Bonjour,
Ce n’est pas la première fois que cela arrive. J’écris un texte, je le publie, et quelques jours après, parfois même le jour même ou avant, un média traite à peu près le même sujet.
Hasard ? Phénomène dans l’air du temps ? Peu importe.
Les médias en question sont, entre autres : Là-bas si j’y suis (Jésus qui voulait tranquillement boire son bol de cervoise tiede dit à ses disciples : « Allez là-bas voir si j’y suis » — miracle, il y était), Médiapart, La France Insoumise, Blast, ou encore Le Monde (enfin, non, plus maintenant) et parfois Libé.
Donc, dans Là-bas si j’y suis, l’équipe de Mermet a osé copier l’article… que je n’avais pas encore écrit. Bref, trêve de plaisanteries !
Le sujet abordé par Laurence De Cock concerne l’École Vitruve, rescapée de quatre écoles d’origine. Ces établissements avaient, à l’époque, des instituteurs volontaires, mis en place par Robert Gloton, un inspecteur pédagogique visionnaire.
Hélas, l’article en question est réservé aux abonnés. Je vous partage néanmoins quelques liens accessibles librement (à vérifier) :
lien 1
lien 2
lien 3
et lien 4
Après avoir visionné l’interview,pour compléter mon article, voici quelques points essentiels concernant l’École Vitruve, exposés par les instituteurs :
Les projets menés dans cette école doivent systématiquement aboutir dans l’espace public et mobiliser tous les fondamentaux.
Les enfants s’auto-évaluent.
Le directeur est un coordinateur, dont la fonction tourne chaque année.
Les instituteurs changent de niveau chaque année.
Les niveaux sont organisés en regroupements de sections.
Deux événements majeurs rythment la vie de l’école :
Les classes vertes.
La braderie annuelle, destinée à financer les classes vertes.
aucun enfant ne peut être privé de classe verte pour des raisons financières.
D’Ginto