Ils arrivent, viens voir les comédiens.

La vallée est montée sur le plateau pour y faire 2 jours de résidence et interpréter une pièce d’après Oncle  Vanya deTchekov.

Nous avons fait très fort un déménagement plus le transport des décors de Sanilhac à Ste Eulalie par 40 ° et une représentation par 11 degrés. Deux jours exceptionnels et ce fût pour nous !

La vallée, c’est la troupe Laurac en ciel, avec ses comédiens de Lentilleres, de Chassiers, de Vinezac, d’Asperjoc, de La chapelle, de Lablachère et sa metteuse en scène, de Laurac.

Le plateau c’est ste Eulalie. Dans un lieu magique, avec une salle de spectacle en phase d’aménagement  mais déjà utilisable.  Un ancien fenil à la charpente digne d’un bateau échoué sur le ventre.

C’est ici à  villevieille

L’accueil est là, orchestré par Frédérique, Chantal,Michel, Isis, Loulou et Chouquette. Ce n’est pas comme à la maison, c’est comme chez eux.

Fredérique vous la connaissez peut être déjà, c’est une des Zocazes avec Sylviane son éternelle complice.Mt Gerbier de jonc

Un sein magnifique nous contemple, le Gerbier de Jonc, magnifique de loin, de près défiguré par des trottoirs pleins de Camping-cars. C’est là qu’ils disent que la source prends sa Seine. C’est pas la Seine he banane c’est la Loire. Oh moi vous savez sans mes lunettes !

Nos spectateurs, nous les avons applaudis, 1h50 sur un banc avec 11 ° de température, bravo, encore bravo.

Ils nous ont applaudis. Cinquante personnes étaient prévues mais le froid en a éloigné 14.

Un petit futé à Lablachère me dit « vous croyez qu’ils ont compris quelque chose sur le plateau ».  Pauvre con! Je pense que cela résume assez bien ma pensée.

Nous y retournerons et vous invitons à prendre contact avec Michel aussi bien pour le gîte d’étape que pour des résidences artistiques.

jean-luc

 

 

Dreamer

Ça y est les chaînes d’informations ont illustrées « l’après Covid19 ». C’est comme avant, sinon pire.
L’exemple frappant est la manif de la place de la République, place « noire » de monde comme osera dire un crétinus de « colporteur de bruits ».
Les pauvres médias télévisuels tentent par tous les bouts de minimiser l’évenement, de le détourner, Mélenchon est donné pour responsable de ce désordre. Le malade Lallement se déchaîne, enfermant les manifestants dans une cage à foule ce préfet débile fait tout pour tenter de le rendre violent comment peut-on laisser ce dangereux personnage se pavaner quand des citoyens manifestent à la fois contre les violences policières, contre le racisme.
Echec et audimat sont les deux mamelles de ces subordonnés du pouvoir, commentateurs bêlants, menteurs invétérés, les « colporteurs de bruits » s’efforcent, parfois mal-à l’aise de faire avaler leur version d’un cortège dangereux tout au long de son parcours (la manif est volontairement restée Place de la République).
Déshonneur total.
La bourgeoisie rétro refait surface, de grands experts prennent la parole, Bigard, Sebastien, De Villiers, ou est passé Seguela ?
Tout le monde médiatique, l’état, tout le monde s’y met pour faire oublier l’amateurisme dangereux dont à fait preuve l’état pour le traitement de cette épidémie et pan sur le bec des flics, ça occupe les esprits.
Ces médias vont crever sous les coups de boutoirs des réseaux sociaux, qui ne sont pas mieux, peut être verront nous naître une politique d’embauche de « journalistes », basée sur les compétences et pas sur la capacité à fermer sa gueule devant l’évidence.

« You may say i’m a dreamer
bur i’m not the only one
I hope some day you’ll join us
and the world will live as one »

J’ai la gerbe et ce n’est pas un symptôme du Covid19.
Effet secondaire d’une posologie Macronienne, le dégoût s’installe et rien, à part un sursaut de la société civile et une 6 ième république, issue du peuple, ne pourra y remédier.

Jean Luc.

Bas les masques.

La période que nous traversons est pour le moins compliquée, reposante pour certains, une aubaine pour d’autres, mais souvent une galère et dans les cas les plus graves une détresse physique et psychologique.

La solidarité bat son plein, pour beaucoup d’entre nous c »est une période citoyenne et solidaire, sans faire publicité de nos actions, pour d’autres c’est l’occasion de récupérer à des fins électorales, la détresse et la peur de certains citoyens à qui on a dit lors du premier tour, « restez chez vous » . C’est tout simplement laid et écœurant.

Je suis conseiller municipal, écarté des débats par la première adjointe qui convoque les conseillers qu’elle nomme les « entre-nous », depuis 2017. Aujourd’hui, avec un maire qui prétends représenter toute la population, j’ai essayé depuis bien avant le confinement de proposer mes services pour aborder cette crise, mais rien.

À ce jour, je n’ai jamais été convoqué pour quoi que ce soit, et si ce n’est le rapprochement que j’ai fait auprès de me Mozzatti pour aider deux dimanche de suite à la sécurité du marché, je ne participerai à rien. Je salue au passage Mr Mozzatti pour son dévouement. Nous nous sommes affrontés sur bien des sujets, en mode conseillers, mais en mode humain nous avons beaucoup de points communs.                                                                                                                                        Dès lors qu’il s’agit d’avoir une action publique, on retrouve des élus candidats sur des listes diverses, mais pas de la liste EGAL. Non ? Mais comment cela est-il-possible ?

Le dernier événement, cousu de fil blanc c’est la distribution des masques, orchestrée entre autre par un trio peu banal, Mesdames Carrier, Quere et Pouget. Bien sûr elles sont toutes les trois au conseil municipal, mais je crois me souvenir qu’elles sont également candidates sur la liste « Lablachère, au cœur du territoire ». Comment se fait-il que je ne sois pas contacté pour distribuer des masques aux personnes de plus de 75 ans ?. Certaines personnes qui ont été visitées par ce trio nous laisse entendre que les propos avaient un caractère de propagande électorale. Ce n’est d’ailleurs pas interdit. Pour avoir un état complet des personnes de plus de 75 ans, les listes d’émargements sont le seul document accessible qui indique l’adresse et l’âge des citoyens. J’ai souvenir de m’être fait engueulé vertement par une employée de ma Mairie, au prétexte que ce n’était vraiment pas le moment ? J’espère que pour mesdames Pouget et Quere ce fût plus cool.

Une autre chose me chiffonne, je fais partie des personnes vulnérables, le trio à fait ma rue, sait parfaitement ou j’habite et pourtant je n’ai pas reçu leur visite, Mr Rieusset, dans la même rue non plus. Nous étions présents tous les deux. Les anecdotes sur cette distribution font légion. Il faut savoir si vous ne le saviez pas encore que Mr Rieusset et moi-même sommes candidats sur la liste EGAL, arrivée en seconde position, malgré nos bulletins nuls (par notre faute). Devrions nous considérer que ce trio nous met délibérément en danger en ne nous donnant pas de masques ?

Tous ces procédés sont abjects et si des citoyens marchent dans la combine, c’est à désespérer.

Ceci étant dit, je n’ai pas attendu le conseil municipal pour travailler sur le manque de masques, un jour indispensable, l’autre non, suivant les possibilités de livraisons et les humeurs du Monarc.

La société Wantherbra vient au secours de l’état Français et dédie ses ateliers (chinois et indiens), à la production de masques économiques, biplaces.                               Nous en avons essayé un modèle . Très utiles pour les couples fusionnels et contaminés qui ne peuvent se tenir que côte-à-côte, ils sont un peu difficile à installer.

Effets secondaires des masques biplaces:

– Le port de ses masques oblige parfois à se déplacer en crabe.      -Il faut que les deux personnes éternuent ensemble sinon c’est le bordel             – En voiture il est préférable d’avoir des masques individuels, la position risquant d’être très inconfortable pour le passager.                                         – – il y a un sens, c’est pas comme un béret. Pour les pays dont les voitures roulent à gauche, le masque du conducteur est la partie droite et inversement pour les pays qui roulent à droite.

Nous avons trouvé d’autres modèles, non-homologués hélas. Vous me direz que ceux distribués à l’école ne le sont pas non-plus.

Au collège de Pataphysique, vous pouvez vous procurer des patrons pour des masques sans élastiques auxquels il manque le tissu. (voir image ci-dessous)

 

masque sans élastique auquel il manque le tissu.

 

Un autre modèle nous vient de Bretagne. Déjà solidaire à l’apparition du virus du sida, par la fabrication de préservatifs, une société bretonne, propose des modèles très seyants, en dentelle de Guéméné.

La marque Lou Jaby elle propose à tout le personnel soignant, gratuitement des soutiens-gorges qui feront d’excellents masques, ceux prévus pour les Amazones.

Voilà j’espère qu’avec tous ces conseils, vous traverserez cette épreuve avec plus de sérénité.

Jean Luc Levecque.

Un Dimanche de la ville navrée.

Bonjour,
À dix heures dimanche, j’ai remplacé Madame Arevalo (conseillère municipale) , à l’entrée du marché afin de contrôler et d’ oindre, non pas avec de saintes huiles mais avec une solution hydroalcoolique, les mains des affamés. Jamais de ma vie je n’ai demandé la main à autant de femmes, ni d’hommes. Mais pas de bague de fiançailles, du désinfectant
L’organisation, si nous admettons que les consignes préfectorales sont judicieuses, est correcte et les citoyens dans leur grande majorité sont disciplinés.
Bien sûr de temps en temps un rebelle refuse l’onction alcoolique :
Quelques uns parce qu’ils sont allergiques(la préfecture n’a pas prévu que nous vérifiions les certificats médicaux. ).
D’autres parce qu’ils sont des alcooliques abstinents.
d’autres parce qu’ils disent avoir les mains propres ! Alors là nous sommes intraitables, une petite giclée supplémentaire.
D’autres parce qu’ils ne veulent pas, de vrais rebelles. Alors là, clef de bras, ou Osaekomi-waza prolongé par un Shime-waza et le rebelle repart en bougonnant un bras coincé dans le dos.
Un petit détail, dès lors que l’on admet les principes des gestes barrières, les gens qui portent des gants doivent également les désinfecter, ils ne protègent qu’eux.

Et puis nous avons causé.

J’ai été obligé de corriger le tir plusieurs fois quand des gens ont interprété ma présence comme faisant partie de la campagne électorale. Que nenni mesdames, messieurs « je suis là en tant que conseiller municipal, solidaire de ses collègues conseillers qui assurent depuis 3 marchés. Je laisse à d’autres le soin de continuer à faire cocorico au milieu de leurs fans, avec des postures stupides ».
Pour ce qui me concerne, une campagne électorale est aujourd’hui dérisoire, par rapport aux réflexions, aux actions, aux rencontres politiques nécessaires pour préparer la suite des événements.
Je veux dire par là, non pas par là, par là, que je ne néglige en rien la municipalité, mais qu’ aujourd’hui le combat est ailleurs. Les élections municipales reviendront un jour et nous verrons à ce moment là.
Ce premier tour, qui commence à afficher ses morts dus au Covid19, marqué par une abstention record dans une ambiance pas sereine du tout, doit être annulé, mascarade pitoyable.
Nous pouvons apprécier l’idiotie de nos dirigeants qui répètent à longueur de plateaux télés, « ce premier tour s’est déroulé selon les principes du « code électoral », c’est vrai législativement ( ce qui prouve bien que le code électoral est une vraie connerie), mais quels abrutis ! Là il y a grand silence des politiques, tous les présidents de groupes ayant opté pour le maintien des élections, avec Larcher et Baroin.
Élu au premier tour ou pas tout doit être annulé !

Si des citoyens persistent à penser que la politique n’a rien à faire dans une municipalité, ils se fourrent le doigt dans l’œil (cyclopes s’abstenir), aujourd’hui, qui ne se réclament pas des élus locaux ? Ce qui me rassure, c’est que dans le projet EGAL, contrairement aux deux autres listes, il y a peu de place pour la droite et la Maconnerie ( qui parait-il n’est pas de droite), mouvements qui nous ont conduit là ou nous en sommes. Nous n’oublions pas bien sûr que la liste conduite par Mr Laporte à le soutien du PC, qui sur cette liste, a deux représentants.

Pour ce qui est de la politique en général, si notre chétif résident de l’Élysée, serviteur des grands patrons, des financiers, avait des burnes, après avoir constaté grâce au covid19, l ‘échec et la dangerosité de sa politique, l’échec de la mondialisation, de la globalisation, du libéralisme, des mouvements sociaux à n’en plus finir, des mécontentements dans tous les corps de métiers, le droit du travail dont la destruction s’organise lentement mais sûrement, les retraites, les gilets jaunes, les applaudisseurs de balcons, si donc ce petit caporal avait des burnes, il proposerait la dissolution de l’Assemblée Nationale au lieu de se préparer à « relancer la croissance », source de tous nos maux. Mais ils sont comme des gamins pris la main dans le sac et qui s’entêtent, dans le mensonge et la médiocrité. Nous pensions avoir touché le fonds en matière de mensonges, de démagogie, de mépris pour le peuple, et bien non, nous avons la preuve que le fonds, abyssal, n’est jamais atteint.
Une chose m’intrigue, les supporters de Pinocchio doivent être confinés en nombre, je n’ai en effet rencontré personne qui défende sa grande braderie sociale au bénéfice du sacro-saint marché, cher à ses mentors. Depuis quelques temps il devenait de plus en plus difficile de trouver un citoyen ayant voté Pinocchio au premier tour des présidentielles. Ils n’étaient pas nombreux, mais quand même ils ne peuvent pas être tous en réa.
Pour en revenir à notre marché, un marché calme, mais chiant ! Un beau marché est un marché ou on se bouscule, s’embrasse, s’invective des fois, ou les forains s’époumonent, où on râle, avec plaisir, parce qu’une poussette nous a cognée, ou un musicien nous casse les oreilles, ou il y a un bar..
Nous venions juste de goûter au bonheur de retrouver, avec l’Épicurien, une supère terrasse de marché, elle reviendra !
Un marché sans bar c’est comme…. euh…. comme un …. impossible il n’y a pas de comparaison !

Encore une petite fille.

Le woman’s lib est efficace, mais de là à ne donner naissance qu’à des filles, faudrait voir à pas exagérer. Louve, Emma, Lison et maintenant …..
Cela me rappelle une histoire vieille de 45 ans. Dans nos hordes de baba cool, qui faisaient des enfants à tire-larigot(une amie), ne naissaient que des filles. Les Mâles, inquiets se réunirent  à l’auberge du Rieublanquet à Lablachère. Sous le murier à palabres, notre ancien, Robert de Lablacherette, posa sa cigarette bizarre et nous dit « ça y est, j’ai trouvé, ce ne sont pas  les Pétroleuses qui influencent les naissances, ni la pleine lune, mais les slips ». « tu as fumé quoi lui dit Alain ? ».
« Rien, enfin comme d’habitude, mais écoutez moi. Les testicules , usines à produire la moitié nécessaire à la conception d’un enfant sont logés dans les bourses, organes externes, pourquoi? Parce qu’il fait trop chaud à l’intérieur et que le chromosome Y, il aime pas ça, il sue et les femmes, qui choisissent le chrome aux hommes, préfèrent péchot un X tout propre à un Y tout suant. Et nous, comme des cons on enferme tout ça dans des slips, bien au chaud. À mort les slips ! »
Ce soir là, nous avons brûlé nos slips.  Le résultat fût convainquant, j’ai eu 3 filles et un garçon.

 

Lola, Killian, Milan  ont bien cherché les œufs de Pâques, mais  ils ont trouvé  au milieu d’un bouquet de roses, une petite fille, Charlie (orthographe?), née ce lundi, sortie du confinement maternel.

Une cigogne avait épinglé ce petit mot sur son babygros.

Petite Charlie je parlerai de toi
Parce qu’avec ta petite voix
Tes petites manies, tu vas verser sur ma vie
des milliers de roses
petite furie je me battrai pour toi.

D’après F Cabrel

 

 

Nous venons de livrer, aux parents, Stéphanie et Christophe, à nos risques et périls, un magnifique berceau.

 

 

 

 

 

 

 

Jean Luc

corochose

Bonjour, beaucoup de gens  se gaussent, pouffent, se moquent de mon attirail pour aller faire mes courses, ils ont tort quand je rentre chez Netto, tout le monde s’écarte.

Le gérant vient me trouver et me dit que c’est interdit de rentrer avec une brouette. Alors là je m’esclaffe, m’insurge, « ce n’est pas une brouette, c’est un porte bouteille » que je lui dis. Il part dans son bureau il avait semble-t-il oublié qu’il avait un coup de fil urgent à passer puisqu’il se précipite sur son téléphone.
Un petit problème à la caisse, le passage est très étroit.
Sur la route, je croise les gendarmes. Tiens ils font demi-tour et s’arrêtent à ma hauteur.

« Bonjour Jean-luc, ça va? »
« oui et toi? » (nous nous tutoyons, j’ai beaucoup d’intimité avec les gendarmes)
« Tu as une autorisation de sortie ? ».
« Ben oui! voilà »
« Tu fais quoi là ? »
« Je fais mes course, c’est écrit »
« Avec une brouette, c’est quoi dans la bonbonne?
« De l’air de la Merle, je viens de l’ouvrir, vous voulez essayer ? »
« Non merci aller salut, reste bien à droite ».
« Ça va pas non ! à droite moi ? »
Je les ai bien eu, c’est de l’air des Cotes d’Armor, premier choix.

Jean luc

Un Dimanche pas comme les autres

Bonjour,

 

 

Ce matin grosse surprise, le pape, qui a du se bourrer la gueule après sa messe « urbi et Torbi » célébrée, seul avec la Pieta, dans la cathédrale st Pierre, s’est planté dans ses paquets cadeaux, nous avons trouvé trois poneys dans le jardin, mais pas d’œufs en chocolat.

 

 

 

 

 

Ensuite un petit tour sur le marché de Lablachère, bien organisé, pas très fréquenté, mais les forains sont là!

Nous avons rencontré un Lablachérois qui se promenait avec un masque sur les yeux, il venait d’apprendre que le Corochose passait par les yeux. Il est successivement tombé sur l’étal du poissonnier puis sur l’étal du fromager. Nous l’avons raccompagné chez lui mais il ressortait aussitôt pour faire ses courses.

Il parait que le mec est à l’origine du projet EGAL, faites attention!

Il semble évident que certains supportent mieux le confinement que d’autres.

Jean-luc Levecque

Au printemps, tout fleuri.

Bonjour,

Les poubelles se remplissent d’objets qui ne leur sont pas destinés, les décharges sauvages fleurissent dans les sous-bois.

Au moment ou les gens profitent du confinement pour nettoyer, vider, jeter, les déchetteries sont fermées.

J’ai demandé des explications au-sous-préfet et au Sictoba, mais pas de réponse.

Il y a peut être une raison valable, mais je ne la vois pas. Ni en amont, ni en aval, ni sur site, je ne vois pas comment une déchetterie peut être un lieu propice à la diffusion du covid19. Est-ce plus dangereux qu’un débit de tabac, qu’une grande surface, qu’une boulangerie?

Si quelqu’un à des tuyaux, je suis preneur.

Jean-luc.