Allez les gars réveillons nous, il va falloir mettre un coups de pieds au cul de la cinquième république, et à partir du 21 avril il nous faudra ensemble construire la sixième.
Je ne pense pas qu’un autre monde soit possible, nous n’en avons qu’un et nous ne connaissons ni son origine, ni sa création.
Par contre nous sommes entrain de le détruire, avec acharnement, tout en pérorant dans les salons et les ministères sur la sauvegarde de la planète.
C’est l’heure du Big-bang politique, l’expansion de l’univers de l’Avenir en Commun est proche, l’heure de la décision est proche !
Quelle société pour demain, celle ou les animaux meurent dans la souffrance, ou la flore s’étiole, les humains s’étripent ou celle plus harmonieuse, ou nous aimons la vie sous toutes ses formes, ou le partage est monnaie, ou la solidarité est loi.
Comment ne pas être fatigué de la haine, du mépris, de l’arrogance, comment ne pas s’indigner devant la misère chez nous, même si elle est pire ailleurs, comment ne pas être écœuré par les manipulations des politiques, de la plupart des médias.
J’espère poursuivre ma vie, donc me rapprocher du néant, mais sans y vivre.
Ne faisons pas comme beaucoup de « gens » en 2017, qui ont regretté leur vote au lendemain des élections, votons au premier tour pour l’Avenir en Commun, pour l’Union Populaire en choisissant le bulletin de Mélenchon, son représentant légitime. Souvenons nous, il n’est pas seul. Il n’est pas entouré de godillots, mais de gens qui débattent, réfléchissent, proposent et gageons que ces gens sauront faire respecter l’engagement de Mélenchon :
« Je voudrais être le dernier président de la 5e République et rentrer chez moi sitôt que la nouvelle Constitution aura été adoptée par le peuple français. La 6e République commencera et ce sera une refondation de la France elle-même. » Jean-luc Mélenchon.
Je ne me démarque pas de Mélenchon en tenant ces propos, j’essaye simplement de convaincre ses détracteurs qui, en grande majorité sont nourris par les télés. Le sevrage passe par un bulletin de vote conscient, de conviction.
Je soutiens les excès d’un homme encore capable de s’indigner, de prendre des risques et je le préfère nettement à un homme élevé hors-sol, intelligent mais à qui il manque une case, celle de l’humanisme, dont l’horizon n’est qu’un tableau de la Bourse, dont le mépris, l’arrogance, le paternalisme, la démagogie sont son adn, je le préfère à une femme ou un homme, pétris de haine, d’exclusion.
Jean Tonique.