Bonjour,
Par le passé, j’ai déjà caractérisé un comportement humain détestable par son appartenance à la race des Corvidés. Je m’en suis excusé auprès des corbeaux. Je parle là de l’auteur de la lettre anonyme envoyée à la mairie et gentiment diffusée par Madame Theraube (première adjointe) à tous les conseillers municipaux. Les personnages calomniés étaient Mr Boissin, Mr Levecque et mr Morselli, pas nommés bien sûr.
Diffusée gentiment par Madame Carrier à tous les conseillers municipaux, une lettre d’injures, d’insultes à mon égard, écrite par un ancien gendarme, ancien maire, et candidat en 2020, me comparait à un porc.
Pourquoi vouloir toujours, dès que l’on veut caractériser un homme, lui affubler une allure d’animal.
« Balance ton porc » pour les prédateurs sexuels, « corbeau » pour l’auteur de lettres anonymes, « l’homme est un loup pour l’homme »……. Ça suffit, les animaux méritent mieux.
Dans le texte rédigé par le collectif EGAL, je crois deviné de qui il s’agit quand on parle du loup et je trouve cela particulièrement dégradant pour le loup.
Cet animal pourchassé et massacré par l’homme est un animal social qui suivant les ethnies à son rôle à jouer. Aujourd’hui, nous tentons la réintroduction du loup dans certaines régions françaises, pas facile, mais croyez vous vraiment que nous tenterions la réintroduction, sur la terre Ardéchoise, du loup que suggère le texte D’EGAL, non !!!
Nous ferons tout ce qui est possible, sans injures, sans magouilles, sans démagogie, sans petites manœuvres mesquines et mièvres, qui ne peuvent convaincre que les déjà convaincus, (ou alors c’est à désespérer) pour lui barrer la route des bergeries !
En cliquant ICI vous pourrez lire le très beau texte du groupe EGAL, en espérant que Madame Djian lui trouvera des qualités littéraires comme elle en a trouvé pour un très beau texte écrit par un anonyme toxique (encore un) qui se cache sous le sobriquet de Décapant Cévenol. voir ici ma prose à ce sujet.
bonne lecture,
Jean Luc.
Le décapant Cévenol pourrait-il me contacter, j’ai une fosse septique à nettoyer.
Madame, nous n’avons pas les coordonnées de ce genre d’individus.
Désolé, jean-luc
Monsieur, j’avais écrit une réponse qui n’a pas du plaire au dieu du web, je recommence.
Ma réponse est à titre personnel car j’ai désolidarisé mon blog des moyens de communication d’EGAL.
Tout va bien mais je tiens à garder ma liberté d’expression et de temps en temps on me trouve impertinent.
Parisien, soixante-huitard puis américains pendant 4 ans avec une progression dans mon cadre de vie, Maçon, restaurateur, Charpentier traditionnel, bien avant le covid19,j’ai rencontré des métiers.
Départ en Ardêche because le confinement parisien de 1974 était insupportable. Donc départ, cheveux courts et idées longues. Contrairement à tous les bobards de certains ardechoix qui se veulent profs et historiens, j’ai eu un accueil magnifique des Ardéchoix, et particulièrement de la part des anciens dont nous admirions le mode de vie, le bon sens. Ils m’ont apporté beaucoup, je leur est apporté beaucoup. Quelques années à retaper une ruine à Sanilhac, tout en créant une entreprise du bâtiment, puis une scop, puis une auberge.
Mon cœur s’accroche à Lablachère pat l’intermédiaire de la petite fille du général debailleul que j’épouse, elle aussi d’ailleurs m’épouse. Ce fût un grand moment avec M . Beaussier, maire qui a suggéré à ma promise de partir en courant. Étant équipé chacun d’enfants (7) au total nous n’avons pas procréé. J’ai rejoint ainsi la famille Fabre et ses foultitudes de générations.
Je viens de vivre un enfer pendant deux ans à la mairie et c’est armé de courage que j’ai lancé le projet EGAL qui aujourd’hui ne m’appartient plus mais est le pilier du Collectif EGAL.
Les gens se sont associés à ce projet par appétence et pas par tradition familiale, certains Ardéchoix osant même flirter avec EGAL malgré leurs parents. C’est je crois 12 ardechoix qui composent le collectif, 4 implantés de longues dates et 3 depuis 10 ans.
Les municipalités de 2008 à 2020 n’ont eu qu’une envie, transformé Lablachère en village de retraités. Aussi respectables soient-ils, les retraités venus d’ailleurs, gonflés de leurs certitudes, ne sont pas l’avenir de Lablachère.
Je ne suis pas non plus l’avenir de Lablachère mais je suis fier d’avoir attiré dans mes rets des jeunes et dès qu’ils me disent papy fout nous la paix, je me casse en me disant que peut être j’ai posé une première pierre vers un retour à l’humain, à la nature. (il y a du tchekov la-dedans, mais je ne suis pas astrov)
Tout cela est un peu décousu mais en ce moment je ne passe pas trop de temps à me relire.
Cordialement, je reste à votre disposition pour faire plus ample connaissance si vous le souhaitez.
Jean Luc.