ET L’ESTANCO ALORS !

Bonjour,

nous avons tellement l’habitude de le voir ouvert que nous avons oublié de mentionner que L’Estanco,  gestes barrières obligent, est ouvert, midi et soir pour des pizzas à emporter, des frites Etc..

Vues printanières

Pour égayer le marché.

et apéritive. Le plus dur c’est de passer les bouteilles et les verres à travers les mailles du grillage.

Une banderole, vous aurez compris que celle-ci n’est pas l’œuvre de « NonNon » et n’est pas posée par les employés municipaux de « OuiOui ».

LA LARME À L’ŒIL ET LA PEUR AU VENTRE

Notre ami jean-marie, qui nous a fait ce dessin est depuis en réanimation because le coronachose. Aujourd’hui bonne nouvelle, sorti du coma dans lequel il était plongé, il a souri, serré un peu la main du médecin. Pendant que nous  anxiogénions monsieur se croyait au Maroc, se gavant de GRIBHAS, de BRIOUATES dégoulinantes de miel. Un voyage pareil ça devrait pas être remboursé par la sécu.
Tiens bon mon gars, tu nous manques. Plein d’amour à Frédérique et aux gamins.
Jean-luc

Louve à deux copines de plus, Emma et Lison

Un petit clic raté et,  le jour des droits de la femme, le 8 Mars 2020, la naissance de deux petites épicuriennes, Emma et Lison,  est passée à l’as sur notre blog. Je le poste aujourd’hui, remis au goût du jour.

Elles arrivent au monde dans une période difficile, mais prometteuse, nous le souhaitons, d’ un avenir plus démocratique, plus populaire, ou leur humanité sera respectée. Leur parents en donnent l’exemple.

Elles ont la chance d’être nées dans un milieu aimant, respectueux des autres, solidaire.

À L’ÉPICURIEN, tous se démènent, en souriant, en collant à la réalité, pour survivre et nous aider.

Ce midi nous nous sommes régalés avec leur plateau repas (entrée, salade, plat dessert et boisson 15€) et c’est avec plaisir que nous avons eu la confirmation que ces restaurateurs se servaient en priorité auprès des producteurs et fournisseurs locaux.

Emma et Lison, vous êtes bien nées, longues et belles vie à vous. plein de bises épistolaires.

Amitiés à la maman, au papa.

Jean-luc et Geneviève.

 

 

 

Bienvenue tardive à Adersca Print

Bonjour,

Les EGALIENS parlent aux FAOU TEMOUENS

Dans le cadre de notre soutien aux commerçants, entrepreneurs et artisans, nous privilégions la commune, et c’est ce que nous ferons pour toutes les activités locales impliquant la municipalité, repas des sages, arbre de noël, fêtes, accueil, bulletin municipal,  ….

Aujourd’hui, ce sont nos professions de foi et bulletins de vote que nous avons fait imprimer chez Ardesca Print, à Lablachère. Oui, Simon, installé à Lablachère depuis juin 2019, travaillant dans le cadre de la CAE Polen Scop , inscrit dans la modernité, sympa et passionné par son travail, nous a fait un super boulot, dans des conditions que l’on peut dire extrêmes. Également installé familialement à Lablachère, sa compagne et lui attendent une petite fille pour dans deux mois.

Nous pensions qu’il allait être bousculé, que nenni, aucune des listes concurrentes n’a fait appel à lui. Je crois avoir lu qu’ils voulaient développer Lablachère ? Raz le bol des postures, des actes !

Bref  Les Trois ateliers, La maison Bleue, Java (bisous à Louve et son frère), Ardesca Print, L’Épicurien (Madame aussi attend un bébé), Emmanuelle et ses chevaux, on parle d’un fromager, d’un kiné. Tout ce monde dynamique, jeune, complètement ignorés par la municipalité s’installe grâce au copinage, aux relations amicales, aux rencontres, aux citoyens.

L’accueil est-il réservé aux retraités ? Je suis retraité mais plus il y a de jeunes, moins je vieilli, moins la commune s’endort. Bon d’accord faut pas courir trop vite non plus !
il y a un vieux proverbe que j’ai chopé dans un désert africain, que j’aime bien, je cite de mémoire,
 » le jeune debout n’aperçoit pas ce que le vieux voit couché ».
La Rochefoucauld lui disait :   « Vous nous ennuyez avec votre jeunesse. Elle sera la vieillesse dans trente ans« . Ce  à quoi je réponds « d’accord mon pote, mais pendant trente ans ils seront encore jeunes ».

 

Jean-luc levecque

Australie, avertissement ?

Australie (pas qu’en), avertissement après le mépris affiché pour le vivant, la catastrophe du « Marché de l’eau », l’insulte faites aux oiseaux qui volent au dessus de ces villes absurdes.

Que dire de la maltraitance faite aux aborigènes indigènes de ce continent.

Que dire de l’installation de plus de 180.000 prisonniers, répartis dans les bagnes Australiens.

Que dire encore de la myxomatose, introduite pour réduire les troupeaux de lapins, espèce non-indigène.

Que dire de l’invasion des crapauds-buffles introduits pour s’attaquer aux insectes ravageurs de la canne à sucre.

Que dire de l’abandon des dromadaires qui maintenant pullulent.

Que dire de l’introduction des vaches sans bousiers……..

Bref l’Australie délire et paye, pourtant nous pouvons lire ça. ICI

J’aimerai que nos formidables médias télévisuels, indépendants, libres de leurs propos, versent les mêmes larmes pour la forêt amazonienne, mais là pas touche, il y a du fric en jeu, des relations commerciales avec une équipe de bandits.

Jean-luc

Amis écologiques, les algues ne sont pas vertes, mais bleues.

Ines Léraud, journaliste et documentaliste à enquêté sur les algues vertes en Bretagne, et accompagnée de l’illustrateur et graphiste Pierre Van Hove, elle publie une BD, relatant son enquête. « les algues vertes, l’histoire interdite », aux éditions Delcourt.

« Des échantillons qui disparaissent dans les laboratoires, des corps enterrés avant d’être autopsiés, des jeux d’influence, des pressions et un silence de plomb. L’intrigue a pour décor le littoral breton et elle se joue depuis des dizaines d’années. »

Mais le décor n’est pas de théâtre!

Cette BD est un véritable résumé d’enquête, documenté et contrôlable.

Heureusement cela n’arrive pas chez nous !

Oui, c’est vrai qu’en Ardêche elles ne sont pas vertes les algues, elles sont bleues, c’est vrai aussi que les quantités ne sont pas comparables aux productions Bretonnes, mais quid de l’interdiction de baignade à Alba-la-Romaine, de la controverse à Labeaume ou un chien est mort après une baignade dit sa propriétaire, quand  Le maire de Labeaume, dément formellement : « j’ai interrogé par rapport aux cyanobactéries. J’ai eu confirmation par l’EPTB (établissement public territorial de bassin) qu’il n’y a pas de données scientifiques claires qui permettent d’affirmer ce qui est affirmé sur les réseaux sociaux. Si on avait le moindre doute, évidemment qu’on interdirait la baignade ». Ni le propriétaire, ni le Maire n’ont de données pour étayer leur position.

Est-ce que cela ne ressemble pas au début des problèmes dus aux algues vertes en Bretagne, va-t-on voir à nouveau les intérêts particuliers prendre le dessus sur la santé, le bonheur de la baignade ?

Il ne semble pas que les canicules vont reculées et que dire de l’Ardêche sans ses baignades !

Jean-luc