Il est curieux de voir les fachos qui, bien sûr, proclamaient qu’on pouvait rire de tout lorsqu’il s’agissait des caricatures de Charlie. Aujourd’hui, ces mêmes personnes ne supportent pas qu’on se moque ou qu’on se réjouisse de la mort de Le Pen. Bande de salopards.
Pour ma part, je m’en réjouis. Mais soyons clairs, chers fachos : non seulement je m’en réjouis, mais je m’autorise à le scinder en deux. Voici mes explications :
**Chez Le Pen, il y avait deux facettes :**
1. **L’homme privé :**
Cet homme-là, je le respecte comme n’importe quel citoyen.
2. **L’homme public :**
Celui-ci, je me réjouis de sa disparition. Je danse Place de la République ou ailleurs pour célébrer cet événement. Facho, chambre à gaz, Waffen-SS, torture, négationnisme… Vous savez déjà tout. Cependant, si nous devons danser à chaque fois qu’un facho disparaît, il va falloir s’entraîner sérieusement.
**Pour que les fafs comprennent bien, je donne un autre exemple :**
**Gérard Depardieu : deux hommes :**
1. **L’homme privé :**
Qui doit être jugé et condamné si les faits qui lui sont reprochés sont juridiquement prouvés.
2. **L’acteur :**
Immense et respectable dans son art.
D’ginto