Mr Laporte se lance dans la restauration.

« Lablachère au coeur du territoire veut restaurer l’image de la commune et la porter à la place qui est la sienne. » (Mr Laporte profession de foi).

J’ai déjà commenté cette phrase qui prend aujourd’hui tout son sens, Mr Laporte veut restaurer l’image de Lablachère, mais qui était aux manettes de la commune depuis 12 ans ? Mr Laporte ! (lettre de candidature à la CDC de Mr Laporte : je l’ai démontré dans mon mandat de maire de 2008 à 2020. Mr Laporte, profession de foi : en 2014 Je m’étais attaché alors à mettre en place une alternative qui semblait assurer la continuité. Mais elle n’a pas donné satisfaction.)

Les élus de la communauté de communes, eux, soucieux de l’image de leur collectivité ont remis à leur place les délégués de la majorité de Lablachère, à savoir leurs bancs de la majorité au conseil municipal, majorité non représentative des votes exprimés. (Majorité 40 %, Opposition : 60 %). Au moins six d’entre eux vont pourvoir reprendre leurs habitudes de six ans, c’est à dire voter oui. Si on regarde les résultats des élus de la majorité de Lablachère, à la CDC-BD, c’est seulement 8/9 délégués communautaires sur 35 qui ont voté pour les délégués de la majorité à Lablachère.(j’ai retiré les 6 élus de la majorité).

Les élus de la majorité ont bien commencé la restauration de l’image de marque de Lablachère en quittant la salle de la réunion de la CDC-BD, « derrière leur chef de file », sans attendre la fin des élections, illustrant une fois de plus leur grand sens de la démocratie.

Certains des candidats de la liste conduite par mr Laporte se sont conduits de façon absolument honteuse pendant la campagne électorale municipale et ont donné une fois de plus une image déplorable. Au-delà de la démagogie, de la récupération d’une période difficile, certains sont allés jusqu’à faire courir un bruit odieux sur un candidat de la liste Egal ayant des démêlés avec la justice, la présomption d’innocence n’étant pas inscrit dans l’ADN de ces gens méprisables, mais la délation et le mensonge en faisant partie. J’ai cru comprendre que les élus de la liste EGAL n’en resteraient pas là et que toute la lumière sera faite sur cette affaire, dans le cadre du conseil municipal ou au tribunal judiciaire.

Un bon pour point l’image de Lablachère, la plus grosse commune de la CDC-BD qui  est représentée à l’exécutif de la CDC-BD par un délégué, élu du groupe minoritaire EGAL, Eric Boissin, par aucun élu de la liste majoritaire et aucun élu de la deuxième liste minoritaire représentée par Mr Tourel, ancien vice-président de la CDC-BD.

Dans sa profession de foi, Mr Laporte propose de Restaurer l’image du Maire et affirmer son autorité au sein de la commune et de la communauté de communes voire au-delà.

Pour ce qui est de restaurer l’image du Maire, poste qu’il a occupé de 2008 à 2020, ça va être dur. Pour affirmer son autorité au sein de la communauté de communes, c’est foutu, quand à l’au-delà, ce que nous pouvons imaginer comme étant le département, la Région, …. la Présidence de la République, là il y a tu taf .

Monsieur Laporte prend un mauvais départ pour la reconquête de la bonne image de Lablachère, dont il avait hérité en 2008.

Jean-luc Levecque

L’ÈRE DES « NON-NON » PREND UNE CLAQUE.

Bonjour,

Avant de commenter les résultats complets, je vous annonce dors et déjà que l’Ère des « NON À » vient de prendre une claque.

Avec un résultat franc, personne n’a été dupe,  les Lablachérois de la majorité, Mr Laporte qui se présentait à la Présidence,  et Mr Berrès, qui se présentait comme 4 ième vice-président, ont dégagé. L’équipe de la majorité de Lablachère a une fois de plus illustré son sens inné de la démocratie en quittant la salle derrière « le chef de file », un deux un deux un deux…..

Eric Boissin du collectif EGAL est élu au premier tour 4ième vice-président.

Plus de détails demain.

Jean-Luc

Mr Laporte et le défaut de communication

« Le défaut de communication et de communion dévalorise et déresponsabilise. Il entraîne une rupture de la gouvernance…. » (Mr Laporte).
Ce n’est pas le seul facteur, il faut aussi compter avec le non respect du CGCT.
Mr Laporte commence bien, avec les deux.
Le compte rendu du conseil municipal est-il obligatoire ?
Oui. Le Code général des collectivités territoriales (CGCT) impose au maire d’afficher un compte rendu de la séance du conseil municipal dans un délai d’une semaine (article L2121-25 du CGCT). Cet affichage doit se faire à la mairie et être mis en ligne sur le site internet de la commune, s’il existe.
Le maire est responsable de la rédaction du compte rendu, comme le spécifie le ministère de l’Intérieur dans une réponse portant sur la différence entre un procès-verbal et un compte rendu de conseil municipal.

Bref aujourd’hui, toujours pas de compte-rendu. Nous sommes le 13 juillet et la première séance du conseil municipal a eu lieu le 3 juillet.
Vous me direz, est-ce vraiment important puisque lors de cette séance a été élu le maire, les adjoints, une broutille, que Corinne Larcher de la liste EGAL a lu un texte liminaire?
Voilà donc un bon départ, après toutes les belles paroles.
Et ce n’est pas terminé.
Le compte-rendu est en principe un extrait du procès-verbal,
le procès-verbal de conseil municipal doit être signé et approuvé par l’ensemble des conseillers présents à la séance ou de faire mention « de la cause qui les a empêchés de signer » (article L. 2121-23 du CGCT).Les mentions figurant sur le procès-verbal font foi.
« LAQAPDS », (L’alternative qui n’a pas donné satisfaction) n’a publié aucun compte-rendu dans les six dernières années et a même annoncé fièrement en séance du conseil municipal qu’elle n’en ferait jamais.
Que va faire la nouvelle équipe ?
Je rappelle que le procès-verbal de séance est sous la responsabilité unique du secrétaire de séance, qu’il doit être fidèle à tous les événements qui se sont produits pendant la séance, questions, réponses..que le maire ne peut le modifier.
Le sénat stipule qu’un seul document peut exister et dans ce cas doit satisfaire aux exigences des deux documents. En résumé, si il y a un seul document c’est le Procès-verbal, qui devient également compte-rendu.
A suivre.
Jean luc

Dans L’ÉCHO DES CÉVENNES, ça vanne.

Je ne pense pas que l’Écho des Cévennes ai jamais eu la prétention de remplacer l’Écho des Savanes, publication disparue en 1982, heureusement. Il n’y a de comparaison ni par les textes, ni par les dessins. Une grande différence existe encore entre les deux, les acteurs de L’Écho des Savanes signaient leurs textes.

Je remercie le corbeau de l’écho des Cévennes, pour le parallèle qu’il fait entre Falstaff et moi. Je préfère nettement cette référence plutôt que celle de notre maire Mr Laporte, qui me compare à un cochon et qui m’appelle monsieur Lavette.

La lettre de mr Laporte, diffusée avec diligence par Madame Carrier adjointe de mr Tourel maire et numéro deux sur la liste « de » Mr Laporte est ICI

Maintenant je conseille à l’auteur de l’article de lire les pièces dans lesquelles batifole Falstaff, Henri IV première partie et deuxième partie, Les joyeuses commères de Windsor.

Peut être se rendrait-il compte que le Falstaff c’est lui, peut-être en plus mince. Pour ce qui est de bouffon, pas de problème, le côté spirituel est moins évident, par contre fanfaron et poltron, là c’est ok, voir sa prose.

J’ai dis « le corbeau », car les articles non signés me donnent des boutons. Un des auteurs m’a dit un jour  « je ne signe pas car cela pourrait faire du tort à ma famille » et donc je ne cite pas son nom.

Si son papier est une allégorie, il est difficile d’en comprendre le but et cette façon édulcorée de ne rien dire en faisant mine de prendre position est un coup d’épée dans l’eau qui ne peut satisfaire que son auteur.

Nous avons, le collectif EGAL, pendant toute la longue campagne électorale tenu un bureau, tous les dimanches à Lablachère, à l’entrée du marché et c’est sans crainte mais sans enthousiasme que nous aurions reçu l’Écho des Cévennes.

C’est sans fard que nous aurions donné des « informations » sur notre projet, c’est sans honte que nous vous aurions signalé qu’entre les deux tours un de nos candidats s’est retrouvé face à la justice. Il est certain que Gaspard eut été plus utile dans notre bureau que dans les supermarchés à faire, tombant dans le panneau, l’inventaire des masques.

Bref de façon générale le niveau de l’Écho a considérablement baissé et aujourd’hui, atteint celui d’un BFM local, colporteur de ragots. Ce n’est pas à cause de l’entrefilet qui me concerne, mais à cause de l’ensemble qui me consterne.

En passant vous avez oublié de dire que « Monsieur Pongron était parti travailler sans son imperméable »

 

Jean-luc Levecque.

 

 

 

 

Les blaches bruissent, les bruits de chiottes les envahissent.

Les blaches bruissent, les bruits de chiottes les envahissent.

À peine ai-je donné ma démission du collectif EGAL que les petits esprits, les minables démarrent.

Je fais donc une mise au point et je me permets d’intimer l’ordre à certains salisseurs de mémoire qu’ils feraient mieux de fermer leur claque-merde  (les tontons flingueurs)

Si je suis considéré comme le père du projet Egal, je ne suis pas Poutine. Très vite j’ai été rejoint par deux collègues, élus, Mr Boissin et Mr Morselli. Le premier est resté et le second par un brusque revirement s’est associé à Mr Laporte auprès duquel, nous n’en doutons pas, il trouvera toutes les options qui sont chères à EGAL. Il m’a assuré qu’il garderai sa liberté d’expression, de conscience. Nous espérons qu’aujourd’hui élu et étant nommé adjoint il tiendra sa promesse. Garder sa liberté de penser ne change d’ailleurs rien, il l’a fait pendant 6 ans et n’a jamais été entendu, le pari est risqué, vu que 5 des transfuges de Mr Tourel à Mr Laporte ont passé leur temps à ignorer ses propositions, ses critiques, ses remarques allant même jusqu’à l’insulter ou à lui demander de prendre des vacances, alors même qu’il faisait partie de la majorité municipale.

Dès le départ en 2018, j’ai indiqué que je travaillais sur la mise au point du projet, mais que vu mon âge je ne me présenterai pas aux élections. Ce n’est que par manque de candidat que je me suis inscrit sur la liste conduite par Eric Boissin, et si j’ai accepté c’est aussi en disant que je travaillerai un an et que je démissionnerai, laissant la place à un autre candidat. Notre liste, construite autour d’un projet innovant, a en effet été difficile à monter, tant les habitudes sont tenaces, et nous n’étions pas prêt à faire des compromis, à chercher des noms qui apportent des voix.

Pourquoi est-ce que je vais plus vite que prévu ?

Parce que si nous sommes tous d’accord sur les piliers qui soutiennent notre projet, nous ne sommes pas d’accord sur les méthodes et particulièrement en matière de « combat politique », aux municipales, intercommunautaires et au niveau national. Considérant que je ne suis pas l’avenir de EGAL, je laisse la place, sans claquer la porte, aux néo-égaliens, avec un message très simple, 2026 c’est bientôt, travaillez, formez vous, armez vous, soyez précurseurs dans la lutte contre la Vième république, et surtout ne croyez pas un seul instant que cette municipalité soit capable de faire le bonheur des Lablachérois, ne faites même pas semblant, pas de gants, voilà douze ans qu’elle sévit.

L’équipe EGAL est éminemment sympathique, l’équipe EGAL est un sourire et va faire bien des petits, au sein, si j’ai tout compris, d’une association citoyenne, porteuse d’un projet politique à peaufiner, vigilante et lanceuse d’alertes au niveau de la municipalité, porteuse de projets que cette municipalité sera incapable de réaliser  dès lors qu’ils touchent le bonheur, le bien-être ensemble, le partage. Il est clair que sans avoir de responsabilités dans cette association, j’en serai adhérent.

Jean Luc.