La MHE à Lablachère ?

Mais non, la MHE qui frappe certains troupeaux n’a rien à voir avec
l’hémorragie interne qui frappe le conseil municipal de Lablachère.
Heureusement qu’il y a un médecin au conseil municipal de Lablachère,
peut être pourra-t-il l’endiguer.
C’est 9 conseillers municipaux atteints par la démissionite et une
employée administrative. 6 conseillers de la majorité, 2 conseillers de EGAl
et 1 conseiller et non des moindres, le maire précédent.

les démissions:

LABLACHERE, AU COEUR DU TERRITOIRE

Daniel Blanc, Marjorie Germain, Gregory Theraube, Alain Roche, Françoise Berrier et enfin Nicolas Galland.

EGAL
Pauline Boissin, Jean-luc Levecque,

ENSEMBLE POUR LABLACHERE
Mr Tourel,

administration :
Marie Monier,
Rassurez vous la majorité( en sièges) reste majoritaire avec
13 sièges, contre 5 aux listes minoritaires.
Pour ceux qui ne connaissent pas la procédure de remplacements,
les six démissions dans la majorité ne font perdre qu’un siege,  EGAL perd zéro
siège et Ensemble pour Lablachere zéro siège.

Jean-luc Levecque

Narcissisme, emphase, démagogie, le choix est difficile.

Comme vous l’avez deviné, j’ai lu, avec courage et abnégation le bulletin municipal annuel pondu par la majorité (en sièges) de la commune de Lablachère.

J’ai déjà fait un premier commentaire sur l’article de monsieur Berres, élu de Lablachère et délégué nommé à la CDC Beaume-drobie suite aux propos et chantage de mr Laporte. http://jeanluclevecque.fr/mission-impossible-pour-mr-berres/

Mon second commentaire sera de dire que ce bulletin, emphatique, démagogique et redondant n’a que peu d’ intérêt et plus encore pose des difficultés pour allumer le feu.

Ce bulletin nous est présenté par monsieur Laporte comme une première, au regard de sa conception et à la réduction drastique des coûts des annonces. Je reformule cette information en disant que les annonceurs au vu des tarifs et du peu de diffusion, de résultats suite à celui de l’année dernière, ont boudé, incitant la municipalité a baisser ses tarifs, et c’est tant mieux.

Le maire de Lablachère nous dit faire fi , des nouvelles nationales et mondiales, et donc de la politique mondiale et nationale, épiloguée et rabâchée par les médias. Que dire alors de ce bulletin, pleins de nouvelles épiloguées et rabâchée dans les différents bulletins municipaux tout au long de l’année, épiloguées et rabâchées dans les pv de séances du conseil municipal, dans les pages Face de bouc, la « newsletter », et de temps en temps dans les journaux.

Fi de la politique nationale, mais une page de soutien aux agriculteurs sur le site de la mairie. Soutien bizarre puisqu’il est apporté par une photo du panneau Lablachere, à l’envers ?

Fi de la politique nationale, mais l’article de mr Laporte relatant les visites de la sous-préfète et du député Brun, fait état des difficultés des municipalités eut égard aux dotations, aux problèmes d’eau, des aux formalités administratives, et à la condition professionnelle des fonctionnaires territoriaux……c’est pas national ça?

Fi de la politique nationale, pour se consacrer à ce qui touche de près à notre bien-être et au bien vivre à Lablachère

Si nous lisons ce bulletin nous comprenons que le bien être et le bien vivre à Lablachère consiste à entretenir les routes, le réseau d’eau…. Ces éléments sont importants, mais c’est le service minimum que doit et peut faire n’importe quelle municipalité, quid de la vie, la musique, la danse, le cinéma, les rencontres festives de quartiers, les activités pour les jeunes. Bien sûre j’exagère, page 45 nous avons la liste des activités culturelles et festives de la commune.

Fi de la politique mondiale, et pourtant nous entendons dire que la hausse de nombreux prix est due à la situation désastreuse mondiale.

Et puis,  le serpent de mer que mr Laporte nous annonce tous les ans depuis 2008 et aux élections municipales, la future salle multigénérationnelle ou multiculturelle qui manque tant à notre commune.

Multigénérationnelle cela a deux sens, dont l’un signifie l’« étalement d’un processus sur des générations ». Selon Hérodote, il y a trois générations par cent ans, nous avons donc encore le temps de voir naître la salle multiculturelle. Pour ce qui me concerne, oui,il faut une grande, salle, belle et fonctionnelle, capable d’accueillir des expos, de la danse, des concerts, du théatre……et ça à l’échelon de la CDC qui abrite (insee 2024), 9885 citoyens.

À Lablachère, pour des animations plus locales et ponctuelles, il y a une grande salle qui ne demande qu’à être aménagée.

Mr Laporte admet que ce n’est pas un exercice facile que de réduire l’endettement communal. Mais depuis 2008 qui est responsable de cet endettement ? Réponse : mr Laporte, puis l’alternative qu’il a laissé en 2014 et qui n’a pas fonctionné. En 2008 l’encours de la dette était de 32490 euros avec une capacité de désendettement de 0,1 an. En 2021 elle est de 1,668,810 euros avec une capacité de désendettement de 6,5 ans. Il faut croire que l’on vit bien mieux qu’en 2008.

J’ai apprécié un article de mr Marchal page 37 sur la biodiversité sur « les gras de Lablachère » . Juste une petite remarque, le plateau des Gras ou Grads n’est pas situé uniquement sur Lablachère et ne autre étymologie est en vigueur, à savoir que les Grads peut venir de gradins structure des grads et que l’on ne retrouve pas dans les monts d’ardêche. Monsieur Marchal, même si le bulletin est imprimé sur du papier FSC, quel gâchis.

Pour ce qui me concerne, je poursuis mon rêve, à savoir celui de politiser les communes et aussi  que les citoyens reprennent leurs destins en mains, que la municipalité retrouve ce qu’elle a perdue, son rôle de synchroniseur, de synthétiseur, d’exécutif des décisions des citoyens. Les municipalités ne doivent pas être au service de l’ego d’une femme, d’un homme, comme c’est trop souvent le cas dans nos petites communes rurales.

Dans nos petites communes rurales, le danger est grand de voir de plus en plus un personnage qui prétends à lui tout seul assurer notre bien être et qui s’apparente rapidement à un dictateur. Ce terme évoque généralement un leader autoritaire qui exerce un contrôle absolu sur la société et qui affirme être capable de répondre à tous les besoins de ses sujets, même s’il s’agit souvent d’une illusion ou d’une manipulation. Ce personnage est souvent représenté dans des œuvres littéraires, des films ou des pièces de théâtre comme une figure tyrannique et narcissique, souvent avec des conséquences désastreuses pour ceux qu’il prétend gouverner.  Quand on voit l’exemple du président de la république ; empereur de notre démocrature, on peut s’inquiéter de voir des petits chefaillons imitateurs, populistes investir nos communes, nos vies.

Mr Laporte manie parfois  l’injure, le chantage, la démagogie,l’emphase mais  je ne prétends pas qu’il soit un dictateur.

 

Jean-Luc Levecque

 

Mission impossible pour Mr Berres.

 

Le maire de Lablaxhère, si on en croit l’auteur de l’article LABLACHERE AU SEIN DE LA CDC BEAUME-DROBIE, (page 36 du bulletin annuel), a donné à monsieur Beres, élu de la majorité municipale de Lablachère, (en sièges), la mission d’« expliquer la genèse du différent» et le chargeait de « démontrer que les antagonismes peuvent être écartés avec un peu de concertation et beaucoup de volonté de servir au mieux le service public. »

expose-t-il la genèse du différent ? Non!
démontre-t-il quoi que ce soit ? Non !

Monsieur Berres a-t-il rempli sa mission? Non !,
Je vais donc faire ce que monsieur le maire a demandé à monsieur Berres et je vais commencé par la genèse

Le 15 juillet 2020, les délégués communautaires élus dans les communes de la CDC Beaume Drobie, se sont réunis pour élire l’exécutif de la CDC Beaume-Drobie.

Les élections du bureau exécutif ont-elles été exécutées suivant le code électoral en vigueur.? OUI.

Le vote s’est-il déroulé conformément au code électoral régissant les EPCI ? OUI!

À ce stade il y a-t-il donc un différent    NON.

Le bureau exécutif est donc parfaitement légal et démocratique. Alors quel est le différent ?

Le bureau exécutif a été élu, en voici la constitution :

L’exécutif du Pays Beaume Drobie

L’exécutif comprend le Président et les Vice-Présidents

DEFFREIX Christophe

Planzolles
Président

DEYDIER BASTIDE Jean-Marc

Joyeuse
1er vice-présidentTravaux, des bâtiments, SPANC et Réseaux

CHABANE Françis

Rosières2ème vice-présidentDéveloppement économique, vie des entreprises  MANFREDI-VIELFAURE PascaleValgorge3ème vice-présidentEnfance, jeunesse, services à la population&nbsp

BOISSIN Eric

Lablachère4ème vice-présidentEquipements sportifs et vie associative COULANGE FrançoisPayzac5ème vice-présidentCulture, lecture publique et patrimoine

PARMENTIER Luc

Saint-André-Lachamp
6ème vice-présidentTourisme, Musée et randonnées

GONTIER Philippe

Faugères7ème vice-présidentDéchets ménagers, environnement, transition écologique

WALDSCHMIDT Pascal

Beaumont8ème vice-présidenturbanisme, développement agricole et habitat

Plus tard, suite au chantage de Monsieur Laporte.

 

BERRES Thierry

LablachèreConseiller déléguéEn charge des mobilités

Un petit détail qui a son importance, monsieur Berres à ma connaissance n’a pas été élu, mais a été nommé avec l’assentiment du bureau exécutif.

Le différent est acté le jour des élections par monsieur Laporte.

Les délégués élus de la majorité (en sièges) de la commune de Lablachere présentent 4 candidats aux élections, 1 pour la présidence et 3 pour des vices présidences. Aucun ne sera élu.

Les délégués élus des listes minoritaires (en sièges) obtiennent la 4ieme  vice-présidence en la personne de monsieur Eric Boissin,élu de Lablachère, de la liste EGAL

Ces résultats, démocratiques, déclenche la ire de Mr Laporte qui quitte la salle en criant au casus belli, suivi fidèlement par ses troupes. C’est comme un seul homme que les élus de la majorité de Lablachère emboitent le pas à mr Laporte, madame Carrier, Madame Dominique Pouget Tirion, madame Nicole Djiann, mr Thierry Berres et mr Yannick Marchal. Nous pouvons supposé donc que ces élus ont la même approche de la démocratie que leur mentor.

mr Laporte fait ensuite feu de tous bois et le spécialiste du « Non à » pratique le chantage. Chantage jamais remis en question par aucun des élus de la majorité de Lablachère. Chantage consistant a réclamer un poste à l’exécutif, sinon il retire Lablachere de la CDC Beaume Drobie. Chantage odieux comme tous les chantages, stupide s’il en est, au regard de la quasi impossibilité technique et financière de sortir de la CDC.

Voilà le différent et Monsieur Berres, avec une toute petite phrase illustre parfaitement le refus de démocratie par cette équipe.

« Décision politique que la majorité(là il aurait du dire de la commune de Lablachère NDR) n’a pas acceptée, à juste titre. »

Cet article est révélateur, le refus des résultats électoraux, une déclaration de Casus Belli et un chantage deviennent sous la plume de Monsieur Berrès, Diplomatie,confiance et dialogue.

Il est clair que monsieur Berres ne pouvait qu’être gêné par cette mission, mais en bon petit soldat, il a pondu cet article indigeste.

Je n’imagine pas un seul instant que cet article n’ai pas été approuvé par mr Laporte et ses fans, c’est grave.

Je me pose aussi la question de savoir pourquoi mr Laporte a remis ce sujet sur la table, 3 ans et demi après les élections et surtout pourquoi n’a-il pas écrit lui-même sur ce sujet ?

Est-ce simplement pour remplir ce bulletin annuel, j’ai du mal à le croire.

L’épilogue de cet incident :

Fatigué des rodomontades du maire de Lablachère, le président de la CDC, suivi par le bureau, crée de toutes pièces un poste de délégué à la mobilité.

On notera que la mobilité n’est pas de la compétence de la CDC Beaume Drobie, mais juridiquement celle de l’AOM de la Région.

Ce poste est offert au rédacteur de l’article, monsieur Berres.

J’entendrais cette phrase savoureuse, de la part d’un élu de la CDC, « cette décision est tout benef, si la mobilité fonctionne, la Région en tirera le bénéfice, si il y a des problèmes, on les imputera au délégué. »

Quelques petites précisions à l’intention de Mr Berres :

Non monsieur, vous n’êtes pas le trait d’union entre la CDC et la municipalité de Lablachère

Peut être oubliez-vous que le maire fait partie de la conférence des maires qui siège à la CDC, que 8 délégués de la municipalité font partie de la CDC et que monsieur Eric Boissin élu de Lablachère est le 4iem vice-président de la CDC.

Qu’est-il arrivé à « la grenouille qui se veut faire aussi grosse que le bœuf » ?

Oui Monsieur, le résultat des élections du bureau exécutif de la CDC est indiscutablement issu de décisions politiques et une dernière question me taraude, il y a-t-il un seul élu de la majorité(en sièges) de la commune de Lablachère qui se soit demandé le pourquoi d’une telle claque ?

Jean-luc Levecque

Le 49-3 pour une assemblée constituante?

Bonjour,

Mélenchon m’a déçu lors de son intervention au CNAM pendant une conférence organisée par l’institut La Boétie, dont il est par ailleurs Vice-président . Étaient présents et invités Piketty et Garé.

Déception sur la forme quand il ironise en direction de ses invités, « vous qui savez tous depuis 1794 » et qui ensuite singe grossièrement les adeptes de l’action à mener en milieu rural. Il ose ensuite nous parler de citoyens « qui nous ont rejoint massivement ». 15 % des inscrits, c’est massif ? N’y a_t_il pas également une partie de la gauche qui a rejoint « massivement » le RN ?

Merci Tonton.

Déception sur le fond.

J’ai le souvenir que dans le programme l’Avenir en Commun, l’Omega à atteindre est la VI ieme république, après une Constituante, après la victoire aux présidentielles. Mais la victoire aux présidentielles ne veut rien dire sans une victoire aux législatives, sont-ce les citoyens des « quartiers populaires » qui vont élire les députés en Ardêche, en Creuse ou ailleurs. Nous avons actuellement un exemple sous les yeux d’un président qui n’a pas la majorité et qui use et abuse du 49-3.La victoire aux présidentielles doit être accompagnée des victoires aux départementales, aux régionales, aux sénatoriales sont-ce les citoyens des cités qui vont nous les faire gagner, oui, seulement là ou ils se trouvent.

Et plus encore, je reviens sur mon leitmotiv, le travail dans les communes pour les élections municipales. La gauche doit gagner un maximum de communes.

Les communes bases de la république, peuvent et doivent jouer un rôle essentiel pour la suite des présidentielles et elles n’auront pour ce faire qu’un an et quelque.

Par contre aujourd’hui il nous reste 2 ans et demi pour les municipales.

Sans l’intérêt des partis de gauche, les municipales seront pour la plupart et comme d’habitude, en milieu rural, une élection ou l’on va voter pour le cousin de la grand-mère, qui est une brave femme, ah non pas moi, je vote pour l’oncle de ma tante,. On va voter pour les boucheurs de trous et les réparateurs de fuites d’eau. On va acheter, promettre !

La stratégie de Mélenchon me semble donc limitée et uniquement centrée sur la victoire au deuxième tour, et après, 49-3 ?

Oui il faut rallier les quartiers populaires, mais aussi, partout sur le territoire , les abstentionnistes de tous poils, les citoyens de gauche qui se sont « massivement » fourvoyés dans le macronisme ou l’extrême droite voyant une alternative dans les propos populistes du FN-RN, il faut rallier les chômeurs, les retraités, les futurs retraités, il faut rallier les jeunes non-inscrits.

Localement nous pouvons nous battre, mais le soutien des partis est nécessaire, techniquement et politiquement.

Arrêtons de dire qu’il ne faut pas politiser les communes, c’est une connerie. Qui élit les sénateurs ? mais ce n’est qu’un exemple, oui il faut politiser, sans imposer, mais en débattant.

À suivre

Ginto

Il sera bientôt trop tard.

Réponse à une question qui me fût posée mardi soir, lors de l’incontournable marché de producteurs du Vialat à Lablachère,

« quid de l’extrème droite à Lablachère ? »

Je ne suis pas expert en la matière, et même si j’ai des doutes, sur l’appartenance, de tel ou tel citoyen ou de tel ou tel élu, à un parti d’extrême droite, je ne peux répondre à cette question, n’ayant aucunes certitudes.

J’ai noté une certaine inquiétude chez mon interlocuteur et via le ministère de l’intérieur, nous pouvons suivre l’évolution du vote extrême droite, à l’élection présidentielle, à Lablachère .

Premier tour

2002           2007          2012             2017           2022

19 %           9,18 %     19,20 %      21,86 %        30,93 % (en comptant Zemmour)

second tour

———————————————- 40,77 %        50,31 %

Certains tentent de minimiser en disant « que cela suit la moyenne nationale » !

Non, sinon en 2022 si tout les citoyens avaient voté comme à Lablachère, nous aurions eu L’Affreuse, élue au deuxième tour.

Ma deuxième réponse est que « suivre la moyenne nationale » n’est qu’une escroqueries des sondeurs pour faire gober la pilule, mais en aucun cas cela ne peut être un fait politique, ne peut être une excuse, par contre c’est un révélateur.

Il y a une petite musique qui sonne à mes oreilles. Depuis dix ans au moins je n’arrête pas de crier aux Lfistes et aux gauches en général qu’il faut investir les communes, le vote rural est un vote globalement à droite ou extrème droite.

Cette petite musique, elle est aujourd’hui alimentée entre autres par Julia Cagé, Thomas Piquety et François Ruffin. Voir   ICI

Il faut que les partis de gauche s’impliquent dans les élections municipales, mais pas seulement à Paris Lyon Marseille, mais aussi à Lavillelate, Astier, La Rochette, Monselgues…..

Ignorons les comme d’habitude et ce sera la curée en 2027, présidentielles et législatives, 2028, départementales et régionales. Vous aurez remarqué que je ne parle pas de Juin 2024, élections européennes, je m’en  balance. C’est seulement après un changement de constitution et d’une révision sociale des accords européens, que je m’y intéresserait si je me prête vie.

Il faut absolument que s’installent dans les communes, en 2026 ; des élus démocrates, républicains et laïques afin d’éclairer les citoyens qui votent extrême droite.

Une grande partie des votants extrême droite est guidée par le dépit, l’amertume et la colère, et trop souvent nous entendons que « nous n’avons pas encore essayé le RN ».

Ramener des électeurs de l’extrême droite dans le giron de la république sociale tolérante écologique et partageuse ne peut être du fait de la droite, qui elle dérive lentement mais sûrement vers l’abîme.

J’en appelle donc aux « gauches ».

Même si tous les efforts sont faits pour décrédibiliser la NUPES, cette coalition est doté d’un accord de gouvernement partagé, ( voir ICI  ) c’est cet accord qu’il faut expliquer, promouvoir dans toutes les communes rurales, les plus petites. Raz le bol des manifestations à Aubenas ou a Aubenas, des réunions à Aubenas ou Aubenas, à Valence ou à Valence.

Les municipales sont importantes, et permettront après une victoire locale de la gauche, de préparer les élections suivantes .

Le travail est à faire à la base, et au-delà du cercle familial, est la commune.

Oui il faut politiser les communes, par l’exposé, le débat, sans imposer.

 

Attention plus que deux ans +

J’ai fait mon temps et j’implore EGAL ou d’autres de se gaver d’ail des ours( pourquoi y dit çà?) et de partir sans plus tarder,avec les citoyens, pour les citoyens à la conquête de notre municipalité.

Ginto.

Brève de terrasse.

Bonjour,

je me mêle de ce qui me regarde, de ce qui nous regarde.

Un ami,incapable de se faire un café chez nous, Gege et Jean-luc, va prendre un petit café chez Valérie et Claude.

Une place de libre sur une des tables de la terrasse extérieure et il est accueilli par les consommateurs.

Les discutions reprennent et mon ami entend « mais si tu sais bien, le grand qui fait du théâtre, jean-luc jean-pierre je sais pas, celui qui veut nous imposer ses idées. ».

À ce moment, je traverse la rue avec ma petite fille au bout de la main, direction la boulangerie.

Le mec dit « Tiens le voilà, c’est lui ! »

Mon ami dit « C’est Jean-luc, avec sa petite fille, je suis chez lui quelques jours avec mes filles ».

Courageusement, la conversation reprend « oh la la la canicule….. ».

Et bien non cher Monsieur, je n’essaye pas d’imposer mes idées.

« S’imposer sans proposer n’est que funeste orgueil » et moi cher ami je n’ai aucun orgueil.

J’expose mes idées, et si d’aucun s’y intéresse, tant mieux, sinon je m’en tamponne.

Si mes idées peuvent éclairer les vôtres, si vous en avez, autres que celles de la télé, je n’aurai pas perdu mon temps.

Si vos idées peuvent éclairer les miennes, je n’aurai pas perdu mon temps, avec vous j’ai des doutes.

Si vous aviez pris le temps de lire notre programme (EGAL), lors des élections municipales de 2020 vous auriez pu lire ces mots étranges tels que «démocratie, donc participation citoyenne, partage, écoute, solidarité, culture, social, jeunesse, laïcité, politique, laboratoire de projet…. ».

Vous trouverez la définition de ces mots dans notre bon vieux Larousse.

Jean-luc Levecque

Et nous tentâmes Saint Julien du Serre.

Dans une ambiance bucolique, et bucoliquide, au milieu du jardin potager à la Le Notre, bien que ce soit Le Leur, autour d’une cuisine professionnelle, sise ovule et au suce de tous, posée sur une remorque, nous avons posé nos séants.
Pour paraphraser, j’adore paraphraser, c’est moins dangereux que le parachute, l’hymne des Babus chair à Francis Blanche, Jean Tonne « des poules des canards des oies, » et pourquoi que ?
C’est tout bête, c’est le cas de le dire, mais se pointent dans des grands enclos clos, chair à Claude François, des canards, des oies des poules. Canards rigolos, les coureurs indiens, dressés sur leurs pattes arrières font des aller retour entre nulle part et ailleurs.
« He couillon les canards y zont pas de pattes arrières. »
«  Bon alors dressés sur leurs pattes avants. »
« Mais non dujnou, y zont pas de pattes avant non plus ».
« Bon alors les canards sans pattes, les coureurs indiens y sont rigolos ».
« Mais non… »
« « Ta gueule ! »

Les enclos clos, sur les côtés, au-dessus, électrifiés n’ont pas empêché maître Goupil de faire une razzia dans les enclos clos, a la grande dame de leur maman, après les enclos clos, les sanglots longs.
Mais c’est ou ça ?

À St Julien du Serre ou notre ami Ruffin vient de temps en temps voir son pote Pierre Souchon candidat suppléant malheureux de Florence Pallot qui se baladait toute NUPES, aux dernières législatives, ne pas confondre avec Pierre Souchon.
À Saint Julien du serre, c’est aussi un bistrot associatif, un four à bois communautaire, mais pas que.
C’est aussi Le mas des fougères, que des fous gèrent, autre point de rdv, mercredi et dimanche, (encore 3).
Pour les ceusses qui savent pas le Serre en os qui s’tends, correspond à un mamelon, une croupe, un relief allongé, pointe rocheuse, n’y voyez là aucune alluvion.
Jardin potager à la Le Leur, tables éparpillées dans le jardin c’est bien on entends pas les conneries de nos voisins, un barnum pour la pluie, on y mange bien. J’aime bien, car là vous évitez les affres du choix, vous avez menu unique, Végé ou normal, entrée plat dessert. Oh parce que Végé c’est pas normal ? Si bien siure, mais je veux dire par là, non bouge pas, que normal c’est quand on bouffe de tout. J’aime bien aussi parce qu’il y a pas des grandes assiettes démesurées, agrémentées de filet d’huile marron, de trainées de jus de j’sais pas quoi, de petites fleurs partout, bref pas de la nouvelle cuisine. Un petit regret pour le pinard qui vient de l’étranger(côtes du Rhône).

Aux manettes cuisinifères, le vieux forban Patrick, ethnobotaniste et cuisinier saint d’un turban multicolor of benêt cong, une jeune assistante que je regrette de pas savoir son blaze, et, volant de table en table, oh la vilaine, mais ramenant tout à la cuisine, c’est Marielle, robe longue blanche, les hanches enceintes d’un foulard coloré, un chapeau de paille rond et un sourire. Elle sert, abreuve, encaisse.

Dans ce lieu, ou tout « n’est qu’ordre et beauté, calme luxe et…… » je m’arrête là, ma vie privée, c’est privé.

un petit bémol, pour le calme, un orchestre interpète des morceaux de la génération de Jean Tonique difficiles à faire déglutitionner quand on les a ouïs de visu. De plus le son était réglé pour des malouïsants non appareillés.
D’aucun disent que c’était un peu cher, moi je sais pas vu que je vais jamais au resto
sauf quand c’est payé par la raie d’action et dans ce cas je m’en tamponne.
À la table de Jean Tonique il y avait le Sâr Chartindranah Du Rieu, la Ténardière et Sandrine, favorite des tsars car les Tsars Sandrine à l’huile. ? Bof !
À eux quatre, après 3 mises en bière chiroliennes, 3 bouteilles de rouge, les 4 repas les cafés et le cadre, 177 euros à vous de voir.
Une bonne soirée.
Laku noĉe.
Félicie.

« L’air frais des champs, voilà notre vraie place » dit Derot.

Surtout quand se sont des Champs libres.

Y en a des simplets qui disent qu’y pigent que dalle bon, c’est simple.
Mais avant, je dois signaler que Berthe notre enquette triste, très fâchée des corrections que je lui infligeais, à quitter la rédaction de notre blog, c’est maintenant Félicie qui la remplace et chat échaudé craint l’eau froide, je ne ferais aucunes corrections. Je précise que ces corrections n’étaient pas physiques, mais grammaticales ou zorthographiques.
Jean Tonique

Pour faire un bon gin tonic,
un bon gin 5cl 3 tranches fines de concombre, 2 tranches coupées en deux de citron vert, mettre le tout au congélo dans des verres à Coq Tel. Pour servir ajouter 8 cl d’un bon tonic frais.

Bon c’est moi Félicie que je prends la plume pour la raie d’action des zenquêtes. Tu parles d’une plume, c’est un putain de clavier.
« Félicie, on ne dit pas…. »
« Ta gueule Tonique, t’as dit pas de corrections, j’vais t’en foutre une ! »
« Je te prie de m’excuser ».
« Bon fais moi un bisou ! »

Vous me connaissez pas, sachet que j’ai tendance à parler comme je cause. J’ai été longtemps chargée de la raie d’action de « la Nouvelle » de St Julien sur Bibost par Bessenay, mais que suite à une con de pression du père Sonel, je fus été virée et c’est avec plaisir que j’entame une nouvelle carrière quand nos ainés n’y seront plus, à Lablachère sur le blog de Gin Tonic.

Je fus investigationner, dans la plus grande discrétion, chemin de la Brise, là ou c’est qu’il y a Champs Libres, mais pas que. Y a pas de champs, il y a un grand terrain et une grosse baraque
Le bâtiment c’est un ancienne maison dit aux sieiziènes que Granny a acheté pour la modique somme de kjbvgkkkk euros. On dit que la dedans y avait des pèlerines et des pèlerins et des frangines et que même y en une qu’a favorisé Champs libres pour l’achat, mais elle reste présumée innocente.

Je tiens d’abords à souligner d’ailleurs je le fais que Champs Libres, c’est pas queue le vendredi, c’est tous les jours à la boutique, de l’ouverture à la fermeture, sauf quand c’est fermé, le dimanche,
Bon c’est quoi ce truc « Champs Libres » ?

Vendredi :
Depuis le début, jusqu’à plus tard , le groupement de producteurs locos de Champs Libres, anime, l’été, des soirées tous les vendredi et pas queue, c’est vachement bien pour faire ses emplettes de bons produits, picoler un brin, rencontrer des vivants et danser.
Les producteurs, artisans y sont du coin et à moins qu’ils aient le don du biscuit thé, vous ne les rencontrerez que là, ce soir là, sinon vous les rencontrerez ailleurs un autre jour au Vialat par exemple le mardi soir. Drinnnnng.
Ah on me sonne, qui me sonne?
C’est Madame Pongron de Sanilhac qui nous prie de vous dire que son mari Honoré a perdu son béret vendredi dernier, au marché. Même si un béret ça n’a pas de sens, puisqu’il est toujours de face, il y tient. Il le porte depuis qu’il a 4 mois et est bien pratique pour ramasser 10 kg de patates. Si que par hasard vous le trouvâtes, appeler le 07 82 94 84 35.

La vierge du haut de sa tour prend enfin son panard, elle n’aura jamais vu autant de gonzes que ces soirs là. Certains prétendent qu’elle danse quand il y a de la musique. Là je crois qu’il faut pas abuser de la Java, ni de personne d’’ailleurs. Elle se régale devant tous ces gens à qui Champs Libres offre la raie dans’l fion, les pardonnant ainsi d’avoir bouffé de la daube depuis trop longtemps.
« Mais la daube c‘est pas mauvais, quand tu la fais cuire lentement sur deux trois jours, avec des azalées retour de la fenêtre à la cuisine et lycée de Versailles.
« Oui madame mais c’est une ex pression populaire daube c’est pris dans le sens, non pas par là, par là, de saloperie. »
Comme il y a foule, il y a vit d’amants et donc promises cuitées. Alors pourquoi qu’y sans tasses tous ces gens là ?
Et pourquoi qu’y a du monde ? Quoi qui proposent ces Champs libreux » ?
Ils proposent d’abords un état des Spritz. Convivialité, amour de la vie, produits de qualité, respect de l’environnement… Jean passe, et des meilleures. ha il revient !
La liste est longue et si t’es pressé saute à la fin de l’artique, mais couvre toi bien!.
Ici faut pas courir après la belle bio, dès fois ça y est, des fois pas mais ici règne la confiance pour le bio, le raisonné, le raisonnable, le bio de mon grand-père Maternel (vieux facho bio), pendant que l’autre faisait le bio au PC place du colonel Fabien).

Je commence par l’épeires fondateurs BCBG

Boulangers
Charcutiers
Brasseurs
Glacier
BCBG ? Mais ajoutons un C pour Chocolatier. BCBGC.
Glacier et Chocolatier se font désirer mais ils viendront.
Ce club des cinq est à l’origine de Granny, SCI propriétaire des lieux et qui loue à cinq producteurs et à Champs Libres..
Mais ils sont aussi et bien sûre animateurs de Champs Libres.

Dobro veĉe (Beau sniak) Ou encore добър вечер (Bulle gard) ou encore comme y disent de Porc en Truie « bonne soirée ».

Bonnet de nuit que moi j’dis à toutes et à tous et j’espère que ce coup ci mes esplications sont suffisantes.

(C’est vachement confortable de bosser avec Félicie, je n’ai pas besoin de relire mes fotes.)
Bises ,
Félicie.

Faire bon ménage

« De quoi tu’t mêle! »
Je me mêle de l’affaire de la délégation à la gestion de la salle de cinéma de Les Vans, car si la salle appartient à la commune de Les Vans, son accès est ouvert à tous et la qualité de sa gestion nous intéresse tous. Je m’en mêle car jusqu’à ce jour, Mr Cyrille Villermaux délégataire actuel m’a donné entière satisfaction quand à la programmation et à l’ouverture qu’il entend donné à cet espace.. Certainement qu’il y a des problèmes entre lui et la municipalité quand au respect de son contrat.
D’aucun avance qu’il faut « sauver le cinéma de Les Vans » et bien que signataire de la pétition je pense que ce n’est pas la bonne façon d’opérer.

Il reste peu de temps, la délégation se termine au 31 août, et je pense qu’il faut convaincre la municipalité qu’elle prend un risque, qu’elle peut encore changer d’avis,
et reconsidérer sa position, dans la clarté.

La méthode utilisée est absurde et opposable, on met en concurrence une grille qui engage le futur en notant le délégataire actuel sur son passé!

À moins de magouille, la méthode qu’il eut fallut utiliser aurait été de convoquer le délégataire actuel, de lui opposer les manquements qu’on lui reproche, de juger si il est capable de justifier ou de corriger et de reconduire sa délégation sous conditions.

Monsieur Arnaud Froment a fait une proposition qui va en ce sens et devrait satisfaire tout le monde.
Sa proposition est simple, la candidature du délégataire actuel n’arrive pas en tête à cause du ménage et des comptes pas rendus à l’heure, comment peut on imaginer qu’on se jette dans le vide à cause du ménage, aucun des autres candidats ne peut être jugé la-dessus. Si donc nous retirons la note discriminante et qui a peu à voir avec une gestion de la culture, la proposition du délégataire actuel arrive en tête et la proposition de monsieur Armand, suivie par d’autres consiste à reconduire la délégation au délégataire actuel en l’accompagnant d’une clause de révision annuelle par le conseil municipal, donnant la possibilité d’annuler la délégation.
Pour vous faire une idée je vous conseille de visionner ICI
un petit conseil, déplacez vous à la minute 10 de la vidéo.

On y apprends que pour l’appel d’offre une grille de notation a été développée par Marie-Hélène BISCARAT directrice générale des services. On y apprends que les élus qui ne font pas partie de la commission d’appel d’offre ne connaissent pas cette grille ni les documents qui l’accompagnent.
Cette grille attribue 70 points pour la technique et 30 pour la finance.

On y apprends qu’une commission cinéma a siégé 3 ou 4 fois depuis Janvier.
Quels ont été la nature des travaux, mystère.

On y apprend que la commission appel d’offre propose les résultats secs des notations, sans nommer personne et sans donner aucune indication aux élus siégeant en séance et qui doivent délibérer. À ce sujet, monsieur Froment dit que sans informations plus précises, les élus ne peuvent voter qu’en suivant aveuglément la commission appel d’offres.

Mais on y apprends surtout que ce qui a fait la différence lors de la notation, c’est le ménage de l’espace et la mise à disposition tardive des comptes de la part du délégataire actuel. Comment peut-on comparer un travail effectué par le délégataire actuel, bien ou mal, à une promesses de nouveaux candidats. C’est absurde.
Un élu fera remarquer que ce reproche qui est fait au délégataire, doit être reporté sur le conseil municipal qui n’a pas fait son boulot.
On constate également que la commission appel d’offres ne donne pas son avis, elle donne simplement les résultats secs des notations.

Monsieur Arnaud Froment fait une proposition qu’il a faite à la commission appel d’offres, à savoir reconduire le délégataire actuel qui sans cette note discriminante passe en tête des résultats, en accompagnant cette reconduction d’une période d’essai d’un an, renouvelable tous les ans, et contrôlant que les éléments qui lui ont donné cette note discriminatoire soit contrôlé par les élus.

Un adjoint à la culture Thierry Capiod, adjoint au maire, à la culture et à la commission appel d’offres, propose donc que l’on vote la proposition de monsieur Forment, en mettant une clause de contrôle annuel et dans ce cas, il est clair que l’avantage va au délégataire actuel, qui n’a été devancé que par une note discriminante due au ménage. Le maire propose que le vote soit effectué avec les résultats de la commission appel d’offres et là, badaboum madame Cathy Eschalier commission appel d’offres, adjointe au maire propose un vote à bulletins secrets et reçoit l’approbation de 1/3 des présents(?) mais ce vote est organisé dans une confusion telle que monsieur Froment fera par deux fois le point sur les numéros des candidats pour ne pas confondre leur numéro dans l’appel d’offres et leur numéro d’arrivée dans la consultation.

J’ai noté un travail très subtil de la part d’une élue, adjointe au maire et membre de la commission d’appel d’offre et du groupe de travail, qui dans un premier temps dénonce la proposition du professionnel de gestion(numéro 2) de salles, qui n’est pas du coin et qui n’a pas forcément la culture de l’ouverture de l’espace à autre chose que du cinéma que veut promouvoir le conseil. Puis elle enchaîne sur la notion de service public et sa continuité, qu’arrivera-t-il si le délégataire actuel à un problème, étant seul, alors que la proposition numéro un ou au moins deux candidats se présentent pourront assurer en cas de défaillance de l’un ou de l’autre. Donc pas de 2 et 3 et rien ne dit que les élus ont bien utilisés le bon numéro.
Pour ce qui me concerne, à aucun moment il n’y a de correspondance établie entre les numéros des candidats à l’appel d’offre et leur numéro d’arrivée après application des points.

tout ceci me semble confus, pas clair et partisan.

 

Jean Tonique