Macron, la souris qui rugissait, n’a rien trouvé de mieux que de se présenter une fois de plus comme un chef de guerre.
Il lui faut ça pour paraître et occuper la fin interminable de son mandat, et toute une bande d’abrutis le suit, les médias de masse se relaient et se régalent, les experts poussiéreux aussi, pour expliquer aux Français, pauvres abrutis que nous sommes qu’il faut se préparer.
Petits poulbots, gavroches, à vos lance-pierres, envoyez votre marine dans les caniveaux.
Macron fait à Poutine un cadeau rêvé. Poutine, qui ne pense qu’à la paix :
« Comment peut-on croire que la Russie veut la guerre à l’Europe ? Mais si l’Europe veut la faire, nous sommes prêts. » Et pan sur le bec !
Macron ouvre grand les portes à la guerre.
Quand vont-ils comprendre, tous ces experts à la retraite, que ce sont eux qui, dans le passé, équipés de leurs grandes expertises, ont accompagné et promu la merde dans laquelle nous sommes ?
J’ai retrouvé une strophe de notre hymne national, cet hymne raciste (sang impur) et belliqueux, rarement utilisée. On dit toujours que ce merveilleux hymne comprenait six couplets écrits par Rouget de Lisle, et un septième écrit par un inconnu, encore plus odieux que les autres à faire rêver Fabien Mandon :
Nous entrerons dans la carrière
Quand nos aînés n’y seront plus,
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leurs vertus.
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil,
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre.
Je rêve d’un huitième, écrit par le sieur DGINTO NICK, dont je vous retranscris ici la traduction :
Aux urnes, citoyens,
Chassons tous ces couillons,
Votons, votons,
Qu’un vent d’air pur
Balaye tous ces trous-ducs.
D’Ginto