Et nous tentâmes Saint Julien du Serre.

Dans une ambiance bucolique, et bucoliquide, au milieu du jardin potager à la Le Notre, bien que ce soit Le Leur, autour d’une cuisine professionnelle, sise ovule et au suce de tous, posée sur une remorque, nous avons posé nos séants.
Pour paraphraser, j’adore paraphraser, c’est moins dangereux que le parachute, l’hymne des Babus chair à Francis Blanche, Jean Tonne « des poules des canards des oies, » et pourquoi que ?
C’est tout bête, c’est le cas de le dire, mais se pointent dans des grands enclos clos, chair à Claude François, des canards, des oies des poules. Canards rigolos, les coureurs indiens, dressés sur leurs pattes arrières font des aller retour entre nulle part et ailleurs.
« He couillon les canards y zont pas de pattes arrières. »
«  Bon alors dressés sur leurs pattes avants. »
« Mais non dujnou, y zont pas de pattes avant non plus ».
« Bon alors les canards sans pattes, les coureurs indiens y sont rigolos ».
« Mais non… »
« « Ta gueule ! »

Les enclos clos, sur les côtés, au-dessus, électrifiés n’ont pas empêché maître Goupil de faire une razzia dans les enclos clos, a la grande dame de leur maman, après les enclos clos, les sanglots longs.
Mais c’est ou ça ?

À St Julien du Serre ou notre ami Ruffin vient de temps en temps voir son pote Pierre Souchon candidat suppléant malheureux de Florence Pallot qui se baladait toute NUPES, aux dernières législatives, ne pas confondre avec Pierre Souchon.
À Saint Julien du serre, c’est aussi un bistrot associatif, un four à bois communautaire, mais pas que.
C’est aussi Le mas des fougères, que des fous gèrent, autre point de rdv, mercredi et dimanche, (encore 3).
Pour les ceusses qui savent pas le Serre en os qui s’tends, correspond à un mamelon, une croupe, un relief allongé, pointe rocheuse, n’y voyez là aucune alluvion.
Jardin potager à la Le Leur, tables éparpillées dans le jardin c’est bien on entends pas les conneries de nos voisins, un barnum pour la pluie, on y mange bien. J’aime bien, car là vous évitez les affres du choix, vous avez menu unique, Végé ou normal, entrée plat dessert. Oh parce que Végé c’est pas normal ? Si bien siure, mais je veux dire par là, non bouge pas, que normal c’est quand on bouffe de tout. J’aime bien aussi parce qu’il y a pas des grandes assiettes démesurées, agrémentées de filet d’huile marron, de trainées de jus de j’sais pas quoi, de petites fleurs partout, bref pas de la nouvelle cuisine. Un petit regret pour le pinard qui vient de l’étranger(côtes du Rhône).

Aux manettes cuisinifères, le vieux forban Patrick, ethnobotaniste et cuisinier saint d’un turban multicolor of benêt cong, une jeune assistante que je regrette de pas savoir son blaze, et, volant de table en table, oh la vilaine, mais ramenant tout à la cuisine, c’est Marielle, robe longue blanche, les hanches enceintes d’un foulard coloré, un chapeau de paille rond et un sourire. Elle sert, abreuve, encaisse.

Dans ce lieu, ou tout « n’est qu’ordre et beauté, calme luxe et…… » je m’arrête là, ma vie privée, c’est privé.

un petit bémol, pour le calme, un orchestre interpète des morceaux de la génération de Jean Tonique difficiles à faire déglutitionner quand on les a ouïs de visu. De plus le son était réglé pour des malouïsants non appareillés.
D’aucun disent que c’était un peu cher, moi je sais pas vu que je vais jamais au resto
sauf quand c’est payé par la raie d’action et dans ce cas je m’en tamponne.
À la table de Jean Tonique il y avait le Sâr Chartindranah Du Rieu, la Ténardière et Sandrine, favorite des tsars car les Tsars Sandrine à l’huile. ? Bof !
À eux quatre, après 3 mises en bière chiroliennes, 3 bouteilles de rouge, les 4 repas les cafés et le cadre, 177 euros à vous de voir.
Une bonne soirée.
Laku noĉe.
Félicie.

« L’air frais des champs, voilà notre vraie place » dit Derot.

Surtout quand se sont des Champs libres.

Y en a des simplets qui disent qu’y pigent que dalle bon, c’est simple.
Mais avant, je dois signaler que Berthe notre enquette triste, très fâchée des corrections que je lui infligeais, à quitter la rédaction de notre blog, c’est maintenant Félicie qui la remplace et chat échaudé craint l’eau froide, je ne ferais aucunes corrections. Je précise que ces corrections n’étaient pas physiques, mais grammaticales ou zorthographiques.
Jean Tonique

Pour faire un bon gin tonic,
un bon gin 5cl 3 tranches fines de concombre, 2 tranches coupées en deux de citron vert, mettre le tout au congélo dans des verres à Coq Tel. Pour servir ajouter 8 cl d’un bon tonic frais.

Bon c’est moi Félicie que je prends la plume pour la raie d’action des zenquêtes. Tu parles d’une plume, c’est un putain de clavier.
« Félicie, on ne dit pas…. »
« Ta gueule Tonique, t’as dit pas de corrections, j’vais t’en foutre une ! »
« Je te prie de m’excuser ».
« Bon fais moi un bisou ! »

Vous me connaissez pas, sachet que j’ai tendance à parler comme je cause. J’ai été longtemps chargée de la raie d’action de « la Nouvelle » de St Julien sur Bibost par Bessenay, mais que suite à une con de pression du père Sonel, je fus été virée et c’est avec plaisir que j’entame une nouvelle carrière quand nos ainés n’y seront plus, à Lablachère sur le blog de Gin Tonic.

Je fus investigationner, dans la plus grande discrétion, chemin de la Brise, là ou c’est qu’il y a Champs Libres, mais pas que. Y a pas de champs, il y a un grand terrain et une grosse baraque
Le bâtiment c’est un ancienne maison dit aux sieiziènes que Granny a acheté pour la modique somme de kjbvgkkkk euros. On dit que la dedans y avait des pèlerines et des pèlerins et des frangines et que même y en une qu’a favorisé Champs libres pour l’achat, mais elle reste présumée innocente.

Je tiens d’abords à souligner d’ailleurs je le fais que Champs Libres, c’est pas queue le vendredi, c’est tous les jours à la boutique, de l’ouverture à la fermeture, sauf quand c’est fermé, le dimanche,
Bon c’est quoi ce truc « Champs Libres » ?

Vendredi :
Depuis le début, jusqu’à plus tard , le groupement de producteurs locos de Champs Libres, anime, l’été, des soirées tous les vendredi et pas queue, c’est vachement bien pour faire ses emplettes de bons produits, picoler un brin, rencontrer des vivants et danser.
Les producteurs, artisans y sont du coin et à moins qu’ils aient le don du biscuit thé, vous ne les rencontrerez que là, ce soir là, sinon vous les rencontrerez ailleurs un autre jour au Vialat par exemple le mardi soir. Drinnnnng.
Ah on me sonne, qui me sonne?
C’est Madame Pongron de Sanilhac qui nous prie de vous dire que son mari Honoré a perdu son béret vendredi dernier, au marché. Même si un béret ça n’a pas de sens, puisqu’il est toujours de face, il y tient. Il le porte depuis qu’il a 4 mois et est bien pratique pour ramasser 10 kg de patates. Si que par hasard vous le trouvâtes, appeler le 07 82 94 84 35.

La vierge du haut de sa tour prend enfin son panard, elle n’aura jamais vu autant de gonzes que ces soirs là. Certains prétendent qu’elle danse quand il y a de la musique. Là je crois qu’il faut pas abuser de la Java, ni de personne d’’ailleurs. Elle se régale devant tous ces gens à qui Champs Libres offre la raie dans’l fion, les pardonnant ainsi d’avoir bouffé de la daube depuis trop longtemps.
« Mais la daube c‘est pas mauvais, quand tu la fais cuire lentement sur deux trois jours, avec des azalées retour de la fenêtre à la cuisine et lycée de Versailles.
« Oui madame mais c’est une ex pression populaire daube c’est pris dans le sens, non pas par là, par là, de saloperie. »
Comme il y a foule, il y a vit d’amants et donc promises cuitées. Alors pourquoi qu’y sans tasses tous ces gens là ?
Et pourquoi qu’y a du monde ? Quoi qui proposent ces Champs libreux » ?
Ils proposent d’abords un état des Spritz. Convivialité, amour de la vie, produits de qualité, respect de l’environnement… Jean passe, et des meilleures. ha il revient !
La liste est longue et si t’es pressé saute à la fin de l’artique, mais couvre toi bien!.
Ici faut pas courir après la belle bio, dès fois ça y est, des fois pas mais ici règne la confiance pour le bio, le raisonné, le raisonnable, le bio de mon grand-père Maternel (vieux facho bio), pendant que l’autre faisait le bio au PC place du colonel Fabien).

Je commence par l’épeires fondateurs BCBG

Boulangers
Charcutiers
Brasseurs
Glacier
BCBG ? Mais ajoutons un C pour Chocolatier. BCBGC.
Glacier et Chocolatier se font désirer mais ils viendront.
Ce club des cinq est à l’origine de Granny, SCI propriétaire des lieux et qui loue à cinq producteurs et à Champs Libres..
Mais ils sont aussi et bien sûre animateurs de Champs Libres.

Dobro veĉe (Beau sniak) Ou encore добър вечер (Bulle gard) ou encore comme y disent de Porc en Truie « bonne soirée ».

Bonnet de nuit que moi j’dis à toutes et à tous et j’espère que ce coup ci mes esplications sont suffisantes.

(C’est vachement confortable de bosser avec Félicie, je n’ai pas besoin de relire mes fotes.)
Bises ,
Félicie.

Faire bon ménage

« De quoi tu’t mêle! »
Je me mêle de l’affaire de la délégation à la gestion de la salle de cinéma de Les Vans, car si la salle appartient à la commune de Les Vans, son accès est ouvert à tous et la qualité de sa gestion nous intéresse tous. Je m’en mêle car jusqu’à ce jour, Mr Cyrille Villermaux délégataire actuel m’a donné entière satisfaction quand à la programmation et à l’ouverture qu’il entend donné à cet espace.. Certainement qu’il y a des problèmes entre lui et la municipalité quand au respect de son contrat.
D’aucun avance qu’il faut « sauver le cinéma de Les Vans » et bien que signataire de la pétition je pense que ce n’est pas la bonne façon d’opérer.

Il reste peu de temps, la délégation se termine au 31 août, et je pense qu’il faut convaincre la municipalité qu’elle prend un risque, qu’elle peut encore changer d’avis,
et reconsidérer sa position, dans la clarté.

La méthode utilisée est absurde et opposable, on met en concurrence une grille qui engage le futur en notant le délégataire actuel sur son passé!

À moins de magouille, la méthode qu’il eut fallut utiliser aurait été de convoquer le délégataire actuel, de lui opposer les manquements qu’on lui reproche, de juger si il est capable de justifier ou de corriger et de reconduire sa délégation sous conditions.

Monsieur Arnaud Froment a fait une proposition qui va en ce sens et devrait satisfaire tout le monde.
Sa proposition est simple, la candidature du délégataire actuel n’arrive pas en tête à cause du ménage et des comptes pas rendus à l’heure, comment peut on imaginer qu’on se jette dans le vide à cause du ménage, aucun des autres candidats ne peut être jugé la-dessus. Si donc nous retirons la note discriminante et qui a peu à voir avec une gestion de la culture, la proposition du délégataire actuel arrive en tête et la proposition de monsieur Armand, suivie par d’autres consiste à reconduire la délégation au délégataire actuel en l’accompagnant d’une clause de révision annuelle par le conseil municipal, donnant la possibilité d’annuler la délégation.
Pour vous faire une idée je vous conseille de visionner ICI
un petit conseil, déplacez vous à la minute 10 de la vidéo.

On y apprends que pour l’appel d’offre une grille de notation a été développée par Marie-Hélène BISCARAT directrice générale des services. On y apprends que les élus qui ne font pas partie de la commission d’appel d’offre ne connaissent pas cette grille ni les documents qui l’accompagnent.
Cette grille attribue 70 points pour la technique et 30 pour la finance.

On y apprends qu’une commission cinéma a siégé 3 ou 4 fois depuis Janvier.
Quels ont été la nature des travaux, mystère.

On y apprend que la commission appel d’offre propose les résultats secs des notations, sans nommer personne et sans donner aucune indication aux élus siégeant en séance et qui doivent délibérer. À ce sujet, monsieur Froment dit que sans informations plus précises, les élus ne peuvent voter qu’en suivant aveuglément la commission appel d’offres.

Mais on y apprends surtout que ce qui a fait la différence lors de la notation, c’est le ménage de l’espace et la mise à disposition tardive des comptes de la part du délégataire actuel. Comment peut-on comparer un travail effectué par le délégataire actuel, bien ou mal, à une promesses de nouveaux candidats. C’est absurde.
Un élu fera remarquer que ce reproche qui est fait au délégataire, doit être reporté sur le conseil municipal qui n’a pas fait son boulot.
On constate également que la commission appel d’offres ne donne pas son avis, elle donne simplement les résultats secs des notations.

Monsieur Arnaud Froment fait une proposition qu’il a faite à la commission appel d’offres, à savoir reconduire le délégataire actuel qui sans cette note discriminante passe en tête des résultats, en accompagnant cette reconduction d’une période d’essai d’un an, renouvelable tous les ans, et contrôlant que les éléments qui lui ont donné cette note discriminatoire soit contrôlé par les élus.

Un adjoint à la culture Thierry Capiod, adjoint au maire, à la culture et à la commission appel d’offres, propose donc que l’on vote la proposition de monsieur Forment, en mettant une clause de contrôle annuel et dans ce cas, il est clair que l’avantage va au délégataire actuel, qui n’a été devancé que par une note discriminante due au ménage. Le maire propose que le vote soit effectué avec les résultats de la commission appel d’offres et là, badaboum madame Cathy Eschalier commission appel d’offres, adjointe au maire propose un vote à bulletins secrets et reçoit l’approbation de 1/3 des présents(?) mais ce vote est organisé dans une confusion telle que monsieur Froment fera par deux fois le point sur les numéros des candidats pour ne pas confondre leur numéro dans l’appel d’offres et leur numéro d’arrivée dans la consultation.

J’ai noté un travail très subtil de la part d’une élue, adjointe au maire et membre de la commission d’appel d’offre et du groupe de travail, qui dans un premier temps dénonce la proposition du professionnel de gestion(numéro 2) de salles, qui n’est pas du coin et qui n’a pas forcément la culture de l’ouverture de l’espace à autre chose que du cinéma que veut promouvoir le conseil. Puis elle enchaîne sur la notion de service public et sa continuité, qu’arrivera-t-il si le délégataire actuel à un problème, étant seul, alors que la proposition numéro un ou au moins deux candidats se présentent pourront assurer en cas de défaillance de l’un ou de l’autre. Donc pas de 2 et 3 et rien ne dit que les élus ont bien utilisés le bon numéro.
Pour ce qui me concerne, à aucun moment il n’y a de correspondance établie entre les numéros des candidats à l’appel d’offre et leur numéro d’arrivée après application des points.

tout ceci me semble confus, pas clair et partisan.

 

Jean Tonique

Réveil ? Éveil? Révolution ? Évolution ?

Un ami des Amériques m’a fait récemment une réflexion qui en mérite une.

« Tes textes ne sont pas toujours assez documentés ou trop radicaux. »

Ce qu’il faut comprendre, c’est que je pense.

Je ne suis pas qu’un roseau pensant, j’écris ce que je pense.

Écrire sans publier reste un geste incomplet, donc je publie.

Par contre, je me fout comme de ma première chemise de savoir si je suis lu, compris, apprécié, ignoré ou moqué. Par contre je réponds à tous les commentaires.

Voici ce que m’inspire les évènements actuels. Si vous voulez que je cite mes influences, Kropotkine, Jean marie Guyau,, jean-pierre Duteuil, moi.

Le pendule de Foucault met en évidence la rotation de la terre, mais pas que.
Les oscillations du pendule rappelle à Kropotkine, l’histoire de la pensée humaine. Alternance de périodes de sommeil, et de réveil.
Cette éclairage, justifiée historiquement, ne l’est plus si nous le prenons pour les siècles à venir, il est fataliste.
Est-il immuable ?
La période de sommeil, est caractérisée par la soumission à un code moral, instaurer par les gouvernants, (la constitution), les juges, (le code pénal) et les religieux (la loi divine).
Mais pourquoi courber l’échine devant une quelconque autorité, pourquoi ne pas être amoral. La période de réveil serait-elle invariablement suivie d’ une nouvelle période de sommeil ? C’est certain si nous laissons les ennemis de la pensée, de la vie édicter un nouveau code moral agrémenté de quelques modernités. Pendant et suivant la période de réveil,
Les gouvernants, juges et religieux rassemblent leurs forces, suivis trop souvent par de nombreuses petites gens qui ne rêvent que de bourgeoisie, ils remplissent à nouveau l’espace de la cité de mensonges, de manipulations, et la fadeur devient loi.
Ne faisons pas comme les soixante-huitards (dont je suis) qui, après avoir brisé les tabous, les règles édictées, ont proposé la révolution par le fait, l’exemple, imaginant que leur mode de vie ferait tache d’huile, sans combats. Pour la plupart ils ont réussit leur révolution, mais de façon tribale, sinon égoïste.
Les ennemis déjà cités ont profité de la liesse, du bordel ambiant, de la fatigue, des désillusions pour à nouveau endormir la masse pendant qu’une petite partie se marginalisait.
Demandons, imposons l’impossible et édictons, pas un ordre moral, mais une morale, ou nous ferions aux autres ce que nous aimerions qu’on nous fisse, ou un principe ne serait accepté que si il est guidé par la raison.Il semble qu’aujourd’hui nous soyons dans une période de réveil mais hélas cette morale n’est pas pour demain, il faut donc préparer le terrain, y épandre le terreau de la liberté.
Comment ? Fidèle à mon leitmotiv, je dis gagnons les élections municipales, c’est à dire boutons les végéteux {sic}hors des communes, pépites de la révolution, prenons nos vies, la vie de la cité en main, politisons là et dans un premier temps essayons de vivre ce credo, laïque, « Liberté, Égalité, Fraternité ».

Admettons que tous nos actes, ainsi que ceux de la faune et de la flore sont dictés par la recherche du plaisir, ou le refus de la souffrance, boutons le diable et l’ange hors de notre univers, aimons la vie, vivons !

Gagner les élections municipales, c’est y travailler maintenant, construire un engagement, regrouper des bonnes volontés, des compétences, pas des noms qui apportent des voix, c’est impliquer les citoyens au-delà d’un bulletin de vote tous les six ans.

Le collectif EgAl semble le plus à même de proposer cette orientation, mais quand va-t-il amorcer le combat ?

Jean Tonique.

L’Ardechoise 30 ieme édition

Cette année l’Ardéchoise, l’épreuve cyclotouristique la plus importante d’Europe accueille 11000 cyclistes dont 200 vélos à assistance électrique.

10 parcours possibles et nombres de  villages se mettent aux couleurs de L’Ardéchoise, accueillent, animent..

Pourtant  située sur un circuit important qui, de St Félicien à St Félicien va, en passant par Lablachère, conduire les cyclistes vers St Eulalie, les Estables, Lac d’Issarles……, Lablachère se distingue comme tous les ans par l’absence d’accueil, de déco…..,

Pour ce qui nous concerne, nous recevons comme chaque année 9 nouveaux  cyclistes qui à chaque fois s’étonnent et tentons de les réconcilier avec les Faou Temouens en les accueillant dignement.

Cette année, c’est Un Argentin, un Anglais et 7 Français qui repartent de chez nous, vers les cimes ardéchoises, bon courage à eux.

Jean Tonique.

 

 

Big brother

Bonnets d’ânes pour les brillants commentateurs experts plateauhideux de la télé.

Discutions sans fin sur les avantages et les inconvénients de la fusion de la carte vitale et de la carte nationale d’identité.

Pas un de ces connards n’aura fait la remarque que ni l’une ni l’autre de ces deux cartes n’est obligatoire.

Jean Tonique.

Une tartine pour mes camarades Yvette et François.

Le 28 avril 2023, en avance de 4 mois, j’ai fait un rêve, plagia du discours de Martin Luther King à Washington le 28 avril 1963.

« Malgré les difficultés d’aujourd’hui et les frustrations de demain, je fais toujours ce rêve, ce rêve profondément enraciné dans la démocratie, que la souveraineté appartient au peuple,

je fais ce rêve, qu’un jour les gens qui partagent ce pays s’éveilleront et vivront la vraie signification de la devise, ‘liberté égalité fraternité’,

je fais ce rêve, qu’un jour notre pays se lèvera en possession d’une constitution empreinte des « droits de la planète, de l’homme du citoyen et des animaux », protectrice des citoyens qui l’auront écrite,

je fait ce rêve qu’un jour les habitants respireront un air sain et se nourriront de produits issus d’une terre riche en lombrics,

je fait ce rêve que les législateurs, issus du peuple, seront libérés des lobbyistes,

je fait ce rêve qu’un jour, syndicats et politiques travailleront ensemble,

je fait ce rêve qu’un jour une police sera au service de la protection des citoyens, pas des gouvernants,

je fait ce rêve qu’un jour le code électoral sera équitable,

je fait ce rêve qu’un jour le monde de la finance sera encadré,

je fait ce rêve qu’un jour nous arrêterons de faire chier les martiens,

je fait ce rêve qu’un jour les hommes parleront de la prochaine paix, pas de la prochaine guerre,

je fait ce rêve qu’un jour la justice sera une et la même pour tous,

je fait ce rêve qu’un jour   la peine de mort sera remplacée partout par la peine d’amour,

je fait ce rêve qu’un jour la télévision sera un outil d’informations, de culture,

je fait ce rêve qu’un jour la publicité arrêtera de prendre les gens pour des cons, ce sera prouvé scientifiquement,

je fait ce rêve qu’un jour les marchands d’armes seront des marchands d’âmes,

je fait ce rê…. « jean lève toi c’est l’heure !»

Ah merde, j’essaye de me rendormir pour retrouver mon rêve, mais que dalle.

C’est éveillé que je me demande quand nous allons enfin défiler au cri de vive la Sixième.

C’est éveillé encore que je suggère à Roussel d’aller vivre des jours heureux en Normandie avec son copain Cazeneuve.

Cette république agonise et l’empathie, la pitié, devrait nous conduire vers la fin de ses souffrances, une overdose de législateurs de gauche pourrait être la solution. Encore que tous les pourfendeurs de la cinquième république s’y sont vautrés confortablement, Mitterrand en tête, grand animateur du « Non » à la constitution lors du référendum du 28 septembre 1958.

Nous pouvons faire toutes les propositions du monde, mais aussi longtemps que le régime présidentiel sera protégé par « la souplesse » de la constitution de 58, rien ne sera possible, la révolution.  la guerre civile, pourront paraître une solution, est-ce souhaitable ?.

 

Jean Tonique

LFI y es tu? Entends tu?

La démonstration a été faite à Lablachère de la mauvaise implantation de LFI en milieu rural et particulièrement dans les petits villages. Pour le concert de casseroles devant les mairies, nous étions cinq citoyens. Aucun des Lablachérois que j’ai rencontré à Aubenas dans les manifs n’était là. Personnellement ma présence fût motivée, comme depuis longtemps, par ce qui me semble LA condition indispensable pour tout changement de modèle social, l’euthanasie de la cinquième république.

Dans toutes les affaires que nous traversons, ce sujet fût négligé, l’arnaque de la loi sur la retraite était une occasion en or de démonter cette cinquième république. Toutes les procédures utilisées, législativement constitutionnelles, furent la démonstration de la démoctature. Les animateurs télé ont osé parler de souplesse de la cinquième. L’occasion était en or également au moment des gilets jaunes, du grand débat, de la crise sanitaire, de la convention citoyenne pour le climat…. Mais rien.

Bien sûr le programme de LFI, très élaboré, propose la sixième république, mais ça c’est sur un écran d’ordi ou des documents, qui, on peut le dire, s’adressent à des citoyens ayant un certain niveau.

Pendant les législatives, réunions, manifestations, à Aubenas, ou à Aubenas ou encore à Aubenas,quid de Saint Etienne de Lugdarès, de Payzac, de Sanilhac… ? La réunion organisée à Lablachère par Florence Panot et Souchon dans le cadre de la caravane populaire fût un fiasco, pas de lieu, pas d’affiches, pas de com en général, nous étions 8. La tentation est grande de réunir des convaincus, pour faire masse, alors que la stratégie devrait être d’éclairer les citoyens abstentionnistes ou qui ont rejoint le FN par dépit.?

Bref je me résume en disant qu’il faut absolument que les instances de la NUPES ne méprisent pas les petites communes qui entres autres sont les richesses de notre territoire, et qui abritent , dans des villages de moins de 1000 habitants, 51 % de la population du canton.

Une autre remarque :

Jean-luc, n’apporte pas ton soutien de façon trop visible à François, ce n’est pas lui faire un cadeau.

Si j’ai voté toujours LFI et Mélenchon, force est de constater que nombres de citoyens n’ont pas voté à cause de ton image et je pense qu’un soutien trop appuyé de ta part pourrait lui faire du tort.

Cordialement

Jean Tonique.

Parler pour ne rien dire et ne rien dire pour parler sont les deux principes majeurs et rigoureux de tous ceux qui feraient mieux de la fermer avant de l’ouvrir. (Pierre Dac)

e ne souhaite de handicap à personne, mais je regrette que le président de la république, que nous savions aveugle et sourd, ne soit pas muet.

Son allocution fût celle d’un mec hors-sol, classique, stupide et creuse. La seule chose que j’en ai retenu c’est l’histoire des 100 jours.

Les « cent jours » qui suivent l’élection du président de la république, sont traditionnellement ceux pendant lesquels le nouvel élu lance ses premières réformes.

Monarc, est-il atteint à ce point qu’il croit être au début de son quinquennat ?

Le 14 juillet, quand IL constatera son échec, va-t-il changer de premier ministre, dissoudre l’assemblée, proposer un référendum puis/ou démissionner ou va-t-il partir faire un tour en Falcon ? Les paris sont ouverts.

Le bruit court que la démission du président de la République, lui donne la possibilité de se présenter pour un troisième mandat si son deuxième mandat est incomplet.

L’article 6 de la Constitution est ainsi libellé : « Le Président de la République est élu pour cinq ans au suffrage universel direct. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs ».

Il n’est pas spécifié, comme pour la Polynésie « plus de deux mandats de cinq ans consécutifs ». Dans l’article 6 la durée du mandat et le nombre de mandats possibles sont dissociés, donc en grand constitutionnaliste que je suis, je dis que le bruit qui court est nul et non avenu.

Mais pourquoi diantre ce bruit court-il ?

 

Jean Tonique.

 

Au bal des faux-culs, un premier prix.

Ce matin sur France-inter, un grand moment, le débat avec Franck Riester.

Ministre de l’aculture de octobre 2018 à juillet 2020, en remplacement de l’inénarrable Jocelyne, il est aujourd’hui ministre délégué aux relations avec le parlement à la place de monsieur Loyal, Olivier Veran..

Depuis la séquence de la loi retraite, on a pu voir la qualité et la réussite de son travail.

Mais ce matin, ce fut un moment grandiose.

Ses deux mots récurrents, démocratie, « cette loi est promulguée suite à un long processus démocratique » et « Obstruction ». Nous avons été obligé d’utiliser le 49/3, l’opposition faisant « obstruction ».

Il ne faut pas oublier, dit-il ,les longs mois de dialogue entre le gouvernement, Jupiter, les syndicats, les parlementaires et les partis politiques.

La loi, malgré les demandes des syndicats et des politiques est promulguée par Jupiter, dans la nuit de vendredi à samedi (décalage horaire) , « c’est normal et c’est toujours comme ça » nous dit Franckie.

Je crois qu’aux Césars des faux-culs, Franc Riester devrait avoir à la fois le premier prix, mais aussi le prix spécial du jury et le prix du public. La palme d’or revient bien sûr à son metteur en scène, Jupiter (de rien). Un stage chez Nathalie Tarlet lui ferait le plus grand bien, encore qu’il n’a pas besoin de se forcer pour trouver son clown.

J’ai eu honte pour lui.

Je me demande pourquoi Guy Drut disait « Mais je n’ai pas confiance en Franck Riester »

La majorité-minoritaire à l’assemblée nationale peut être fière du travail accompli par son ministre et tous ces imbéciles peuvent poursuivre la préparation du lit de la Marine, dont beaucoup d’entre eux s’accommoderaient. Heureusement Jupiter, barrage contre l’extrême droite, est là pour veiller aux grains.

En marge, je remarque une petite phrase dans le rendu du conseil constitutionnel :

« En l’espèce, si l’utilisation combinée des procédures mises en œuvre a revêtu un caractère inhabituel, en réponse aux conditions du débat, elle n’a pas eu pour effet de rendre la procédure législative contraire à la Constitution. »

Bravo les juges, la jurisprudence est désormais établie et les gouvernements peuvent y aller franco.

Jean Tonique.