L’agonie programmée du service public Audiovisuel

Kant ne disait-il pas :
« J’interdis la télévision à mon chien. Pas question de l’abêtir ».
Pardon, Kador, grand spécialiste de Kant,  me corrige et me dit que c’est de René de  Obaldia.

Notre jeu concours de la semaine, qui a dit:

« depuis que toutes les chaînes se livrent cette bataille pour l’audimat, parler d’intelligence à la télévision c’est comme si on distribuait des guides économiques au Sahel »

Si vous trouvez vous pouvez écouter Ça

Sa majesté a décidé seule de supprimer la redevance télé au motif de redonner du pouvoir d’achat.

Le réel motif ne serait-il pas d’affaiblir le service public (3 milliards d’euros), et au profit de qui? Alors là je me demande vraiment.

Je pense qu’il faudrait plutôt s’intéresser à  la qualité des programmes, à l’indépendance des rédactions, à la nomination  du président de france télévisiont, Radio france…..qu’il vaudrait mieux donner enfin à la télévision publique les outils pour « informer librement », pour produire des programmes culturels dignes de ce nom et non toutes ces conneries qu’on nous propose à longueur de journée.

Arrêtez de dire que vous produisez en fonction de ce que demande les français. Mon cul vous abrutissez le spectateur en lui laissant croire que c’est lui qui a demandé cette soupe. La télévision ne se doit pas d’être vulgaire, la télévision ne doit pas être au service de l’état mais du peuple, la télévision doit…….et la radio?

Un autre chose serait de permettre l’intervention populaire, en cours d’émission, les techniques modernes le permettent.

 

 

 

Jean Tonique.