Ce n’est pas à nous d’avoir honte.

J’ai sélectionné un texte d’un(e) citoyen(ne) parmi tant d’autres pour exprimer le désarroi, la honte de nombres de Lablachérois au vu des agissements du maire.

Je signe toujours mes articles par contre je ne citerai pas l’auteur(e) de ce texte qui ne m’a pas autorisé à le publier.

« Quel culot ! Il (le maire) dénonce la représentation actuelle de Lablachère au sein de la CDC mais dans le même temps il s’exprime au nom de Lablachère alors qu’il n’ a été élu que par 40 % des voix. Et même au sein de ces voix, son point de vue sur la CDC n’est sûrement pas partagé par tout son électorat. Tout comme il l’avait fait avec sa fameuse banderole, il dit s’exprimer pour les Lablachérois alors qu’il ne parle qu’en son nom et celui de ses proches conseillers municipaux. Et encore une fois cela me fait honte d’avoir un tel personnage au siège de maire.

Je pense avoir déjà longuement écrit sur le sujet du maire et de sa position anti-démocratique et autoritaire.

Mais à partir de ce petit texte je fais ou refais quelques remarques, précisions et projections .

 

L’auteur(e) nous dit : « il n’ a été élu que par 40 %. »

C’est exact et regardons ce que cela donne en terme de représentation  mr Laporte représente

40 % des exprimés. Nous subissons là la cinquième république qui grâce à la prime au vainqueur donne 75 % des sièges au conseil municipal et là il y a fort à parier que le maire accepte cette forme de démocratie.

24 % des inscrits

22 % des citoyens en age de voter ( % trop élevé car la tranche d’age utilisée, ne comprend pas les citoyens âgés de 18 et 19 ans).

À la lecture de ses résultats la majorité municipale peut elle revendiquer la représentation de la population, NON.

L’auteur(e) nous dit encore : Tout comme il l’avait fait avec sa fameuse banderole

L’auteur(e) là se trompe, ce n’est pas sa banderole mais « ses fameuses banderoles »

La première, quand il était maire, était contre l’installation d’une aire de grand passage pour les SDF du voyage.

La seconde quand il n’était plus au conseil municipal, était libellée « non à la Raze », agrémentée d’un mensonger camion poubelles. Bien qu’il ne soit plus au conseil municipal, cette banderole a été posée par les employés municipaux.

L’auteur(e) parle encore «de ses proches conseillers municipaux. » je rappelle que sur 5 de « ses » conseillers, 3 sont issus de la municipalité précédente. Mr Laporte à critiqué ces conseillers en écrivant qu’ils (les conseillers) n’avaient pas donné satisfaction. Je fais encore une petite remarque, l’élection des adjoints s’est faite, comme cela est réglementaire, lors du premier conseil municipal, mais lors de cette mascarade aucune compétence n’a été attachée aux fonctions. Cela viendra plus tard ?

Je ferai encore une dernière remarque, sans vouloir jouer au Trump ardéchois, je conteste ces élections tout en reconnaissant leur légalité.

Je les conteste à partir d’une petite phrase de Mr Laporte, au sortir des résultats, le 20 juin.

« Finalement les résultats du second tour ressemblent étrangement à ceux du premier ».

Il faut avoir des problèmes de lecture et de calcul mental pour sortir une connerie pareille.

Tout le monde sait que la liste EGAL à fait une connerie sur ses bulletins du premier tour en oubliant de mentionner la nationalité d’un de nos colistiers dont acte. Mais cette information mérite une relecture des résultats.

Bulletins nuls à cause de la connerie : 56. Ce qui ramène le score de la liste EGAL à 313, soit 20 voix de moins que mr Laporte et 87 voix de plus que la liste Tourel.

Regardons maintenant le deuxième tour, bulletins corrigés et pour ce qui me concerne, je dis que le résultat ne ressemble pas du tout au premier tour.

Mr Laporte augmente son score de 50 voix,

Mr Tourel de 25 voix

la liste Egal de seulement 3 !Alors que partout en France et en Navarre la liste Egal avait le vent en poupe.

Notre campagne nous permettait de croire à au moins 35 voix supplémentaires de gens qui ne s‘étaient pas déplacés au premier tour.(porte à porte). Que s’est-il passé, c’est très simple, au sortir d’une réunion du club de l’amitié et d’une partie de boules le bruit a couru que sur la liste Egal figurait un « violeur ». Le jour de l’élection, sur le marché une dame m’a demandé si c’était vrai que Mr X…, candidat avait violé une petite fille ! Ma réponse a été claire, comme nous l’avons communiqué à toute la population sur notre dernier tract de campagne, « Un de nos candidats a des ennuis avec la justice, mais rien à voir avec un viol ». Nous savons quel impact cela a eu sur le vote. Je ne peux donner d’informations sur les auteur(e)s de ce bruit de chiottes, j’ai personnellement engagé une procédure en justice, non pas pour annuler les élections mais pour punir les diffamateurs(trices).

Nous avions l’opportunité de porter une réclamation auprès de la justice, pendant les élections, mais nous avons considéré que les Lablachérois en avait assez bavé avec des élections fantaisistes, une campagne immonde et la covid19 et nous avions encore espoir.

Tout ceci pour dire que la majorité municipale devrait faire preuve d’un peu d’humilité. Tout cela encore pour dire que les conseillers municipaux, si ils ne veulent pas avoir à endosser l’image ternie de Lablachère, ils feraient bien de reprendre ce qui leur appartient, la gestion de la commune ! Monsieur Laporte dans sa profession de foi propose de redorer l’image de Lablachère. Mais qui a été aux manettes pendant douze ans ?

Jean-luc levecque

J’ajoute une petite comptine :

« Macron tu dors la police la police tape trop vite
Macron tu dors la police la police tape  trop fort »

La police la police tape trop vite,
La police tape trop fort. »     bis.

 

 

 

 

 

 

 

Guignol, Guignol, Guignol !

La dernière connerie du sinistre de l’intérieur montre aux députés LaRem(a) qu’ils ne forment qu’un énorme paillasson, à force de voter le doigt sur la couture du pantalon

Suite aux différents scandales, Darmalin propose à Castex de créer une commission pour réécrire l’article 24.

Castex reprend à son compte et met le feu aux poudres.

La loi est écrite par les parlementaires, pas par les ministres. Aparté : Les conseillers municipaux devraient en prendre de la graine ce sont eux qui sont aux manettes, pas le maire.

Les petits LaRem(a) de s’écrier nous ne sommes pas des faire valoir, Sénat et Assemblée nationale unanimes pour dénoncer le crime de lèse parlementaires. Les adeptes de Darmalin, chouchoutés prennent une claque dans la gueule. Les petits LR, LaRem, RN ont voté comme d’habitude un texte ignoble, le doigt sur la couture, mais voilà qu’un ministre veut le réécrire, alors là « non, nous on a fait ce qu’on nous a dit, on va avoir l’air con. » !

Coutumier du fait et d’une grande efficacité le Monarc demande pour la troisième fois qu’on lui fasse des propositions pour réaffirmer « le lien de confiance qui doit naturellement exister entre les Français et ceux qui les protègent. ». Pour ce qui me concerne je dirai plutôt que nous attendons des propositions pour «  inventer le lien de confiance qui devrait naturellement exister entre les hommes vivants sur le sol Français et ceux qui sont censés les protéger, aux termes de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, aux termes de la déclaration universelle des droits de l’homme, aux termes de la constitution (qui d’ailleurs est à chier.) »

Tout le monde sait que les moyens sont simples et que la première chose à faire est d’apprendre aux policiers, la déclaration des droits de l’homme.

Mais en préambule il faut une police dont on n’a que très peu besoin. Comment ça, t’es con ou quoi  ?

Pour en avoir besoin le moins possible, il faut mettre en œuvre une politique ou des citoyens n’aient pas que la casse pour se faire entendre, ou des citoyens pour vivre aient autre chose à faire que de dealer, ou des citoyens aient pour habiter autre chose qu’un carton sur une bouche de métro. Il faut mettre en œuvre une politique ou les richesses sont partagées, ou les propositions en matière sociale soient discutées avant leur mise en œuvre et pas après des manifestations, ou les grands sujets sociétaux sont proposés par referendum (sous réserve de clarté, de pédagogie.)

La seconde chose à faire est de sélectionner, puis de former les policiers divers et variés à se comporter professionnellement, rigoureusement et froidement dans les interpellations, les manifestations.

La troisième chose est d’établir une police de proximité, stable et habitant dans les quartiers, contact indispensable entre la population et l’état, au service des quartiers, des associations, des habitants.

La quatrième est de supprimer un certain nombre d’armes à disposition des policiers.

Nous savons tous qu’il y aura toujours des exactions perpétrées par des manifestants, par des policiers et qu’il faut une commission ad hoc indépendante, chargée d’instruire les cas délictueux qui lui seraient proposés, à charge et à décharge, rapidement et pour cela il est clair que la captation des événements est indispensable.

Cette commission ne peut pas être l’IGPN, dans sa forme actuelle, machine à blanchir.

Cette commission doit être composée de policiers, de journalistes, de parlementaires, de citoyens, de magistrats, d’avocats…….

« A chaque fois, je parvenais à la même conclusion si tout le monde se faisait confiance, il n’y aurait pas de police, pas de tribunaux, pas de prisons et…pas d’argent. » Zweig.

« Nous quand on est convoqué par la police, on n’a pas d’immunité ouvrière. » Poutou

« L’oeil de la police est fort utile dans un Etat, mais ses mains y sont de trop. » Baron de Stassart.

« Une photo d’identité de la police en noir et blanc : face et profil, deux yeux au beurre noir, les lèvres fendues et enflées de celui qui vient de faire des aveux spontanés ». John Le Carré

« Il y a deux choses qui ne supportent pas la publicité, c’est la police et l’amour. » Herriot.

Bonne nuit,

Jean Luc Levecque.

J’ai honte.

Bonjour,

En ces temps ou le sinistre de l’intérieur affirme son moutien à un de ses subordonnés, le préfet de Police de Paris, qui défraye la chronique ces derniers temps, ne veut pas s’en servir comme d’un fusible. Il a raison, il doit démissionner ou être viré en premier, le préfet suivra.

En ces temps ou la compassion du ministre de l’intérieur s’affirme sur les écrans, dès qu’un policier est agressé, attaqué à coups de feu d’artifice, aucune larme pour le citoyen agressé violemment par trois policiers, qui accumulent les manquements. La vidéo suivante est édifiante.

https://twitter.com/i/status/1331870826652643328

Écœurante mais édifiante dans cette vidéo tout est dis.

Je me suis souvenu d’un texte qui n’est pas très compliqué, qui est assez court, gloire de l’esprit Français.

La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.(1789)

La Déclaration est un des trois textes visés par le préambule de la Constitution de l958, sa valeur constitutionnelle est reconnue par le Conseil Constitutionnel depuis 1971. Ses dispositions font donc partie du droit positif français, et se placent au plus haut niveau de la hiérarchie des normes en France.

Le droit positif c’est l’ensemble des règles juridiques en vigueur. Il est érigé par l’homme par opposition au droit naturel.

Cette déclaration sera suivie en 1948 par la Déclaration universelle des droits de l’homme, signée par 50 pays sur 58.

Les non signataires mais qui font partie des Nations Unies sont l’Arabie saoudite, l’Afrique du sud, l’Union soviétique, la Pologne, la Yougoslavie, la Tchécoslovaquie, le Honduras et le Yémen.

La déclaration des droits de l’homme de 1789 source d’inspiration pour la Déclaration Universelle de 1948 s’est étoffée de 13 articles supplémentaires.

Mais revenons à notre bonne vieille déclaration française.

https://www.legifrance.gouv.fr/contenu/menu/droit-national-en-vigueur/constitution/declaration-des-droits-de-l-homme-et-du-citoyen-de-1789

À la relecture certains articles attirent mon attention dans la tension actuelle.

Art. 1er. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.

Dans cette article les hommes représentent, n’en déplaise à L’Arabie Saoudite, les femmes et les hommes, en effet cet article ne précise aucun sexe, aucune nationalité, aucune couleur ni aucune religion et s’adresse donc à tout humain ayant les pieds sur le territoire Français.

Les trois policiers (connaissent-ils la Déclaration) agissent-ils en répondant à cet article ?

Art. 7. Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu’elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l’instant : il se rend coupable par la résistance. 

Les trois policiers agissent-ils en respectant cet article ?.

Art. 12. La garantie des droits de l’Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.

Les trois policiers agissent-ils en respectant cet article. ?

Si vous avez répondu trois fois non, écrivez au Ministre de l’intérieur.

Il est clair que la Constitution est venue élargir la Déclaration, par son contenu même et par la loi.

L’entourloupe que nous propose le gouvernement avec son article 24, remanié puis aujourd’hui à l’étude par une commission sous l’égide de Castex, cet article n’est ni plus ni moins qu’une tentative pour cacher les manquements de certains policiers.

De toute évidence, si cette vidéo (et d’autres n’avaient pas existé), l’agressé serait en prison et les agresseurs remerciés d’avoir fait le job.

Il est un autre document que devrait obligatoirement lire les détenteurs de l’ordre, et particulièrement Lallement et Darmalin, c’est la lettre qu’un Ardéchois, né à Annonay, enverra à tous les membres de la Maison (la police), en mai 1968.

C’est Maurice Grimaud, préfet de police de Paris alors sous les ordres de Christian Fouchet ministre de l’intérieur. Il succède au sinistre Maurice Papon.

La lettre de Maurice Grimaud.

https://blog.francetvinfo.fr/police/2018/05/05/29-mai-1968-lettre-de-maurice-grimaud-prefet-de-police-aux-policiers.html

« Je m’adresse aujourd’hui à toute la Maison : aux gardiens comme aux gradés, aux officiers comme aux patrons, et je veux leur parler d’un sujet que nous n’avons pas le droit de passer sous silence : c’est celui des excès dans l’emploi de la force.

Si nous ne nous expliquons pas très clairement et très franchement sur ce point, nous gagnerons peut-être la bataille sur ce point, nous gagnerons peut-être la bataille dans la rue, mais nous perdrons quelque chose de beaucoup plus précieux et à quoi vous tenez comme moi : c’est notre réputation.

Je sais, pour en avoir parlé avec beaucoup d’entre vous, que, dans votre immense majorité, vous condamnez certaines méthodes. Je sais aussi, et vous le savez avec moi, que des faits se sont produits que personne ne peut accepter.

Bien entendu, il est déplorable que, trop souvent, la presse fasse le procès de la police en citant ces faits séparés de leur contexte et ne dise pas, dans le même temps, tout ce que la même police a subi d’outrages et de coups en gardant son calme et en faisant simplement son devoir.

Je suis allé toutes les fois que je l’ai pu au chevet de nos blessés, et c’est en témoin que je pourrais dire la sauvagerie de certaines agressions qui vont du pavé lancé de plein fouet sur une troupe immobile, jusqu’au jet de produits chimiques destinés à aveugler ou à brûler gravement.

Tout cela est tristement vrai et chacun de nous en a eu connaissance.

C’est pour cela que je comprends que lorsque des hommes ainsi assaillis pendant de longs moments reçoivent l’ordre de dégager la rue, leur action soit souvent violente. Mais là où nous devons bien être tous d’accord, c’est que, passé le choc inévitable du contact avec des manifestants agressifs qu’il s’agit de repousser, les hommes d’ordre que vous êtes doivent aussitôt reprendre toute leur maîtrise.

Frapper un manifestant tombé à terre, c’est se frapper soi-même en apparaissant sous un jour qui atteint toute la fonction policière. Il est encore plus grave de frapper des manifestants après arrestation et lorsqu’ils sont conduits dans des locaux de police pour y être interrogés.

Je sais que ce que je dis là sera mal interprété par certains, mais je sais que j’ai raison et qu’au fond de vous-mêmes vous le reconnaissez.

Si je parle ainsi, c’est parce que je suis solidaire de vous. Je l’ai dit déjà et je le répèterai : tout ce que fait la police parisienne me concerne et je ne me séparerai pas d’elle dans les responsabilités. C’est pour cela qu’il faut que nous soyons également tous solidaires dans l’application des directives que je rappelle aujourd’hui et dont dépend, j’en suis convaincu, l’avenir de la préfecture de police.

Dites-vous bien et répétez-le autour de vous : toutes les fois qu’une violence illégitime est commise contre un manifestant, ce sont des dizaines de ses camarades qui souhaitent le venger. Cette escalade n’a pas de limites.

Dites-vous aussi que lorsque vous donnez la preuve de votre sang-froid et de votre courage, ceux qui sont en face de vous sont obligés de vous admirer même s’ils ne le disent pas.

Nous nous souviendrons, pour terminer, qu’être policier n’est pas un métier comme les autres ; quand on l’a choisi, on en a accepté les dures exigences mais aussi la grandeur.

Je sais les épreuves que connaissent beaucoup d’entre vous. Je sais votre amertume devant les réflexions désobligeantes ou les brimades qui s’adressent à vous ou à votre famille, mais la seule façon de redresser cet état d’esprit déplorable d’une partie de la population, c’est de vous montrer constamment sous votre vrai visage et de faire une guerre impitoyable à tous ceux, heureusement très peu nombreux, qui par leurs actes inconsidérés accréditeraient précisément cette image déplaisante que l’on cherche à donner de nous.

Je vous redis toute ma confiance et toute mon admiration pour vous avoir vus à l’œuvre pendant vingt-cinq journées exceptionnelles, et je sais que les hommes de cœur que vous êtes me soutiendront totalement dans ce que j’entreprends et qui n’a d’autre but que de défendre la police dans son honneur et devant la nation ».

Et puis pour finir, une petite phrase de Manu qui pendant sa campagne électorale disait  croire à « une République de la responsabilité ». « Ce n’est pas possible quand il y a une violence policière qu’il n’y ait aucune sanction dans la hiérarchie policière. Il y a un commissaire de police, il y a un directeur départemental de la sécurité publique, il y a un préfet et il y a un ministre… »

Aucune réaction de sa part mais nous savons tous pourquoi, chef de bordée, c’est l’heure de son quart pour maintenir le cap. Manque de pot pour nous, son  quart risque de durer encore longtemps.

Jean-luc Levecque

Je me vaccine contre le vaccin miracle, pourquoi ?

A ce jour, aucune information scientifique n’est venue corroborer l’efficacité des vaccins qui par contre on un effet immédiat en bourse.

Pauline Londeix, chercheuse, militante depuis des années, impliquée dans la lutte pour l’accès aux médicaments génériques utilisés contre le VIH 2 et le virus de l’Hépatite C, écrit :

on nous vend la promesse d’un vaccin pour sortir du cycle confinement-déconfinement et au final, on n’est pas sûr qu’il réponde à ce que l’on recherche : qu’il stoppe la transmission de ce virus. Les États naviguent à vue, financent la recherche et pré-achètent des doses de potentiels vaccins sans savoir s’ils tiendront effectivement leur promesse ».

Els Torreele, chercheuse en innovation médicale et biologiste de formation.

Écrit ;

« Cela ne signifie pas que les personnes vaccinées par le produit de Pfizer-BioNTech ont 90 % de chances en plus de ne pas être atteintes par le virus, et donc de ne pas le transmettre, ce qui permettrait d’en arrêter la circulation. On sait seulement que les volontaires vaccinés ont eu 90 % de risques en moins de développer des signes plus ou moins graves de la maladie ».

Ce résultat affiché ne veut donc pas dire qu’il empêche la transmission du virus avec une efficacité de 90 %, car en réalité, on ne le sait pas.

 

« Les essais cliniques ne regardent pas l’infection mais la maladie. Ils ne vérifient pas si tous les patients sont infectés ou non par le Covid-19 mais la survenue de signes de la maladie », confirme Jean-Daniel Lelièvre, chef du service d’immunologie clinique et maladies infectieuses au CHU Henri-Mondor de Créteil.

Les patients asymptomatiques passent donc à la trappe et « Cette non-prise en compte des asymptomatiques fausse les résultats. D’autant que nous ne sommes pas encore sûrs qu’ils sont moins contagieux que ceux qui présentent des symptômes », dénonce Els Torreele.

Bref on gagne du fric, beaucoup, en bourse, on commande des vaccins en masse, sans avoir aucune certitude de leur efficacité pour enrayer la pandémie. On prépare des stratégies de vaccination.

Panique, poudre aux yeux, et  il est évident que je souhaite qu’un vaccin soit mis au point, sans effets secondaires graves, qui empêche d’être infecté.

La précipitation ne pourra certainement favoriser l’envie de se faire vacciner, malgré tous les ténors politiques qui vont tous se faire vacciner si on en crois les réponses qu’ils donnent à chaque fois à la question « et vous, allez vous vous faire vacciner ?» « oui ! ».

On verra, mais si c’est un échec, le résultat sera catastrophique.

Beaucoup de fric dépensé pour le vaccin, mais quid de la recherche pour les traitements de la maladie qui existera toujours, le vaccin contre la grippe existe, est-ce cela qui empêche la grippe de circuler. Il faut donc soigner ceux qui sont atteints. Mais ça c’est moins rentable.

Le jour ou la recherche pharmaceutique, la fabrication des médicaments et vaccins sera affaire de l’état, tout ira mieux mais il faudra développer un autre outil, car les poules auront des dents.

Jean Luc Levecque.

Les citations sont extraites d’articles de Médiapart.

Toute honte bue !

 

« Que celui qui mène à vive allure le cheval de la suffisance se retourne, et il verra la honte accrochée à sa queue« . Encore faut-il avoir le courage de se retourner.

Encore une citation:

« L’audiovisuel public, c’est une honte pour nos concitoyens, c’est une honte en termes de gouvernance, c’est une honte en ce que j’ai pu voir ces dernières semaines de l’attitude des dirigeants. »  De qui c’est ça? De quelqu’un qui s’accommode très bien de  l’audiovisuel public, dont il abuse.

Darmalin, Blanquer, Lallement tous protégés par Son altesse, sont au taf, se rapprocher de l’extrême droite. Larema (La République en marche arrière) et le RN poursuivent le même combat, gagner les Présidentielles. Ça chasse dur du côté des électeurs frontistes.

Darmalin, toujours présumé innocent dans la plainte déposée contre lui pour viol, (cette plainte n’a jamais été un obstacle à sa nomination à l’Intérieur) agit en toute liberté, il nous fait rire aujourd’hui en demandant une enquête à L’Igpn suite à l’évacuation barbare des migrants de la place de la République. Une grande première, le ministre de l’intérieur, premier flic de France, demande une enquête ! Croit-t-il se refaire une virginité, qui pense-t-il bluffer ?

Les gilets jaunes pris avec un masque dans leur sac sont jugés dans les 24 heures, ainsi que ceux qui agressent les policiers. Certains policiers qui agressent les manifestants (pour les protéger), sont suspendus aux lèvres de l’Igpn qui là, prend tout son temps et qui veut essayer de se faire petite petite. Manque de pot, elle se retrouve au devant de la scène, avec Lallement.  Darmalin demande une enquête mais renouvelle sur France 2 sa confiance à Lallement !

Préfet de police depuis mars 2019, Lallement, encore un présumé innocent dans l’affaire du CEO. La Commission d’examen des offres (CEO) pour les travaux de construction du métro du Grand Paris, dont il est président à l’époque, est  épinglée par la cour des comptes. On se souvient de sa gestion de la crise des gilets jaunes Ce petit homme (il pourrait tout de même trouver une casquette à sa taille) doit se venger des agressions dont il était victime dans les cours de récréation. Il vient de montrer le visage de la Macronnerie.

La place de la République, célèbre symbole pour nombres de Parisiens et de manifestants venus de la France entière, de l’Europe, vient de perdre sa vertu au profit du barbarisme, filmé heureusement, lors de l’évacuation violente des migrants installés avec leurs tentes. Les médias télévisuelles ont la caméra courte, il suffit de passer le périphérique pour assister régulièrement à des scènes équivalentes.

Beaucoup de Laremistes tentent de retrouver leurs idéaux, mais son altesse les rattrape, et pan sur le bec. La Maconnerie se fissure.

Notre Président vient de se ridiculiser à 20 heures hier et nous a expliqué tout ce que nous savions déjà. Ah non s’écrient les experts de plateaux, il a fixer un « cap ». Bandes de cons, n’importe quel marin pourrait vous expliquer que de choisir un cap c’est une chose, qu’il soit le bon et le maintenir en est une autre. Il faut avoir bien préparé toutes les options, en fonction de la météo, du but à atteindre. Et puis à tous moments on peut prendre un OFNI sur la gueule. Soirée pitoyable avec tous ces commentateurs, experts, qui cherchaient désespérément de la matière à analyser, en vain.

Blanquer, encore un futur présumé innocent, crétin avec ses vêtements Républicains pour les écoliers, douteux avec ses accointances avec un syndicats proche du pouvoir qui le rapprochent dangereusement de la corruption, du favoritisme, continue ses conneries confinementesques.

La France de se retrouver au banc international des accusés en matière des droits de l’homme, c’est un comble. De l’ONU au défenseurs des droits, tout le monde s’inquiète du virage pris par Manu. Il y a fort à parier, tout du moins je l’espère que le conseil d’état va refuser l’ignominie de l’article 24 du projet de « Sécurité globale ».

Mais il s’en fout, tout est calculé pour préparer les présidentielles. Le but ultime de tout cela, redonner un hochet pour faire joujou 5 ans de plus à celui que je considère comme le plus mauvais des Présidents que nous ayons eu, et le plus dangereux pour la démocratie, voilà l’unique but de tout ce bordel.

« Monsieur le Président je vous fais une lettre », dont je me fous que vous la lisiez, mais je suis certain que vous ne rentrerez pas dans les livres d’histoire par la grande porte. Vous n’êtes rien, rien qu’un jouet dans les mains des banquiers d’affaires et des grands patrons. Votre ego de petit garçon gâté vous précède, ou que vous alliez. Zèlé, vous aurez poussé l’ultralibéralisme à son compte et venez d’en prendre plein la gueule.

Démonstration est faite des ravages de votre modèle. La Covid19 aura entre autre montré l’efficacité des adeptes de ce modèle, en mettant au grand jour la destruction du système public de santé. Votre premier ministre est bien placé pour le savoir, ayant travailler comme un forcené à l’entreprisation(ne cherchez pas dans le dictionnaire) de l’hôpital.

Votre altesse, heureusement pour vous, les Français ont peur et vous savez mettre le doigt là ou il faut et appuyer pour entretenir la peur. Les citoyens ont peur pour leur travail, pour leurs études, pour leurs enfants, pour la planète, pour leur santé et ferment leurs gueules. Un jour, peut être, ils voudront la vaincre !

Retournez dans un bureau douillet de la banque Picsou et arrêtez de nous prendre pour des cons, ce serait bien que vous le fassiez avant 2022, pour une fois cela serait un geste Républicain.

Votre mansuétude, votre paternalisme, votre démagogie m’écœure.

Au fait que pense de tout cela la première dame ?

Jean Luc Levecque.

Democracy dies in darkness.

Métro, boulot, dodo ( il y a encore de la place sur les trottoirs).

Quand en 2017 le Washington Post affichait « democracy dies in darkness » « la démocratie meure dans l’obscurité » les politiques de tous bords, les petits clones macroniens dits les « Marcheurs » applaudissaient et affichaient leur soutien à ces pauvres américains victimes du trumpisme.

Cette nuit ces mêmes petits clones ont voté la mort de la République dans ce qu’elle a de fondamental, la liberté d’informer . Ils n’en sont pas à une incohérence près, l’important c’est leur petit portefeuille de député et surtout ne pas perdre la face.

Aujourd’hui, à Paris, les défenseurs de tous les droits manifesteront contre les défonceurs de la République.

Au prétexte stupide de protéger les policiers, il sera désormais interdit de filmer les policiers lors d’une manifestation. Quelle perfidie !

Voilà qui aurait satisfait Benala, et les policiers qui ont maltraité monsieur Chouviat, et encore les policiers sauvagement agressés par Geneviève Legay 73 ans, et enfin les brutes du Burger king. ( https://www.youtube.com/watch?v=ebyLDZ_FRzc ) .Je dis enfin, mais il y en a tant d’autres.

De tout cœur avec les manifestants de ce samedi, mais il ne faudra pas s’arrêter là.

Le néo-libéralisme du gamin ne peut supporter la liberté, et son enfant naturel ne peut être qu’un état totalitaire qui se rapproche de jour en jour.

Aujourd’hui, le contexte s’y prête, les atteintes aux libertés fleurissent, liberté de se déplacer, liberté de penser, liberté de vendre, liberté de culte……Le Corbusier, adepte du totalitarisme, admirateur de Pétain, se régalerait aujourd’hui et pourrait construire des quantités de cités radieuses ou les travailleurs n’auraient pas besoin de sortir de chez eux, sauf pour aller travailler, en croyant retrouver un climat social dans leur cité.

Qui va croire un instant que le gouvernement impose toutes ses mesures pour autre chose que l’économie qui doit fonctionner, envers et contre tout et nourrir ces pauvres patrons. Qui décide de ce qu’est l’essentiel ? Les exemples sont multiples des aberrations des mesures actuelles.

Heureusement pour détourner l’attention, un vaccin pointe le bout de son nez. les médias télévisuelles s’y engouffrent et convoquent tous les spécialistes de plateaux.

Mais,

____ Comment avoir confiance, après la communication aberrante de notre gouvernement,

_____Comment faire confiance, aussi longtemps que les industries pharmaceutiques naissent et vivent dans le domaine privé, que les recherches engagées le sont essentiellement pour  rapporter des dividendes.

_____Comment faire confiance à un laboratoire dont le PDG le 9 novembre communique sur son vaccin et vends le même jour  nombre de ses actions pour 4,2 millions d’euros avec un remarquable profit.

_____Comment faire confiance quand on apprend que 597 millions de masques ont été incinérés.

_____Comment faire confiance quand l’état proclame que les masques ne servent à rien (quand il n’y en a pas) puis sont indispensables quand il y en a.

_____Comment faire confiance à un Président qui déclare la guerre, sans en avoir les moyens, au Coronavirus et qui quelques mois après nous propose de vivre avec.

_____Comment faire confiance…………

Tous milieux confondus, comment faire confiance

——— après la vache folle,

——— le scandale Lactalis,

——— les implants mammaires PIP ou Allergan,

——— les implants vaginaux Prolift,

——— le Mediator,

——— la Depakine,

——— Levothyrox,

——— chimiothérpie 5-FU,

——— le distilbène,

——— l’incinération pour 400 millions d’euros de 19 millions de doses du vaccin H1n1. Espérons qu’à son nouveau poste, elle ne fera pas la même chose avec les archives de l’INA, par erreur.

——— que pèsent pour le Vioxx 150000 crises cardiaques ou attaques et 40000 morts aux états-unis par rapport aux 12,5 milliards de dollars qu’il a rapporté,

——— Diane 35 est encore plus rigolo, ce médicament pour l’acné juvénile est prescrit en pilule contraceptive,

——— pour remonter plus loin les horreurs dues à la thalidomide, à l’amiante ciment.

Comment faire confiance quand les industries pharmaceutiques freinent des 4 fers pour produire de vieilles molécules pas chères, non rentables, (mais efficaces), avec 2400 ruptures de stock.

Comment faire confiance, aujourd’hui quand nous sommes incapables de connaître la fiabilité des tests pour dépister la Covid19.

Gouverner c’est prévoir, et pour notre petit président ce n’est pas évident en effet, toujours à la traîne. Il illustre bien son incapacité en disant « si les chiffres sont bons je parle Mardi, si ils sont mauvais, je parle Vendredi » !

Nous savons que tout est fait pour que les chiffres soient meilleurs. Une petite anecdote, il y a peu encore, nombres de décès étaient imputés au covid19 alors que la cause était autre, je ne pense pas qu’il y avait complot mais plutôt facilité. Aujourd’hui les consignes sont strictes pas de décès imputés au Covid19 si la cause du décès est autre.

Mais dans ce monde complètement dingue,une bonne nouvelle.

Le G20, ce rendez-vous des banquiers est cette année organisé en Arabie Saoudite et nulle doute que Macron ou son représentant  va s’y rendre et va en profiter pour demander le respect des droits de l’homme. Mais dans ce pays il faut être plus précis les droits de l’homme sont compris comme tels, pour l’homme par pour l’humain. Il faut donc déplorer en même temps le manque de respect des droits de la  femme. Les femmes en prison sont nombreuses, depuis longtemps, elles manifestaient à l’époque, entre autres pour avoir le droit de conduire, de travailler, de sortir. Nulle doute que Macron va déplorer le statut de ces citoyennes mineures (inférieures), qui sont toujours sous la tutelle du mâle le plus proche. Nul doute que Macron va déplorer les 184 personnes crucifiées et décapitées, dont six enfants au moment de leur arrestation en 2019, 149 en 2018. Le Drian a fait semblant de ne pas savoir qui avait commandité l’assassinat de Khashoggi.

Nous savons que Macron Le Bon marche sur des œufs, ils ne faut pas froisser les tyrans, ils seraient bien capables de ne plus nous acheter d’armes. Le petit bonhomme a affirmé avoir la « garantie » que ces équipements produits par la France ne servaient pas à tuer des civils dans la guerre au Yémen, ben voyons, au dernier moment les bombes changent de direction quand elles reconnaissent un civil.

Ce mec est un gamin, pourri gâté, mais il a entre les mains des jouets dangereux, dégageons-le, sans attendre 2022.

A suivre.

Jean-luc Levecque.

Vaccins

Bonjour,

Je n’arrête pas de me bidonner, malgré une période difficile.

La période a démarré sous Chirac, touché le premier par le Coronabeerus,

viennent ensuite les mesures du gouvernement qui n’arrêtent pas de me faire rire, ou de déprimer, le clip sur le verre solitaire m’a fait mal au ventre ( https://www.youtube.com/watch?v=OLhomuLavxA ) et maintenant nous assistons au gag du vaccin miracle.

Un simple communiqué, sans aucune valeur scientifique, annonce le 9 novembre un vaccin fiable à 90 %, en cours de mise au point par Pfizer.

Le même jour, 4,8 millions d’euros pour la vente d’actions Pfizer, qui était le vendeur ? Monsieur Albert Bourla.

Qui est monsieur Albert Bourla ? Le président de Pfizer !

Le hasard fait vraiment bien les choses. Monsieur Bourla a vendu 150000(?) actions de Pfizer au pic d’augmentation de + 15 %. de la bourse.

Les 2,17 milliards d’euros soutien à Pfizer, de l’europe , de l’Allemagne et des USA ont été bien employés.

On rigole encore quand on sait que ce vaccin empêcherait des troubles graves, mais pas la diffusion, on rigole encore quand pour obtenir 90 % de réussite, Pfizer élimine les cas asymptomatiques !

Les cas des asymptomatiques sont estimés à 40 % chez les gens testés positifs.

La conservation du vaccin à -70 degrés limite déjà sa diffusion, pas dans les pays chauds, le tarif entre 50 et soixantes dollars aux usa, pas pour les pauvres..

Le 16 Novembre, Moderne annonce un vaccin fiable à 94,5 %.

Pfizer immédiatement annonce que son vaccin est passé de 90 % de fiabilité à 95 %.

Bref tout cela est devenu une magistrale affaire de fric, de communication, mais ce n’est pas aujourd’hui que nous devons faire semblant de le découvrir.

Pendant ce temps, en France et peut être ailleurs, il y a pénurie de certains médicaments. Bigre diantre qu’ouïs-je qu’entends-je, suis-je éveillé ou dors-je ? Ben oui il y a plein de médoc, non rentables pour les laboratoires qui traînent à arriver dans les officines.

En 2020, c’est 2400 ruptures de stock, parmi les molécules les plus anciennes et les moins chères. Bizarre.

Ceci étant, il faut vite financer de nombreux chercheurs, pour travailler sur les pandémies suivantes qui vont nous tomber sur la gueule si on ne fait rien. Il faut arrêté de chercher du côté de Wu-Han, un responsable.

Que faire ?

S’attaquer au dérèglement climatique.

arrêter de supprimer les espaces sauvages, au détriment d’animaux et d’insectes qui migrent avec leur bactéries.

Le 1/4 des mammifères dans le monde sont les chauves-souris et ces adorables petites bestioles sont des bombes à retardement.

Il faut arrêter de consommer des animaux sauvages exotiques.

Il faut revoir dans notre monde moderne la production de l’agroalimentaire industriel,

Il faut arrêter d’uniformiser nos bestiaux, les rendant fragiles, tous d’un coup.

il faut arrêter la fonte du permafrost, réserve de bactéries diverses qui n’attendent qu’un petit degré pour s ‘épanouir .

Il faut, il faut…Il faut arrêter de déconner !

Jean-luc Levecque

 

Procès-verbal de séance du conseil municipal enfin rédigé.

Bravo Corinne,

En effet, ce n’est pas le procès-verbal légal que se doit de rédiger le(a) secrétaire de séance, qui refuse de le faire, se contentant du minimum, c’est à dire le compte-rendu, évitant ainsi la reproduction des interventions de la majorité ou des autres listes.

Non c’est Corinne Larcher, élue de EGAL qui se jette à l’eau et qui rédige un PV fidèle, (j’ai assisté à la séance ainsi que deux autres membres du collectif EGAL)).

Vous pouvez trouver  ce  PV_conseil_3112020(2)

Le collectif EGAL publiera à chaque fois un PV de séance.

Jean-luc Levecque.

 

 

 

Bis répétitam

Une fois de plus je dois écrire à propos de monsieur Laporte et de sa position à la comcom. Un article dans la tribune m’y oblige.

Je dois avouer mon incompréhension suite à la lecture d’articles de la tribune, du Dauphiné libéré et autres journaux régionaux.

Si je comprends le rôle d’un correspondant local, qui met en forme et retranscrit les événements d’un village, sans appréciations, ou presque, je comprends mal celui de journalistes qui écrivent sur un sujet de fond, qui mérite enquête, questions et critiques et qui ne le font pas.

Je prends le dernier en date que je viens de lire titrant « Ça peut déclencher une crise ».

Nous ne savons pas si c’est à l’initiative du maire que la rencontre a eu lieu ou si le journaliste, anonyme, a eu vent des propos de mr Laporte et a demandé une entrevue.

Tout ce que nous savons c’est qu’une entrevue a eu lieu dans le bureau du maire, entre lui et La Tribune(?).

« tout a commencé avec la date du 15 juillet, lors de l’élection des membres de l’exécutif de la communauté de communes. Lablachère n’a pas eu accès au poste de vice-président ni au bureau.

Un seul membre sur la liste d’opposition est au bureau. Ce que nous ne trouvons pas logique car nous avons été élus de façon majoritaire et nos membres élus ne siègent pas sauf l’opposition du conseil municipal de Lablachère… »

Disséquons la bête.

« tout a commencé avec la date du 15 juillet, lors de l’élection des membres de l’exécutif de la communauté de communes. »

C’est vrai mais un journaliste ayant préparé son entrevue aurait du dire :

« Monsieur le Maire, ce jour-là vous vous êtes présenté, après avoir fait campagne, à la présidence de la communauté de communes, monsieur Deffreix a été élu président, puis votre candidate madame Djiann n’a pas été retenu à une vice-présidence. Quand est venue l’élection du 4iem vice-président, étaient candidats, Mr Berres de votre majorité et Monsieur Boissin élu de la liste EGAL. Avant le vote vous avez pris la parole et vous avez déclaré que si monsieur Boissin était élu, c’était un casus-belli. Monsieur Boissin a été élu et vous avez quitté la réunion donc l’élection. Tout cela est-il exact ? »

« Lablachère n’a pas eu accès au poste de vice-président ni au bureau ».

le journaliste : « Monsieur Boissin, de Lablachère, ne fait-il pas parti de l’exécutif ? »

« Ce que nous ne trouvons pas logique »

le journaliste : « De quelle logique parlez-vous, il s’agit d’élections encadrées par un code électoral, il y a-t-il eu une anomalie, avez vous fait une réclamation auprès du juge des élections ?

« car nous avons été élus de façon majoritaire »

Le journaliste : « Monsieur le maire, les chiffres du ministère de l’intérieur montrent que vous avez été élus avec 40 % des votants, ce qui est loin de la majorité ? »

il faut « surtout une solution pour cette situation qui perdure depuis le 15 juillet »

Le journaliste : « quelles sont vos propositions ? », cette situation peut perdurer jusqu’aux prochaines élections municipales et communautaires.

Le journaliste, de sa plume écrit , prenant les patins du maire, « ne représente en rien la majorité de la population de Lablachère qui… » Au-delà du fait que cette phrase est une évidence ou ne veut rien dire, je pense qu’il faut lire : « ne représente en rien la population qui a voté pour la majorité de Lablachère et a voté pour avoir des représentants à la communauté de communes. ».

Ma réponse est que cette population s’est plantée, à l’évidence !

« Il faut que la situation change car cela va laisser des séquelles graves pour toutes les parties. »

Le journaliste : « comment la situation peut-elle changer, les élections sont validées ?

De quelles séquelles parlez-vous, pour la communauté de communes, pour la municipalité ? ».

« Géographiquement et juridiquement, nous pourrions nous adjoindre à celle de la communauté de communes des pays des Vans en Cévennes ou celles des gorges de l’Ardêche car nous sommes limitrophes avec les Assions et St Alban ».

Le jounaliste : « être limitrophe est nécessaire, mais est-ce suffisant ? ».

Dans l’article en question, nous pouvons lire que Joël Fournier a été averti des intentions de Mr Laporte et je m’élève en faux sur ses propos. Non pas sur le fond, tout y est mais sur la séquence, pour moi c’est : La population par un referendum local que peut organiser le maire seul ou le conseil municipal. Vu le caractère hautement démocratique de Monsieur Laporte ce referendum serait certainement organisé . Ensuite vient le conseil municipal qui ne pourrait qu’entériner la décision populaire.

Si c’est « non », la procédure s’arrête là.

Si c’est « oui », le projet est soumis à la communauté de communes.

Monsieur Fournier signale que c’est une très longue procédure.

J’ajoute que mr Laporte fait tout cela sans aucun débat au conseil municipal. Il nous a signalé prendre contact avec le percepteur pour estimer le coût d’une telle opération.

Et enfin pour clore l’article, une phrase de monsieur Laporte particulièrement révélatrice de son attitude démocratique, « ce sont des questions morales et d’efficacité d’agir avec la majorité des élus et non ceux de l’opposition ». il voulait certainement dire avec les élus de la majorité et non ceux de l’opposition.

C’est purement simplement scandaleux, Monsieur Laporte insinue donc que l’opposition a des problèmes de morale, qu’elle est inefficace. Pour la morale, je suggère à monsieur Laporte de ne pas trop insister, pour ce qui est de l’efficacité, comment savoir quand aucune des propositions des listes minoritaires sont ignorées.

Monsieur Laporte semble ignorer que c’est le conseil communautaire qui prend des décisions, sachant que l’exécutif est là pour les appliquer et que Lablachère à le nombre le plus élevé de délégués communautaires, soit huit.

pour un petit problème d’ego, dans une commune endettée comme la notre, dans cette période ou toutes les énergies sont au combat contre la covid19, est-ce bien sérieux, est-ce la méthode pour redorer l’image de Lablachère, nécessaire d’après monsieur Laporte, dans sa profession de foi.

Je suis sidéré de ne voir aucune opposition à cette pantomime parmi les élus de la majorité. Vont-ils tous rester dupes, de peur de se déjuger ?

 

Retrait d’une commune d’une communauté de communes ou d’une communauté d’agglomération

Article créé le 25/09/2015 Mis à jour le 28/09/2015

 

Les conditions de retrait d’une commune qui souhaiterait quitter un établissement public de coopération intercommunale sont précisées par l’article L5211-19 du Code Général des Collectivités Territoriales (CGCT).

Il lui faut obtenir le consentement de l’organe délibérant (communauté de communes ou communauté d’agglomération) qu’elle souhaite quitter. Le retrait est subordonné à l’accord des conseils municipaux exprimé dans les conditions de majorité requise pour la création de l’établissement (2/3 des communes représentant au moins la moitié de la population ou la moitié des communes représentant au moins les 2/3 de la population). Chaque conseil municipal doit délibérer dans un délai de 3 mois après avoir été saisi de la délibération du conseil communautaire, sachant que l’absence de réponse dans le délai vaut avis négatif.

Il faut bien sûr l’avis favorable d’une communauté de communes qui accepterait l’adjonction.

Quelle communauté accepterait une commune qui pour un problème d’ego claque la porte ? Qui accepterait une commune dont l’image est à restaurer (dixit mr Laporte) et la dette très importante ? Quelle communauté de communes accepterait une commune qui a perdu le collège, la déchetterie et qui a gagné à son corps défendant l’aire de grands passages.

Il y a d’autres procédures, qui toute malgré tout font appel à l’accord d’une entité » supérieure, Préfet, CDCI.

 

Je dois avouer que ma crainte est grande, en supposant l’idée absurde que mr Laporte poursuive son phantasme, tant la majorité des conseils municipaux qui composent la CDC, des délégués communautaires seraient contents de se débarrasser de Lablachère, les élections communautaires en étant un exemple..

Jean-luc Levecque.