Parler pour ne rien dire et ne rien dire pour parler sont les deux principes majeurs et rigoureux de tous ceux qui feraient mieux de la fermer avant de l’ouvrir. (Pierre Dac)

e ne souhaite de handicap à personne, mais je regrette que le président de la république, que nous savions aveugle et sourd, ne soit pas muet.

Son allocution fût celle d’un mec hors-sol, classique, stupide et creuse. La seule chose que j’en ai retenu c’est l’histoire des 100 jours.

Les « cent jours » qui suivent l’élection du président de la république, sont traditionnellement ceux pendant lesquels le nouvel élu lance ses premières réformes.

Monarc, est-il atteint à ce point qu’il croit être au début de son quinquennat ?

Le 14 juillet, quand IL constatera son échec, va-t-il changer de premier ministre, dissoudre l’assemblée, proposer un référendum puis/ou démissionner ou va-t-il partir faire un tour en Falcon ? Les paris sont ouverts.

Le bruit court que la démission du président de la République, lui donne la possibilité de se présenter pour un troisième mandat si son deuxième mandat est incomplet.

L’article 6 de la Constitution est ainsi libellé : « Le Président de la République est élu pour cinq ans au suffrage universel direct. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs ».

Il n’est pas spécifié, comme pour la Polynésie « plus de deux mandats de cinq ans consécutifs ». Dans l’article 6 la durée du mandat et le nombre de mandats possibles sont dissociés, donc en grand constitutionnaliste que je suis, je dis que le bruit qui court est nul et non avenu.

Mais pourquoi diantre ce bruit court-il ?

 

Jean Tonique.

 

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