Chronique Macron, entre autres

Le névrosé narcissique condescend à recevoir dans son palais les chefs de groupe à l’Assemblée nationale et les chefs de partis, avant de nommer un Premier ministre à sa botte, au mépris de l’expression populaire.
La doctrine qu’il a annoncée : « Je choisirai un Premier ministre capable de rassembler une large majorité pour éviter les motions de censure. »
Il a donc décidé de faire fi du parlementarisme, du résultat des élections qu’il a lui-même voulues, et de se moquer de nous.
Une large majorité, avec qui ?

  • RN : 126 inscrits dans le groupe
  • Les droites réunies, en raclant les fonds de tiroir : 231
  • LIOT : 22
  • Les gauches réunies : 193
  • Les non-inscrits : 7

Une majorité, même sans vouloir être large, c’est 287.
Même en admettant que tu parviennes à soudoyer LIOT et les non-inscrits, on arrive à 260. Il faudra encore convaincre 27 élus du NFP ou du RN pour atteindre 287, et encore, tous les élus inscrits à droite vont-ils forcément bêler ? Alors, Macron, arrête de nous raconter des balivernes, abandonne ton mépris et ta morgue pour le peu de temps (pour toi, pas pour nous) qu’il te reste à la présidence, et laisse le parlementarisme jouer son rôle. Vis « la vraie vie » avec les Jeux paralympiques, inaugure, commémore, et profite de Brégançon.
Ce sera une découverte pour toi, le parlementarisme : ton miroir ne te renverra plus l’image d’un despote non pas éclairé mais allumé. Profite de ta fin de règne pour nous laisser en paix.

Je vais tenter de t’expliquer le parrlementarisme: Avec un exemple tout simple.

« Un projet de loi déposé sur le bureau de l’asssemblée nationale propose de ramener TA loi sur la retraite et de ramenter l’âge légal à 62 avec en objectif, 60 ans dans les années qui suivent.

L’autre possibilité, vexé après l’échec de ta magouille, c’est que tu te venges en faisant tout pour que l’« Horrible » accède au pouvoir. Ta première tentative a échoué, et au vu de ton attitude et de celle de tes inféodés, je doute fort que le front républicain fonctionne à l’avenir.

Je terminerai en disant, attention, « sous les pavés, les pavés ».

Tu auras été le plus nul des présidents, et ça fallait le faire.

D’Ginto

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