cette Madame Monnier, comme vous dites sait parfaitement ou elle est tombée.
C’est loin d’être la fête permanente à la Mairie, hélas.
Sans parler de fête, le minimum quand un nouvel employé arrive, pour être à l’accueil de la mairie, est que le maire le présente aux conseillers, ce qui n’a pas été fait.
Oui je lui annonce un fiasco car démarrer un emploi qui côtoie l’administratif et le politique est compliqué, surtout dans cette ambiance délétère, ou fleurissent les injures, les lettres anonymes.
Il n’est pas si facile que ça, de nos jours, de prendre ses jambes à son cou.
Jean-luc.