Quand j’ai créé mon blog, j’avais posé une règle simple : pas d’injures, pas d’insultes.
Et que croyez-vous qu’il arrive ? Voilà qu’une hurluberlue se permet de me traiter de journaliste !
Rassurez-vous, mon dégoût ne s’étend pas à Mediapart, Là-bas si j’y suis, Blast… ces quelques médias indépendants et consciencieux qui, eux, font encore le métier correctement.
Moi, je ne fais que relayer des informations. Des infos que je croise, que je prends le temps de lire, souvent derrière un mur payant. Un luxe que beaucoup n’ont pas, parce qu’ils ont autre chose à penser que de payer pour être informés : manger, se loger, survivre… bref, la vie réelle.
Alors oui, je ne suis pas journaliste. Je suis un passeur d’informations, un chroniqueur du réel à ma manière. Et si cela déplaît à certains petits rois de l’invective, qu’ils se consolent : mon blog ne se soumet à personne
Hier, j’évoquais la situation de Madame Michèle Marchand, dite Mimi Marchand.
À ce stade de la procédure, le Parquet national financier (PNF) a requis le renvoi devant une juridiction correctionnelle de celle-ci ainsi que de dix autres personnes, toutes présumées innocentes, sous réserve de la décision à venir des juges d’instruction.
Si ces derniers suivent les réquisitions du ministère public, les personnes concernées pourraient être amenées à comparaître publiquement afin de répondre d’un ou plusieurs des chefs suivants :
- subornation de témoin ;
- association de malfaiteurs en vue de commettre une escroquerie en bande organisée ;
- association de malfaiteurs en vue de corrompre des personnes exerçant des fonctions juridictionnelles au Liban.
Madame Marchand ne serait pas seule concernée par ce renvoi éventuel. Figurent notamment parmi les personnes visées par les réquisitions du PNF :
- Noël Dubus, déjà condamné dans d’autres procédures ;
- Pierre Reynaud, promoteur immobilier, aujourd’hui décédé ;
- Arnaud de la Villesbrunne, publicitaire ayant participé à une campagne électorale de Nicolas Sarkozy ;
- David Layani, entrepreneur du secteur technologique ;
- Hamadi Matug, présenté comme un ancien agent des services de renseignement libyens ;
- Nicolas Sarkozy, ancien président de la République ;
- Carla Bruni-Sarkozy, épouse d’un ancien président de la République.
Il appartiendra exclusivement à la juridiction saisie, le cas échéant, d’apprécier les faits, d’examiner les éléments de preuve et de statuer en droit, dans le respect du principe du contradictoire et de la présomption d’innocence.
Enfin, se pose une interrogation plus générale relative à la responsabilité des médias dans le traitement de certaines affaires judiciaires sensibles.
La question du respect de l’information loyale, de l’équilibre des sources et de l’absence de dissimulation volontaire d’éléments pertinents mérite d’être posée, notamment au regard de révélations journalistiques récentes, dont certaines images inédites diffusées par Mediapart concernant le traitement médiatique de cette affaire. L’analyse du traitement de cette affaire par BFMTV, telle qu’elle ressort d’enquêtes journalistiques ultérieures — notamment celles de Mediapart —, soulève des questions quant à la sélection et à la hiérarchisation de l’information diffusée.
Je suggère aux promoteurs de de « sauvez Sarko » d’acheter un stock de bouées.
Pascal ajoute un commentaire à mon article « Vive les connes »:
On peut rajouter que Typhaine Auzières est administratrice du groupe Arverne dont le PDG est Xavier Caïtoculi, milliardaire qui finance Zemmour et qui est également PDG de Verso Énergie qui est partenaire du projet de champ photovoltaïque au Varlet.
D’Ginto