Je me vaccine contre le vaccin miracle, pourquoi ?

A ce jour, aucune information scientifique n’est venue corroborer l’efficacité des vaccins qui par contre on un effet immédiat en bourse.

Pauline Londeix, chercheuse, militante depuis des années, impliquée dans la lutte pour l’accès aux médicaments génériques utilisés contre le VIH 2 et le virus de l’Hépatite C, écrit :

on nous vend la promesse d’un vaccin pour sortir du cycle confinement-déconfinement et au final, on n’est pas sûr qu’il réponde à ce que l’on recherche : qu’il stoppe la transmission de ce virus. Les États naviguent à vue, financent la recherche et pré-achètent des doses de potentiels vaccins sans savoir s’ils tiendront effectivement leur promesse ».

Els Torreele, chercheuse en innovation médicale et biologiste de formation.

Écrit ;

« Cela ne signifie pas que les personnes vaccinées par le produit de Pfizer-BioNTech ont 90 % de chances en plus de ne pas être atteintes par le virus, et donc de ne pas le transmettre, ce qui permettrait d’en arrêter la circulation. On sait seulement que les volontaires vaccinés ont eu 90 % de risques en moins de développer des signes plus ou moins graves de la maladie ».

Ce résultat affiché ne veut donc pas dire qu’il empêche la transmission du virus avec une efficacité de 90 %, car en réalité, on ne le sait pas.

 

« Les essais cliniques ne regardent pas l’infection mais la maladie. Ils ne vérifient pas si tous les patients sont infectés ou non par le Covid-19 mais la survenue de signes de la maladie », confirme Jean-Daniel Lelièvre, chef du service d’immunologie clinique et maladies infectieuses au CHU Henri-Mondor de Créteil.

Les patients asymptomatiques passent donc à la trappe et « Cette non-prise en compte des asymptomatiques fausse les résultats. D’autant que nous ne sommes pas encore sûrs qu’ils sont moins contagieux que ceux qui présentent des symptômes », dénonce Els Torreele.

Bref on gagne du fric, beaucoup, en bourse, on commande des vaccins en masse, sans avoir aucune certitude de leur efficacité pour enrayer la pandémie. On prépare des stratégies de vaccination.

Panique, poudre aux yeux, et  il est évident que je souhaite qu’un vaccin soit mis au point, sans effets secondaires graves, qui empêche d’être infecté.

La précipitation ne pourra certainement favoriser l’envie de se faire vacciner, malgré tous les ténors politiques qui vont tous se faire vacciner si on en crois les réponses qu’ils donnent à chaque fois à la question « et vous, allez vous vous faire vacciner ?» « oui ! ».

On verra, mais si c’est un échec, le résultat sera catastrophique.

Beaucoup de fric dépensé pour le vaccin, mais quid de la recherche pour les traitements de la maladie qui existera toujours, le vaccin contre la grippe existe, est-ce cela qui empêche la grippe de circuler. Il faut donc soigner ceux qui sont atteints. Mais ça c’est moins rentable.

Le jour ou la recherche pharmaceutique, la fabrication des médicaments et vaccins sera affaire de l’état, tout ira mieux mais il faudra développer un autre outil, car les poules auront des dents.

Jean Luc Levecque.

Les citations sont extraites d’articles de Médiapart.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

I accept that my given data and my IP address is sent to a server in the USA only for the purpose of spam prevention through the Akismet program.More information on Akismet and GDPR.