Brève de terrasse.

Bonjour,

je me mêle de ce qui me regarde, de ce qui nous regarde.

Un ami,incapable de se faire un café chez nous, Gege et Jean-luc, va prendre un petit café chez Valérie et Claude.

Une place de libre sur une des tables de la terrasse extérieure et il est accueilli par les consommateurs.

Les discutions reprennent et mon ami entend « mais si tu sais bien, le grand qui fait du théâtre, jean-luc jean-pierre je sais pas, celui qui veut nous imposer ses idées. ».

À ce moment, je traverse la rue avec ma petite fille au bout de la main, direction la boulangerie.

Le mec dit « Tiens le voilà, c’est lui ! »

Mon ami dit « C’est Jean-luc, avec sa petite fille, je suis chez lui quelques jours avec mes filles ».

Courageusement, la conversation reprend « oh la la la canicule….. ».

Et bien non cher Monsieur, je n’essaye pas d’imposer mes idées.

« S’imposer sans proposer n’est que funeste orgueil » et moi cher ami je n’ai aucun orgueil.

J’expose mes idées, et si d’aucun s’y intéresse, tant mieux, sinon je m’en tamponne.

Si mes idées peuvent éclairer les vôtres, si vous en avez, autres que celles de la télé, je n’aurai pas perdu mon temps.

Si vos idées peuvent éclairer les miennes, je n’aurai pas perdu mon temps, avec vous j’ai des doutes.

Si vous aviez pris le temps de lire notre programme (EGAL), lors des élections municipales de 2020 vous auriez pu lire ces mots étranges tels que «démocratie, donc participation citoyenne, partage, écoute, solidarité, culture, social, jeunesse, laïcité, politique, laboratoire de projet…. ».

Vous trouverez la définition de ces mots dans notre bon vieux Larousse.

Jean-luc Levecque

De quoi tu’t mêles!

Il n’y a pas de gens plus vides que ceux qui sont pleins d’eux-mêmes.

Bonjour,

il y a quelques temps, un citoyen, fan de la majorité (en sièges) de la municipalité, m’apostrophait.

                  « De quoi tu te mêles, t’avais qu’à pas démissionner!».

Voilà une parfaite illustration du mode de pensée, (c’est un bien grand mot que celui de pensée) de la majorité municipale ou plutôt du mode de pensée de son mentor.
Citoyen, je m’intéresse à la vie de la cité, de ma cité, et je ne me contente pas des autosatisfactions, des manipulations, des approximations que, par exemple, nous pouvons lire dans les bulletins, quand nous les recevons. Le top fût le bulletin annuel, une merveille.  J’avais organisé un concours, pour trouver, parmi les nombreux projets que nous annonçait le maire dans son édito, un seul qui soit dû à la municipalité. Personne n’a gagné car personne n’en a trouvé!

Un bulletin de vote tous les six ans ne me suffit pas, des séances du conseil municipal déjà ficelées à l’avance n’ont aucun intérêt, le manque de passion pour la culture, la vie en société, l’amour de la vie de cette majorité est affligeant, et comme je l’ai déjà dit, regarder Face de bouc ou jouer au Sudoku sur un téléphone pendant les réunions ce n’est pas mon truc.

Les votes en faveur de la majorité représente 21 % des inscrits? La majorité occupe 74 % des sièges au conseil municipal, bravo au législateur, mais un peu d’humilité serait la bienvenue. L’humilité est le contrepoids de l’orgueil, et il n’est jamais trop tard pour l’apprendre. Le collectif E.g.A.l qui obtient les votes de  16 % des inscrits fait, malgré ses tentatives, de la figuration avec seulement 16 % des sièges.  Nous savons tous que des idées nouvelles sont difficiles à faire passer, mais nous sommes fiers de nos résultats électoraux, car les citoyens qui ont voté pour E.g.A.l l’ont fait sur des idées, pas sur des noms, des familles, ou sur la peur du loup. Ce n’est qu’un début, continuons le combat
La majorité se goberge de démocratie, peut être cela satisfait-t-il leurs  egos, leur permet-il de briller dans leurs petites réunions, mais je n’ai pas leur conception de la conduite des affaires de la commune.

Même  confrontés aux évidences, jamais un mot d’excuse et c’est avec  lâcheté qu’ils ne répondent jamais.  « Quiconque craint de se repentir ne tire aucun fruit de ses erreurs? » Chateaubriand. Allégeance à leur souverain reste leur maître mot.

Avec eux et leurs semblables, nous aurons perdu 18 ans. Perdu 18 ans sur quoi ?, sur le bonheur, sur la convivialité, sur le progrès, pas le leur, mais sur le progrès des relations humaines.
Bien sûre on aura bouché des trous sur la chaussée, réparé des fuites d’eau sur le réseau et publié les comptes de la commune et après ? Quand se rendront-ils compte que leur attitude fait de notre commune, un vilain petit canard. La ville la plus importante (en nombre de  citoyens) de notre intercommunalité est moquée, raillée.
Rappelons nous qu’à la comcom il aura fallu un chantage éhonté de mr Laporte, pour qu’un élu de la majorité décroche un vague siège, créé pour l’occasion, de conseiller à la mobilité (je crois soit dit en passant que la mobilité est une délégation qui appartient à la région) Pour la présidence, et les vice-présidences, Il y avait cinq élus de la majorité de Lablachère et un élu de E.g.A.l.  Le collectif E.g.a.l sans magouilles ni chantage, a obtenu une vice-présidence. Le maire, ancien militaire aura osé parler de Casus belli. Honte sur nous quand il quitte la salle du vote en compagnie de ses fidèles, illustration parfaite, si il en fallait, de l’ idée qu’il se fait de la démocratie et de l’indépendance d’esprits de ses colistiers.

Menées par mr Laporte, puis mrTourel, alternative laissée de son propre aveu par Mr Laporte, et qui encore de son propre aveu n’a pas fonctionné, et aujourd’hui par mr Laporte, ces trois mandatures affichent un bilan éloquent..

Un encours de dettes que cette équipe a fait passer de 32490 euros en 2008 à 1.668.870 euros en 2021  et une capacité de désendettement de 6.5 années, (sans nouvelles dettes). Après les gesticulations et les banderoles de monsieur Laporte, pas de déchetterie à Lablachère, et le préfet impose l’aire de grand passage à Lablachère, le collège est transféré à Joyeuse, la maison intergénérationnelle (ou présentée sous tout autre vocable) est promise à chaque élection municipale mais retourne dans les oubliettes sitôt le vote passé, ( je pense d’ailleurs que c’est une connerie, un centre culturel digne de ce nom, intercommunal serait plus approprié.).

Alors oui, je revendique ma démission, n’ayant aucunement l’intention d-être caution d’une telle majorité.

Dans mon prochain papier, « MDR mais jaune », je me mêlerai encore de ce qui me regarde.

Jean Luc Levecque.

Et nous tentâmes Saint Julien du Serre.

Dans une ambiance bucolique, et bucoliquide, au milieu du jardin potager à la Le Notre, bien que ce soit Le Leur, autour d’une cuisine professionnelle, sise ovule et au suce de tous, posée sur une remorque, nous avons posé nos séants.
Pour paraphraser, j’adore paraphraser, c’est moins dangereux que le parachute, l’hymne des Babus chair à Francis Blanche, Jean Tonne « des poules des canards des oies, » et pourquoi que ?
C’est tout bête, c’est le cas de le dire, mais se pointent dans des grands enclos clos, chair à Claude François, des canards, des oies des poules. Canards rigolos, les coureurs indiens, dressés sur leurs pattes arrières font des aller retour entre nulle part et ailleurs.
« He couillon les canards y zont pas de pattes arrières. »
«  Bon alors dressés sur leurs pattes avants. »
« Mais non dujnou, y zont pas de pattes avant non plus ».
« Bon alors les canards sans pattes, les coureurs indiens y sont rigolos ».
« Mais non… »
« « Ta gueule ! »

Les enclos clos, sur les côtés, au-dessus, électrifiés n’ont pas empêché maître Goupil de faire une razzia dans les enclos clos, a la grande dame de leur maman, après les enclos clos, les sanglots longs.
Mais c’est ou ça ?

À St Julien du Serre ou notre ami Ruffin vient de temps en temps voir son pote Pierre Souchon candidat suppléant malheureux de Florence Pallot qui se baladait toute NUPES, aux dernières législatives, ne pas confondre avec Pierre Souchon.
À Saint Julien du serre, c’est aussi un bistrot associatif, un four à bois communautaire, mais pas que.
C’est aussi Le mas des fougères, que des fous gèrent, autre point de rdv, mercredi et dimanche, (encore 3).
Pour les ceusses qui savent pas le Serre en os qui s’tends, correspond à un mamelon, une croupe, un relief allongé, pointe rocheuse, n’y voyez là aucune alluvion.
Jardin potager à la Le Leur, tables éparpillées dans le jardin c’est bien on entends pas les conneries de nos voisins, un barnum pour la pluie, on y mange bien. J’aime bien, car là vous évitez les affres du choix, vous avez menu unique, Végé ou normal, entrée plat dessert. Oh parce que Végé c’est pas normal ? Si bien siure, mais je veux dire par là, non bouge pas, que normal c’est quand on bouffe de tout. J’aime bien aussi parce qu’il y a pas des grandes assiettes démesurées, agrémentées de filet d’huile marron, de trainées de jus de j’sais pas quoi, de petites fleurs partout, bref pas de la nouvelle cuisine. Un petit regret pour le pinard qui vient de l’étranger(côtes du Rhône).

Aux manettes cuisinifères, le vieux forban Patrick, ethnobotaniste et cuisinier saint d’un turban multicolor of benêt cong, une jeune assistante que je regrette de pas savoir son blaze, et, volant de table en table, oh la vilaine, mais ramenant tout à la cuisine, c’est Marielle, robe longue blanche, les hanches enceintes d’un foulard coloré, un chapeau de paille rond et un sourire. Elle sert, abreuve, encaisse.

Dans ce lieu, ou tout « n’est qu’ordre et beauté, calme luxe et…… » je m’arrête là, ma vie privée, c’est privé.

un petit bémol, pour le calme, un orchestre interpète des morceaux de la génération de Jean Tonique difficiles à faire déglutitionner quand on les a ouïs de visu. De plus le son était réglé pour des malouïsants non appareillés.
D’aucun disent que c’était un peu cher, moi je sais pas vu que je vais jamais au resto
sauf quand c’est payé par la raie d’action et dans ce cas je m’en tamponne.
À la table de Jean Tonique il y avait le Sâr Chartindranah Du Rieu, la Ténardière et Sandrine, favorite des tsars car les Tsars Sandrine à l’huile. ? Bof !
À eux quatre, après 3 mises en bière chiroliennes, 3 bouteilles de rouge, les 4 repas les cafés et le cadre, 177 euros à vous de voir.
Une bonne soirée.
Laku noĉe.
Félicie.

« L’air frais des champs, voilà notre vraie place » dit Derot.

Surtout quand se sont des Champs libres.

Y en a des simplets qui disent qu’y pigent que dalle bon, c’est simple.
Mais avant, je dois signaler que Berthe notre enquette triste, très fâchée des corrections que je lui infligeais, à quitter la rédaction de notre blog, c’est maintenant Félicie qui la remplace et chat échaudé craint l’eau froide, je ne ferais aucunes corrections. Je précise que ces corrections n’étaient pas physiques, mais grammaticales ou zorthographiques.
Jean Tonique

Pour faire un bon gin tonic,
un bon gin 5cl 3 tranches fines de concombre, 2 tranches coupées en deux de citron vert, mettre le tout au congélo dans des verres à Coq Tel. Pour servir ajouter 8 cl d’un bon tonic frais.

Bon c’est moi Félicie que je prends la plume pour la raie d’action des zenquêtes. Tu parles d’une plume, c’est un putain de clavier.
« Félicie, on ne dit pas…. »
« Ta gueule Tonique, t’as dit pas de corrections, j’vais t’en foutre une ! »
« Je te prie de m’excuser ».
« Bon fais moi un bisou ! »

Vous me connaissez pas, sachet que j’ai tendance à parler comme je cause. J’ai été longtemps chargée de la raie d’action de « la Nouvelle » de St Julien sur Bibost par Bessenay, mais que suite à une con de pression du père Sonel, je fus été virée et c’est avec plaisir que j’entame une nouvelle carrière quand nos ainés n’y seront plus, à Lablachère sur le blog de Gin Tonic.

Je fus investigationner, dans la plus grande discrétion, chemin de la Brise, là ou c’est qu’il y a Champs Libres, mais pas que. Y a pas de champs, il y a un grand terrain et une grosse baraque
Le bâtiment c’est un ancienne maison dit aux sieiziènes que Granny a acheté pour la modique somme de kjbvgkkkk euros. On dit que la dedans y avait des pèlerines et des pèlerins et des frangines et que même y en une qu’a favorisé Champs libres pour l’achat, mais elle reste présumée innocente.

Je tiens d’abords à souligner d’ailleurs je le fais que Champs Libres, c’est pas queue le vendredi, c’est tous les jours à la boutique, de l’ouverture à la fermeture, sauf quand c’est fermé, le dimanche,
Bon c’est quoi ce truc « Champs Libres » ?

Vendredi :
Depuis le début, jusqu’à plus tard , le groupement de producteurs locos de Champs Libres, anime, l’été, des soirées tous les vendredi et pas queue, c’est vachement bien pour faire ses emplettes de bons produits, picoler un brin, rencontrer des vivants et danser.
Les producteurs, artisans y sont du coin et à moins qu’ils aient le don du biscuit thé, vous ne les rencontrerez que là, ce soir là, sinon vous les rencontrerez ailleurs un autre jour au Vialat par exemple le mardi soir. Drinnnnng.
Ah on me sonne, qui me sonne?
C’est Madame Pongron de Sanilhac qui nous prie de vous dire que son mari Honoré a perdu son béret vendredi dernier, au marché. Même si un béret ça n’a pas de sens, puisqu’il est toujours de face, il y tient. Il le porte depuis qu’il a 4 mois et est bien pratique pour ramasser 10 kg de patates. Si que par hasard vous le trouvâtes, appeler le 07 82 94 84 35.

La vierge du haut de sa tour prend enfin son panard, elle n’aura jamais vu autant de gonzes que ces soirs là. Certains prétendent qu’elle danse quand il y a de la musique. Là je crois qu’il faut pas abuser de la Java, ni de personne d’’ailleurs. Elle se régale devant tous ces gens à qui Champs Libres offre la raie dans’l fion, les pardonnant ainsi d’avoir bouffé de la daube depuis trop longtemps.
« Mais la daube c‘est pas mauvais, quand tu la fais cuire lentement sur deux trois jours, avec des azalées retour de la fenêtre à la cuisine et lycée de Versailles.
« Oui madame mais c’est une ex pression populaire daube c’est pris dans le sens, non pas par là, par là, de saloperie. »
Comme il y a foule, il y a vit d’amants et donc promises cuitées. Alors pourquoi qu’y sans tasses tous ces gens là ?
Et pourquoi qu’y a du monde ? Quoi qui proposent ces Champs libreux » ?
Ils proposent d’abords un état des Spritz. Convivialité, amour de la vie, produits de qualité, respect de l’environnement… Jean passe, et des meilleures. ha il revient !
La liste est longue et si t’es pressé saute à la fin de l’artique, mais couvre toi bien!.
Ici faut pas courir après la belle bio, dès fois ça y est, des fois pas mais ici règne la confiance pour le bio, le raisonné, le raisonnable, le bio de mon grand-père Maternel (vieux facho bio), pendant que l’autre faisait le bio au PC place du colonel Fabien).

Je commence par l’épeires fondateurs BCBG

Boulangers
Charcutiers
Brasseurs
Glacier
BCBG ? Mais ajoutons un C pour Chocolatier. BCBGC.
Glacier et Chocolatier se font désirer mais ils viendront.
Ce club des cinq est à l’origine de Granny, SCI propriétaire des lieux et qui loue à cinq producteurs et à Champs Libres..
Mais ils sont aussi et bien sûre animateurs de Champs Libres.

Dobro veĉe (Beau sniak) Ou encore добър вечер (Bulle gard) ou encore comme y disent de Porc en Truie « bonne soirée ».

Bonnet de nuit que moi j’dis à toutes et à tous et j’espère que ce coup ci mes esplications sont suffisantes.

(C’est vachement confortable de bosser avec Félicie, je n’ai pas besoin de relire mes fotes.)
Bises ,
Félicie.

Faire bon ménage

« De quoi tu’t mêle! »
Je me mêle de l’affaire de la délégation à la gestion de la salle de cinéma de Les Vans, car si la salle appartient à la commune de Les Vans, son accès est ouvert à tous et la qualité de sa gestion nous intéresse tous. Je m’en mêle car jusqu’à ce jour, Mr Cyrille Villermaux délégataire actuel m’a donné entière satisfaction quand à la programmation et à l’ouverture qu’il entend donné à cet espace.. Certainement qu’il y a des problèmes entre lui et la municipalité quand au respect de son contrat.
D’aucun avance qu’il faut « sauver le cinéma de Les Vans » et bien que signataire de la pétition je pense que ce n’est pas la bonne façon d’opérer.

Il reste peu de temps, la délégation se termine au 31 août, et je pense qu’il faut convaincre la municipalité qu’elle prend un risque, qu’elle peut encore changer d’avis,
et reconsidérer sa position, dans la clarté.

La méthode utilisée est absurde et opposable, on met en concurrence une grille qui engage le futur en notant le délégataire actuel sur son passé!

À moins de magouille, la méthode qu’il eut fallut utiliser aurait été de convoquer le délégataire actuel, de lui opposer les manquements qu’on lui reproche, de juger si il est capable de justifier ou de corriger et de reconduire sa délégation sous conditions.

Monsieur Arnaud Froment a fait une proposition qui va en ce sens et devrait satisfaire tout le monde.
Sa proposition est simple, la candidature du délégataire actuel n’arrive pas en tête à cause du ménage et des comptes pas rendus à l’heure, comment peut on imaginer qu’on se jette dans le vide à cause du ménage, aucun des autres candidats ne peut être jugé la-dessus. Si donc nous retirons la note discriminante et qui a peu à voir avec une gestion de la culture, la proposition du délégataire actuel arrive en tête et la proposition de monsieur Armand, suivie par d’autres consiste à reconduire la délégation au délégataire actuel en l’accompagnant d’une clause de révision annuelle par le conseil municipal, donnant la possibilité d’annuler la délégation.
Pour vous faire une idée je vous conseille de visionner ICI
un petit conseil, déplacez vous à la minute 10 de la vidéo.

On y apprends que pour l’appel d’offre une grille de notation a été développée par Marie-Hélène BISCARAT directrice générale des services. On y apprends que les élus qui ne font pas partie de la commission d’appel d’offre ne connaissent pas cette grille ni les documents qui l’accompagnent.
Cette grille attribue 70 points pour la technique et 30 pour la finance.

On y apprends qu’une commission cinéma a siégé 3 ou 4 fois depuis Janvier.
Quels ont été la nature des travaux, mystère.

On y apprend que la commission appel d’offre propose les résultats secs des notations, sans nommer personne et sans donner aucune indication aux élus siégeant en séance et qui doivent délibérer. À ce sujet, monsieur Froment dit que sans informations plus précises, les élus ne peuvent voter qu’en suivant aveuglément la commission appel d’offres.

Mais on y apprends surtout que ce qui a fait la différence lors de la notation, c’est le ménage de l’espace et la mise à disposition tardive des comptes de la part du délégataire actuel. Comment peut-on comparer un travail effectué par le délégataire actuel, bien ou mal, à une promesses de nouveaux candidats. C’est absurde.
Un élu fera remarquer que ce reproche qui est fait au délégataire, doit être reporté sur le conseil municipal qui n’a pas fait son boulot.
On constate également que la commission appel d’offres ne donne pas son avis, elle donne simplement les résultats secs des notations.

Monsieur Arnaud Froment fait une proposition qu’il a faite à la commission appel d’offres, à savoir reconduire le délégataire actuel qui sans cette note discriminante passe en tête des résultats, en accompagnant cette reconduction d’une période d’essai d’un an, renouvelable tous les ans, et contrôlant que les éléments qui lui ont donné cette note discriminatoire soit contrôlé par les élus.

Un adjoint à la culture Thierry Capiod, adjoint au maire, à la culture et à la commission appel d’offres, propose donc que l’on vote la proposition de monsieur Forment, en mettant une clause de contrôle annuel et dans ce cas, il est clair que l’avantage va au délégataire actuel, qui n’a été devancé que par une note discriminante due au ménage. Le maire propose que le vote soit effectué avec les résultats de la commission appel d’offres et là, badaboum madame Cathy Eschalier commission appel d’offres, adjointe au maire propose un vote à bulletins secrets et reçoit l’approbation de 1/3 des présents(?) mais ce vote est organisé dans une confusion telle que monsieur Froment fera par deux fois le point sur les numéros des candidats pour ne pas confondre leur numéro dans l’appel d’offres et leur numéro d’arrivée dans la consultation.

J’ai noté un travail très subtil de la part d’une élue, adjointe au maire et membre de la commission d’appel d’offre et du groupe de travail, qui dans un premier temps dénonce la proposition du professionnel de gestion(numéro 2) de salles, qui n’est pas du coin et qui n’a pas forcément la culture de l’ouverture de l’espace à autre chose que du cinéma que veut promouvoir le conseil. Puis elle enchaîne sur la notion de service public et sa continuité, qu’arrivera-t-il si le délégataire actuel à un problème, étant seul, alors que la proposition numéro un ou au moins deux candidats se présentent pourront assurer en cas de défaillance de l’un ou de l’autre. Donc pas de 2 et 3 et rien ne dit que les élus ont bien utilisés le bon numéro.
Pour ce qui me concerne, à aucun moment il n’y a de correspondance établie entre les numéros des candidats à l’appel d’offre et leur numéro d’arrivée après application des points.

tout ceci me semble confus, pas clair et partisan.

 

Jean Tonique