Marionnette, Gonella Triboulet ou Sganarelle ?

 

Dans le Dauphiné Libéré du 27 juillet 2019, le dernier gros titre de « l’adjoint à l’urbanisme à la mairie de Lablachère », Mr Mozzatti, clôt (croit-on) une longue série désopilante ( avec hélas des répercussions financières). Cet article est un chef-d’oeuvre d’inutilité. Le rédacteur n’est pas en cause, il ne traduit que les propos de l’expert en urbanisme. Mr Mozzatti nous dira-t-il comme en 2017 « il ne faut pas croire ce que disent les journaux ».

Monsieur Mozzatti au cours de ce mandat (hélas pas terminé) aura pris soin de nous informer et c’est tout à son honneur,  via la presse, sans concertation avec le conseil municipal.

 Septembre 2017 : fluidité sur la route de Planzolles pour 2018.

Novembre 2018 : Ces travaux d’aménagement permettront d’enfouir en coordination les réseaux d’EDF, d’Orange, d’eau et assainissement, du pluvial, de sécuriser le carrefour et d’organiser les abords, trottoirs.

 avril 2019 : Le chantier de la route de Planzolles terminé le 15 mai 2019

Juillet 2019 : Fin des travaux de la route de Planzolles.

Hallelujah !

Mais non, c’était une blague. Ce dernier article de l’expert est à classé dans la longue rubrique des « cocorico » qui ne sert qu’à servir l’ego de l’expert et de ses quelques fans.
Dans les petites lignes de l’article nous lisons que le chantier reprend en septembre, pour « quelques finitions« , à savoir le marquage de la chaussée et l’enfouissement des lignes EDF aujourd’hui aériennes. (Bravo la coordination annoncée en Novembre 2018).
Espérons malgré tout que les gaines ont été enfouies, sinon il faut ouvrir à nouveau la chaussée. Seul mr Mozzatti peut le dire.
Tout au long des travaux et dans le bulletin municipal, nous apprendrons avec soulagement que les travaux avancent normalement et que le planning est respecté. Là encore Mr Mozzatti seul peut en témoigner car jamais aucun planning n’a été publié.
Nous nous arrêtons là pour aujourd’hui et préparons un dossier complet sur le chantier de la route de Planzolles.
Nous essaierons de comprendre :

————- comment en Septembre 2017, un bureau d’études a pu en séance du conseil municipal présenter le plan du projet alors que ce même cabinet ne sera retenu qu’en 2018 par le maire, sans délibération.
————- au travers des comptes-rendus de la commission urbanisme,
————- Pourquoi deux des conseillers les plus compétents en la matière ont été écartés de la commission (un élu de la majorité, un de l’opposition « non constructive »)
————- Pourquoi les travaux n’ont démarrés qu’en décembre 2018,
————- Quel en est le coût aujourd’hui ?
————- Pourquoi pourquoi ?

Ce dossier rejoint une longue série,
-nomination aux forceps de Mr Levecque, plainte contre lui pour harcèlement, -manquements permanents aux codes régissant notre collectivité,
-école publique,
-protection des sources,
-collège,
-déchetterie,
-aire de grand passage,
-voiture électrique,
-ADMR,
-balayeuse,
-rénovation d’appartements….
autant de dossiers à problèmes et non des moindres.

Dossiers sur lesquels les conseillers municipaux et plus principalement les adjoints et le maire, peut être d’autres personnes proches du conseil mais extérieures seront comptables pendant la prochaine campagne électorale qui s’annonce très intéressante.
Tous ces dossiers seront accompagnés d’un grand bêtisier, florilège des citations de nos adjoints ou autres, grand jeu concours dont nous vous donnons aujourd’hui quelques premières devinettes :

Qui a dit ?

« Il n’y a aucun problème sur le chantier de l’école publique, l’architecte nous le confirme. »

 » la faute est reconnue mais votre présence n’aurai rien changé. »

 » les détails du bilan sont faux mais les totaux sont bons. »

Les conseillers municipaux sont bien sûr exclus du concours.

Jean-luc Levecque

concours du village le plus sale

 

                                             

Nous en avons déjà parlé mais aujourd’hui, grâce aux efforts louables de la municipalité nous allons pouvoir concourir pour la rue la plus sale de France, L’allée du château !

Le premier effort de la municipalité fût d’arrêter le travail efficace d’un employé municipal qui nettoyait l’allée en deux heures avec une brouette et un balai.

Le deuxième fût de le remplacer par deux souffleuses thermiques, trois hommes et un camion qui eux nettoyaient en 45′ environs. bilan : 1/4 d’heure/ homme de moins, mais pollution sonore (7h30 du matin) et environnementale un camion, de l’essence et du gas-oil. Bravo ! Nous nous étonnons à ce sujet du silence des « élus de l’opposition constructive », épris d’écologie, comme à celui des autres conseillers d’ailleurs. Pour les riverains, jardins remplis de feuilles poussière et feuilles collées sur les voitures et les portails les jours suivant la pluie.

Dans le bêtisier que nous alimentons régulièrement nous avions ajouter à l’époque, la réponse de l’inénarrable Mr Mozzatti, « plus personne ne veut balayer aujourd’hui ! ». Qui décide de qui doit faire quoi et comment ?

Le troisième effort fût d’acheter une balayeuse que le maire lui-même qualifiait de ‘non adaptée et trop chère, lors du Conseil municipal du 2/09/2016 et qu’il a acheté quelques mois plus tard sans concertation avec le conseil municipal. À ce sujet nous avons demandé, officiellement le 1 octobre 2018, à monsieur le Maire :

– la confirmation par écrit et devant l’assemblée délibérante que vous avez eu le droit d’acheter la balayeuse auto-motrice, sans l’autorisation du conseil municipal. Vous nous préciserez, documents officiels en mains, son prix exact, son mode de financement et de paiement. Vous nous préciserez également comment ce véhicule jugé, lors de la séance du 27/09/2016 (voir votre compte-rendu), trop cher (60 000 €) et inadapté pour notre commune, se retrouve aujourd’hui dans nos rues.

Bien sûre et au mépris du CGCT, nous n’avons jamais eu de réponse.

Cette machine est effectivement inefficace, dans la mesure ou quand elle passe, il y a des voitures et des arbres. Peut être un jour la municipalité va-t-elle encore se tromper et couper des arbres accidentellement !

En passant, nous pouvons admirer les magnifiques trottoirs comme sur la route de Planzolles, mais occupés par des voitures, (dont la mienne souvent).

Nous sommes bien placés pour entendre les réflexions des visiteurs, quand à la propreté de cette allée.

Nous pouvons ajouter également que lorsqu’il y a un gros orage, sous peine d’être inondés, nous retirons les feuilles au fur et à mesure qu’elles bouchent les grilles.

Voilà encore une illustration de la gabegie, des mensonges, du mépris des lois, des citoyens et des conseillers, de cette municipalité.

Grâce encore aux efforts louables de certains citoyens, nous allons pouvoir rebaptiser la rue de La Merle en rue de la Merde !

Jean-luc Levecque

 

 

 

 

le groupe E.GA.L propose une démarche démocratique.

En premier lieu, nous tenons à remercier Monsieur Mayet (correspondant à Lablachère du quotidien le Dauphiné Libéré), pour l’attention dont il a fait preuve à notre égard et son aide à la hiérarchisation de notre propos.

La rédaction de son article l’obligeant à un nombre de mots limités, il nous a paru utile ici de l’étoffer et de le préciser.

L’INTERCOMMUNALITÉ, bouleversement démocratique !!!

Nous constatons :

– Que l’intercommunalité, annihilant à petit feu les communes, fait définitivement partie du mille-feuille administratif (sauf bien sûr à redéfinir cette entité administrative au sein d’une 6e République).

– Que la marge de manœuvre des communes, filles de la république (naissance le 14 décembre 1789, grâce à la Constituante, officialisant la plus petite division administrative française et le mouvement d’autonomie communale révolutionnaire) est de plus en plus réduite.

– Que le président de la République affirme lors de son grand débat que les élus locaux sont les rouages majeurs dans la gestion des territoires.

Nous affirmons :

– L’organisation des intercommunalités n’est pas adaptée et là nous ne parlons que de l’organisation politique, n’ayant encore que peu d’expérience avec l’organisation administrative.

– La communauté de communes n’est qu’un assemblage des premiers élus municipaux pour les communes de plus de 1000 habitants et des maires (habituellement) pour les petites communes.

– Les petites communes ne sont représentées que parce que le législateur leur a fait la grâce d’un délégué, même si elles n’y ont pas mathématiquement droit.

– Le mode de nomination et de scrutin  empêche toute option politique et nous prétendons que la gestion d’une intercommunalité doit être politique (les municipalités aussi dès lors que le scrutin de liste est en vigueur).

Nous disons encore :

– Qu’il est absurde de demander à des élus, qu’ils prennent, avant la fin août 2019, une décision sur la répartition des conseillers communautaires, pour la prochaine mandature, alors que la plupart d’entre eux ne se représentent pas ou ne seront pas réélus.

– Que dans le cadre actuel de la C.D.C, nous avons fait, par l’intermédiaire de Mr Boissin, délégué communautaire, une proposition à la communauté de communes de Pays Beaume-Drobie et par des courriels aux maires des communes adhérentes, une proposition à débattre sur un accord de répartition des délégués communautaires donnant un minimum de deux délégués à chaque commune, en réduisant de fait le nombre de délégués des trois communes les plus importantes.

Nous ne pouvons pas dire que nous avons déclenché une prise de conscience des conseillers en place. Aucun ne nous a contactés et à notre connaissance (peut être faute d’informations), à ce jour notre proposition n’a été débattue ni au Conseil Communautaire de la C.D.C, ni aux conseils municipaux.

– Que notre proposition, qui n’était pas tout à fait conforme au niveau juridique (écart du nombre de délégués de plus de 25% par rapport au nombre de délégués accordé par le mode de calcul) imposait l’accord officiel des trois communes les plus importantes de la CDC de Pays Beaume Drobie, à savoir : Joyeuse, Lablachère, Rosières.

En conséquence, notre vision (temporaire) sur la répartition des délégués n’a pas pu être imposée au Préfet. L’exécutif des 3 communes précitées a refusé cette démarche de représentation.

– Que le système doit empêcher les dérives que connaissent bien des C.D.C, à savoir donner la présidence à une petite commune, ou encore « il faut bien donner une vice-présidence à monsieur X il est maire de …. ». Avec notre projet, les maires ne seraient pas désignés d’office à la CDC.

– Que les compétences, le charisme, la disponibilité, éléments nécessaires sont différents selon que l’on est élu de la commune ou de l’intercommunalité.

E.G.A.L propose et entend faire remonter ces réflexions au Sénat et à l’Assemblée nationale.

Les assemblées territoriales ou nationales sont constituées à partir de listes politiques sauf pour les communautés de communes.

Pourquoi ? Notre opinion est que ce projet officialisé le 6 février 1992 fût bâclé et que l’objectif principal, le non-dit, était la suppression progressive des petites communes, il suffit de lire les lois Allur du 24 mars 2014 et Notre du 15 Août 2015 pour le comprendre.

Le sénateur Sueur a amorcé une tentative timide d’amélioration de la gestion des communautés de communes, mais le résultat aujourd’hui n’est pas encore affirmé, il tendrait vers un échec.

En fait il tourne autour d’un problème d’arrondis des calculs qui assurent automatiquement un siège à chaque petite commune et il donne peut être un siège de plus aux communes moyennes. D’une manière générale, l’intercommunalité est ressentie comme mettant à mal la démocratie. De nombreux élus n’envisagent pas de se représenter aux municipales, eu égard au peu de compétences requises aujourd’hui au niveau municipal.

Notre projet :

1) L’état, en fonctions de critères à débattre avec les intéressés, décide d’un nombre de délégués par intercommunalité. La décision de ce quota pourrait dépendre d’un ratio population/superficie.

2) Présentation de listes de candidatures intercommunales, indépendantes des listes de candidatures municipales, basées sur des projets politiques, ou pas, avec pour seul critère pour les candidats, l’inscription sur les registres électoraux dans une commune de la CDC et être éligible.

3) Le vote, (sans aucune difficulté) se fait le même jour que les élections municipales, au scrutin proportionnel de liste, sans prime au vainqueur.

4) Chaque compétence de la CDC (7), sera représentée par une commission participative, ouverte, sous réserve d’inscription et d’engagement, aux citoyens de la CDC et composée ainsi :

le président élu de la CDC comme président,

1 vice-président élu,

5 élus volontaires,

X citoyens.

Le pluralisme sera respecté, au vu des résultats de listes par rapport aux inscrits.

5) Une conférence mensuelle des maires sera organisée, cette conférence n’ayant qu’une position de critique (au bon sens du terme) et de propositions.

6) Les réunions publiques de la CDC auront toujours lieu au même endroit, dans une salle ad hoc, pouvant recevoir suffisamment de public. Pourquoi ne pas envisager la création d’une maison de l’intercommunalité ?

7) La CDC ouvrira le chantier de regroupement de communes, regroupement qu’il nous faut anticiper sous peine de nous voir imposer des regroupements par l’état (voir aire de grand passage).

Les possibilités sont nombreuses mais encore faut-il qu’elles soient nécessaires et adaptées à notre territoire.

De cette façon nous retrouvons :

Une assemblée responsable pour 6 ans qui s’engage sur un programme territorial.

Une assemblée qui manipule des idées pour gérer un territoire et non plus une assemblée d’élus encombrés par leurs problèmes de clochers, leurs électeurs, leurs egos.

Un mode de gestion collégiale et participative.

Un mode de candidature démocratique et communautaire.

Un vrai scrutin démocratique.

L’ensemble des intercommunalités est-il autre chose qu’une carte du département ? Les présidents et vice-présidents de CDC devraient siéger régulièrement à des séances du Département.

Pour l’exemple, le groupe EGAL proposerait une liste :

A.V.E.C.

Aimons la Vie Ensemble dans la Cdc

Cette liste regrouperait 41 (à voir) candidats représentant les citoyens prêts à partager, à aider l’autre, à abandonner un peu d’un confort dérisoire, prêts à accepter et à promouvoir des lois contraignantes pour protéger la Vie, au profit de l’air, de l’eau, du feu (pyromanes s’abstenir), de la terre, des femmes et des hommes, de leurs enfants, des animaux, de la nature, et dont le leitmotiv serait « aimons la terre, c’est la seule planète connue où il y a l’Ardèche ».

En parallèle,

– Nous pouvons admettre qu’au vu des compétences qui restent aux municipalités, une réduction du nombres des adjoints (donc du budget) et des conseillers municipaux soit décidée.

– Nous pourrions imaginer que le mode de scrutin des municipales soit démocratique et que le législateur supprime la prime au vainqueur au profit de la proportionnelle intégrale.

– Nous pourrions imaginer que le préfet ayant décidé du nombre de conseillers par communes, des listes, présentant un nombre de candidats encadrées par un plancher et un plafond, soient possibles (exemple à Lablachère : plafond 19, plancher 10 conseillers). Aujourd’hui déjà, nous constatons que 19 conseillers à Lablachère (ou ailleurs), c’est beaucoup, que peu s’investissent ou ne figurent sur la liste que parce que le règlement électoral l’exige, créant un manque de cohésion et induisant perte de temps, d’énergie, pour trouver des candidats qui n’apportent que leurs noms.

– Nous pourrions imaginer que le législateur conçoive que la parité proposée actuellement est absurde et oblige souvent à inscrire des noms pour la forme. Faut-il imposer des sexes plutôt que des compétences ? Les femmes ont démontré au monde leurs aptitudes, leur véhémence ; de même elles peuvent se montrer, à l’instar des hommes, aussi peu compétentes. Les femmes et les hommes ont aujourd’hui accès aux mêmes études, aux mêmes informations. Si des femmes veulent monter une liste de femmes les hommes une liste d’hommes, si un groupe souhaite monter une liste à majorité féminine ou masculine, pourquoi pas, il faut faire confiance aux électeurs.

– Un autre élément serait un règlement plus strict quant au statut et aux devoirs des conseillers municipaux. Par exemple exiger leur démission lorsqu’ils n’habitent plus la commune ou ne viennent que très rarement ou pas du tout aux séances de conseil municipal en s’abritant sous des excuses fallacieuses.

– De même, il conviendrait d’encadrer plus sévèrement le fait de donner sa procuration qui devrait rester une exception et non une facilité.

– Pour terminer, informons les citoyens par les moyens informatiques dont nous disposons actuellement ou via un courrier traditionnel pour ceux qui ne seraient pas encore connectés.

centre de secours, logements sociaux, Le Castelet.

Bonjour,

suite à la réunion de la semaine dernière qui traitait du PLUI de la CDC Beaume Drobie, la contestation portée par la chambre d’agriculture, les jeunes agriculteurs, la confédération paysanne….. sur l’implantation du centre de secours sur des terrains agricoles, n’a pas eu lieu (?), les jeunes agriculteurs étaient absents( ?), seul la CONF a fait une remarque à ce sujet. Le représentant des pompiers à décrit le futur centre et il semble maintenant certain que le site soit retenu.

J’ai trouvé les jeunes agriculteurs beaucoup plus virulents pour protester contre l’utilisation de terrains agricoles pour le futur collège de Joyeuse, avec toujours cette incroyable banderole, exemplaire: « nos enfants cultivés mais affamés ».

J’ai alerté les jeunes agriculteurs ainsi que le maire de Lablachère (qui participait à la manifestation de joyeuse avec les jeunes agriculteurs) sur la transformation du magnifique site du Castelet et des terrains agricoles en terrains constructibles, mais sans réponse. Du maire de Lablachère et de ses adjoints, rien ne me surprend, de la part des jeunes agriculteurs c’est plus douteux. Il y a certainement des quantités d’autres terrains pour y construire des logements sociaux. Pourquoi encore concentrer, le territoire est vaste, est-ce toujours au nom de la sacro-sainte rentabilité, qui de jour en jour nous conduit à la catastrophe sociale et environnementale.

je me demande si une étude a été faite pour voir l’impact sur la distribution d’eau et les assainissements nécessaires pour les logements sociaux. Idem pour le centre de secours qui à terme doit intégrer un nombre conséquent de professionnels résidents.

 

Pour ce qui me concerne, tout cela à des relents de magouilles, d’échanges, mais rien ne m’étonne plus ! A minima, le manque de transparence est évident.

Il me semble également qu’une politique volontariste et incitative pourrait s’exercer en conjonction avec d’autres organismes où syndicats (Pays d’Ardèche méridionale, SYMPAM, ANAH ), à la CDC et dans les Mairies adhérentes. C’est je crois 400 logements inoccupés sur la CDC Beaume Drobie.

jean-luc levecque

ENCORE UN COCORICO POUR RIEN

Encore une annonce bidon de la part de notre maire, sans réactions de son équipe, qui visiblement ne suit pas les dossiers.
Il écrit en avril et mai 2019,  par Mail , article dans le journal et paragraphe dans le dernier bulletin d’informations municipales :
« Le projet de centre de secours est enfin lancé avec l’attribution de la maîtrise d’œuvre pour un accès rapide au rond point du dolmen  et l’acquisition des parcelles avec échange de terrains…. ».
Pas de doutes il parle bien de Lablachère.
MAIS,
​A ce jour, rien ne dit que la caserne se fera à Lablachère, sur les terrains pressentis, terrains agricoles. ( dont notre maire est un fervent défenseur, souvenons nous de la banderole devant laquelle il pose fièrement avec les jeunes agriculteurs, « nos enfants cultivés mais affamés », posée sur les terrains pressentis pour le collège à Joyeuse.
À cet égard je pense que la transformation « proposée » des terrains du Castelet, d’agricoles en constructibles a dû lui échappé, comme aux jeunes agriculteurs).

La Commission Départementale de la Nature des Sites et des Paysages (CDNPS) (http://www.rhone.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement-developpement-durable-risques-naturels-et-technologiques/La-commission-departementale-de-la-nature-des-sites-et-des-paysages-CDNPS/Definition-de-la-CDNPS) se réunit demain 11/07/2019 pour statuer sur le sort des terrains envisagés pour le centre de secours.

Nos informations ne nous donnent pas à penser que la CDNPS soit favorable à une telle mutation, mais peu importe, le problème n’est pas le résultat de cette réunion, d’autant que Lablachère à de la ressource, avec des terrains non utilisés, là ou le collège était pressentit.
 
Ceci est simplement une illustration supplémentaire du niveau de sérieux de l’équipe aux manettes à Lablachère.
Tout cela est d’autant plus stupide que Lablachère, au-delà du permis de construire qu’elle devrait délivrer ou pas, n’a rien à voir dans la gestion du centre de secours et aucun cocorico ne peut lui être attribué.
Un élément de plus à ajouter dans notre dossier déjà bien nourrit de l’incurie et de l’amateurisme de cette municipalité.
Jean-luc Levecque.