Dans L’ÉCHO DES CÉVENNES, ça vanne.

Je ne pense pas que l’Écho des Cévennes ai jamais eu la prétention de remplacer l’Écho des Savanes, publication disparue en 1982, heureusement. Il n’y a de comparaison ni par les textes, ni par les dessins. Une grande différence existe encore entre les deux, les acteurs de L’Écho des Savanes signaient leurs textes.

Je remercie le corbeau de l’écho des Cévennes, pour le parallèle qu’il fait entre Falstaff et moi. Je préfère nettement cette référence plutôt que celle de notre maire Mr Laporte, qui me compare à un cochon et qui m’appelle monsieur Lavette.

La lettre de mr Laporte, diffusée avec diligence par Madame Carrier adjointe de mr Tourel maire et numéro deux sur la liste « de » Mr Laporte est ICI

Maintenant je conseille à l’auteur de l’article de lire les pièces dans lesquelles batifole Falstaff, Henri IV première partie et deuxième partie, Les joyeuses commères de Windsor.

Peut être se rendrait-il compte que le Falstaff c’est lui, peut-être en plus mince. Pour ce qui est de bouffon, pas de problème, le côté spirituel est moins évident, par contre fanfaron et poltron, là c’est ok, voir sa prose.

J’ai dis « le corbeau », car les articles non signés me donnent des boutons. Un des auteurs m’a dit un jour  « je ne signe pas car cela pourrait faire du tort à ma famille » et donc je ne cite pas son nom.

Si son papier est une allégorie, il est difficile d’en comprendre le but et cette façon édulcorée de ne rien dire en faisant mine de prendre position est un coup d’épée dans l’eau qui ne peut satisfaire que son auteur.

Nous avons, le collectif EGAL, pendant toute la longue campagne électorale tenu un bureau, tous les dimanches à Lablachère, à l’entrée du marché et c’est sans crainte mais sans enthousiasme que nous aurions reçu l’Écho des Cévennes.

C’est sans fard que nous aurions donné des « informations » sur notre projet, c’est sans honte que nous vous aurions signalé qu’entre les deux tours un de nos candidats s’est retrouvé face à la justice. Il est certain que Gaspard eut été plus utile dans notre bureau que dans les supermarchés à faire, tombant dans le panneau, l’inventaire des masques.

Bref de façon générale le niveau de l’Écho a considérablement baissé et aujourd’hui, atteint celui d’un BFM local, colporteur de ragots. Ce n’est pas à cause de l’entrefilet qui me concerne, mais à cause de l’ensemble qui me consterne.

En passant vous avez oublié de dire que « Monsieur Pongron était parti travailler sans son imperméable »

 

Jean-luc Levecque.

 

 

 

 

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