Non, je ne fais pas campagne contre la vaccination, j’explique pourquoi je ne me fais pas vacciner, nuance. Je relis cette phrase et elle me semble claire et précise.
OUI, J’exprime des doutes sur la mentalité des dirigeants des laboratoires pharmaceutiques (voir les bénéfices réalisés par le PDG du géant Pfizer, Albert Bourla qui a vendu pour 5,6 millions de dollars d’actions, lundi 9 novembre, opération prévue depuis août 2020, tout ça sur un simple communiqué de presse). Par contre, je suis convaincu que les scientifiques, chercheurs, laborantins et autres, bossent pour mettre au point un vaccin de qualité, dans la mesure de leurs connaissances. Ce coup-ci, ils n’aurons pas eu le temps de faire ce qui en moyenne prend 4 à 5 ans, à savoir les essais cliniques de masse et leur surveillance, ce n’est pas leur faute.
MES RAISONS
LA PREMIÈRE
J’attends les réponses aux questions suivantes.
Les cellules Spike des Covid-19 sont-elles identiques, d’un virus SARS-cov2 mutant à un autre ?
Le vaccin empêche-t-il carrément d’être infecté par le Sars-CoV-2 ou évite-t-il seulement les formes graves ?
est-ce qu’avoir reçu le vaccin implique qu’on ne peut plus transmettre la Covid-19 ?
Que se passe-t-il si une personne qui a reçue la première piqûre est infectée dans les 3 semaines qui suivent, avant la deuxième injection.
Combien de temps dure l’immunité après la deuxième piqûre.
Quel effet du vaccin sur une personne qui a été infectée avant la vaccination.
Quid du vaccin sur les personnes à risques.
LA SECONDE
Parce que je veux choisir le vaccin.
À ce jour je refuse les séries de vaccins modernes, types Arn : Pfizer, Moderna ou Adn : types Astrazeneca, Spoutnik. (Trop de risques, à l’échelle d’une pandémie, d’après mes lectures et devant le manque d’informations scientifiques.)
Intuitivement mon choix irait sur un vaccin de type inactivé, atténué ou à protéine recombinante, vaccins aux techniques éprouvées et je reprends une phrase de Christian Vélot, chercheur enseignant en génétique moléculaire, « n’ajoutons pas à imprévisibilité et l’incertitude d’un virus, à l’incertitude et l’imprévisibilité d’une technologie ». Leur efficacité (70%) est moindre que celle annoncée par Pfizer, 94 %. (Non ce n’est pas un résultat de l’élection de certains dictateurs). L’efficacité pour le vaccin de la polyo est de 72 %. Oui je vous entends,« la polyo disparaît dans pratiquement tous les pays du monde ou les gens boivent de l’eau saine ». Ben faisons pareil, protégeons la planète, la forêt, les animaux sauvages, ….. et les virus facétieux resteront tranquillement dans leur animal familier, peinards dans leur habitat, et pas dans une cage sur un marché, certains voleront de chauve-souris en chauve-souris, d’autres sauteront d’arbre en arbre, d’autres dans les pangolins. Ceux-là feraient bien de se méfier, le massacre des pangolins ne laisse rien augurer de bon pour ce petit mammifère.
LA TROISIÈME
parce que j’ai des doutes sur les objectifs.
J’ai étudié les chiffres annoncés par 3 pays et leurs objectifs qui sont communs, à savoir une immunité collective pour juillet 2021.
L’immunité collective consiste à avoir 60 % de personnes immunisées.(soit disant ! on voit qu’au Brésil, à Manaos, 75 % de la population a été infectée et les images des fosses à cercueil rappellent d’horribles souvenirs. Et bien aujourd’hui ça repart et de plus belle !
Pour s’immuniser à partir du seul vaccin, c’est pour la France 510,000 piqûres par jour, l’Allemagne 611,000, l’Angleterre 480,000. (Ne pas oublier qu’il faut deux piqûres)
Aujourd’hui en France depuis le 27 décembre la moyenne est de 16000 piqûres.
En Allemagne : 29000 avec l’armée à la logistique et des vaccinodromes géants.
En Angleterre : 93000 piqûres. L’Angleterre dit-on vaccine à marche forcée. (28 mois).
En France si nous nous en tenons aux 930 centres de vaccination annoncés, si nous avons les doses, les seringues(les bonnes) , c’est 57 personnes (accueil, piqûres, surveillance) nécessaires tous les jours dans chaque centre jusqu’en Juillet (soit un total de 53000 personnes). Ce chiffre est une moyenne et il est évident que le personnel nécessaire dans un centre de vaccination à Lyon, n’est pas le même que pour un centre au milieu de la Lozère. Mr Pongron nous demande d’ailleurs si son médecin peut faire faire les piqûres localement, par une infirmière. Je lui réponds immédiatement que le problème est la conservation à -80 degrés et donc que ce n’est pas avec les vaccins ARN messagers que cela sera possible.
Tous ses chiffres sont à prendre avec une extrême prudence les états étant très avares sur les données. Par contre au vu des chiffres annoncés, Il ne peut y avoir que des bonnes surprises.
LA QUATRIÈME
Parce que l’état et les médias nous bourrent le mou.
Ils annoncent fièrement un nombre de vaccinés alors qu’à ce jour on ne peut parler, en France que que de premières piqûres effectuées. Le décompte devrait être annoncé sous deux formes, nombre de premières piqûres effectuées par jour, nombres de deuxièmes piqûres effectuées par jour.
Les premières deuxièmes piqûres devraient se faire à partir de Lundi 18/01/2021.
Je n’ai aucune confiance dans ce gouvernement pour organiser quoi que ce soit.
Je propose :
En parallèle à la vaccination des volontaires, si la contamination est une forme d’immunisation, arrêtons de confiner, de couvre-feuter et ouvrons tous les lieux. Embrassons nous.
Dépistage massif (afin de ne pas piquer ceux qui sont atteints). Base volontariat
Protégeons les personnes à risques ou qu’elles se protègent elles-mêmes. Base volontariat
Piquons en priorité tous les gens qui sont par obligation obligés de se concentrer (métro..) ainsi que le personnel médical. Base volontariat.
Le tout accompagné d’une campagne d’explication intelligente, positive (là il va falloir qu’ils embauchent) pour inciter la population à jouer le jeu (gestes barrières quand c’est nécessaire).
Il faut intensifier la recherche de traitements. Les états, au grand bonheur des laboratoires pharmaceutiques, ont financés la recherche de vaccins au dépend des traitements ( moins juteux financièrement).
À ce sujet,nous pouvons admirer la lucidité de notre ministre de la Santé, qui comme beaucoup de moutons, et jusqu’à l’OMS ont fait interdire l’hydroxychloroquine pour le traitement de la covd19, suite à l’article hautement documenté de « The Lancet ». Depuis, l’OMS a repris ses recherches sur L’hydochose et « The lancet » a retiré a publication because la grande incertitude sur la qualité et l’intégrité des auteurs de l’étude. Notre sinistre lui ne revient pas sur a décision. Ben ça alors.
Un dernier petit commentaire sur un de mes détracteurs, cet individu est très exigeant sur les produits qu’il va mettre dans sa voiture, prolongement de sa bite, mais pas pour que ce qu’on va lui mettre dans le corps !
Jean-luc levecque